Sa faisait un bout que je regardais par la vitrine de l'avion. Liam était assis à côté de moi. Il avait les cheveux châtains pas top long, ni trop court. Quelques mèches tombaient sur son visage, ce qui lui donnait un air irrésistible. Il n'était pas vraiment musclé et me dépassait seulement d'une tête. Il était absolument trop mignon. Ce n'était pas mon frère, ni l'enfant de ma mère ou un demi-frère. Il était simplement l'enfant du meilleur ami de mon père. Sa mère mourut à sa naissance et son père lui aussi partit quelques années plus tard. Mon père, décidât ensuite de l'adopter. Voici, il devenu mon meilleur ami. Mon genre de grand frère. Je passai ma main dans une de ses mèches pour voir ses beaux yeux bruns pales. Ce qui nous liait le plus moi et lui, était la danse. Il était excellent. Je savais que plus tard, il deviendrait un chorégraphe talentueux comme il l'a toujours voulu. Plonger dans mes pensées, je me demandais comment allait passer ma nouvelle vie en Californie. Depuis que ma mère à trouvé ce nouveau job, je ne m'imaginais pas trop dans notre nouvelle demeure. Je n'étais pas mauvaise en anglais mais je n'étais pas parfaite non plus. Quoique ce ne fût pas vraiment un problème, je ne parle généralement pas.Le voyage et le décalage horaire m'avait épuisée. Après une rapide visite de la maison, je n'avais pas pris à m'écraser dans mon lit trop fatiguer pour déballer. Je m'endormi instantanément avec la pensée que le lendemain, je commençais l'école.
Ma mère nous réveilla à 7h du matin. Suite à mon rituel habituel, je me dirigeai vers l'auto en attrapant une boite de jus en carton dans le frigo.
- on vas-tu à l'école maintenant?
Elle regarda le rétroviseur quelque temps avant de répondre à Liam.
- Non, vous aller au travail avec moi. Ensuite, je vous déposerai à l'école. Vous avez un rendez-vous avec le principal cet après-midi.
Regardant à l'arrière de la voiture, elle prit le temps de citer :
- vous aller a l'hôpital avec moi et vous m'attendez a la salle d'attente et vous ne bougerais pas. Me suis-je bien faite comprendre?
Nous faisons chacun de notre tour un hochement de la tête. Ma mère lâcha un sourire de soulagement tout en se concentrant sur la route. Voilà que nous étions arrivés dans le stationnement de ce fameux hôpital. Comme prévu, ma mère nous laissa dans la salle d'attente nous faisant signe de ne pas bouger une fois de plus. Une fois partit, Liam me demanda de le suivre d'un geste de la tête. Je lui balançai une grimace en guise de lui dire que je ne bougerai pas. Il me tira par le bras a plusieurs reprise me suppliant de le suivre. Quelques enfants, dans la pièce, avait même déjà commencé nous regarder d'une manière assez pitoyable. Comme d'habitude, j'ai craquée. Je décidai finalement de me laisser aller.
- viens on va aller visiter la cafeteria, dit-il.
Attendant que l'ascenseur arrive, la voix de ma mère résonna dans le corridor. Effrayé, mon ami me tira d'une vitesse tout en cliquant à tout bout de champs le dernier bouton. Celui du sous-sol. Mon pouls était rapide et je savais que le sien aussi. Une fois arrivé à cette certaine destination inconnue, l'élévateur nous déposa dans un corridor gris/noir où il n'y avait d'autre chemin que d'aller tout droit. Surprise par l'endroit, je poursuis le chemin sans savoir ou j'allais. Liam me suivi sans poser de question. Plusieurs portes affichaient un numéro : 37, 38, etc. Les lumières étaient faible. Certaines s'allumaient et s'éteignaient simultanément. La salle 44 m'a le plus alarmée. Cette pièce était faite en vitre et ressemblais énormément à un laboratoire. Plusieurs écrans tactiles de grande forme était collés aux murs. Il y avait aussi cette grosse boule en vitre suivie d'un tube positionnée exactement au milieu de la salle. Un liquide bleu était placé à l'intérieur. Le lit hôpital, que j'avais repérer, était encerclé de nombreux appareils d'expérience suivie de quelques écrans de petites formes. Pas très loin, j'avais pu déduire un vestiaire et une douche. Il y avait énormément de produits chimiques. Cette chambre m'avait l'air abandonnée. Intriguée, je me dirigeai vers la poignée. Elle était verrouillée. Elle n'avait pas de serrure, elle s'ouvrait par une carte, une carte d'accès. Je forçai la poignée de toute mes force une autre fois, mais impossible de rentrer. Liam déposa sa main sur mon épaule.
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SimiCrush
Science Fictionun rêve impossible , un amour impossible , des choix difficile qu'est-ce qui est possible dans la vie de Tania ?