- Je suis vraiment désolé Victor, je... je ne sais vraiment pas quoi te dire, commença-t-il les larmes aux yeux.
- Je sais bien Yuri, lui répondi-je calmement. C'est juste que depuis que je l'ai eu dans ma vie avant de te connaître elle a toujours été tout pour moi, lui expliquai-je.
- C'est ça qui fait que je me sens encore plus mal envers toi, m'expliqua-t-il.
- Tu n'as pas à t'en faire. J'ai toujours confiance en toi et je t'aime toujours autant mon amour. Vous êtes encore en vie tous les deux et Sala de même, c'est aussi tout ce qui compte pour moi, continuai-je.
- Merci Victor. Tu sais toujours me comprendre et me pardonner.
- C'est normal mon amour, lui dis-je à mon tour en posant mes mains sur les siennes.
- Comment Makkachin est-elle entrer dans ta vie, Victor ? Racontes moi, me demanda-t-il.
- Eh bien j'en avais parlé avec Yakov, tu l'aurais vu il était totalement réticent, lui dis-je en riant à ce souvenir.
- Et alors ? me demanda Yuri pressé d'entendre la suite.
- Eh bien il avait finalement accepter. Il se disait qu'au moins il s'inquiéterait beaucoup moins à l'idée de me laisser sortir seul, lui expliquai-je.
- Oui je comprends.
- J'ai alors entendu parler au cours de l'une de mes compétitions en France de la SPA, la Société Protectrice des Animaux, commençai-je. Je me suis alors rendu dans l'une d'entre elles et c'est ainsi que j'ai eu le coup de foudre pour Makkachin qui avait un an seulement, terminai-je.
- Tu l'as adopté ? me demanda Lia ayant par hasard entendu mon histoire.
- Tout à fait je leur ai fait un don plutôt conséquent du fait de cette dernière compétition à ce moment là.
- Tu es vraiment gentil, papa.
- Merci mon rayon de soleil, lui dis-je en souriant, touché.
- Je t'en prie. Je remonte. À tout à l'heure, nous dit-elle avant de retourner dans sa chambre.
- C'est vrai ? Tu me pardonnes, Victor ? me demanda-t-il pour en revenir au sujet de notre discussion.
- Bien sûr mon amour puisque je te le dis, le rassurai-je de nouveau.
- Ça me fait du bien de t'entendre dire ça j'ai eu tellement peur, me confia-t-il.
- Je t'en prie. Après tout c'est à toi que j'ai confier mon cœur et ma vie, lui rappelai-je en lui montrant l'anneau d'or ornant mon doigt.
- Tu as bien raison Victor, me dit-il en embrassant ma main pour la première fois.
- N'oublies jamais que je serais toujours là pour toi quoi qu'il arrive, lui rappelai-je.
- Je sais Victor, je sais, me dit-il en souriant avant que chacun de nous retourne à ses occupations.
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Logo de la SPA jusqu'à 2015
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Makkachin chiot ( Jour de son adoption )
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Makachin et Moi à 17 ans
Après avoir conclu ce roman, j'ai pu compléter mon dossier à propos de ma fiction " De Feu et De Glace " avec d'autres grands patineurs et patineuses célèbres que l'on m'a suggérer et je remercie MaryKatsudon pour ça.
