chapitre 2

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Les eaux ont coulées sous les ponts , le temps a fait son œuvre pour toujours laisser place à ma  désolation, à mon désarroi. Depuis quatre ans sont passés, j' ai grandi en maturité et je me suis promis de ne plus jamais  penser ou avoir aucun lien avec le virus qui me sert de père qui gâchait la vie et la tranquillité de ma mère. Même si au fond de moi , je pensais qu'il pouvait un jour me considéré comme sa propre fille au même titre que ses autres enfants ou comme un membre de sa famille , même si je suis née dans le haram , dans l' interdit, en dehors d'un mariage . Mais un jour, mon rêve d' avoir un père aimant ,est tombé à l'eau, mon père m' à humilié devant des inconnus.

FLASHBACK

C' est le jour où je devais faire un examen blanc et que mes dossiers n' étaient pas au norme. On a dû faire appel à mon soit disant père. Il était venu deux heures après,alors que je devais passer mon examen. Quand, il était arrivé, je suis allée directement lui sauter dans les bras .

Moi:mon papa est arrivé ,papa est arrivé, tu m'as tellement manqué.

Moi:papa , je peux te faire un petit bisou , stp papa

Quand je parlais sans m' arrêter, il me regardait avec dédain et mépris. Et il a enfin pris la parole. Et ces mots , me sont gravés dans l' esprit pour toujours jusqu'à la fin de mes jours.
 
"Pa" : arrête petite effrontée , ne me touche pas , et je tiens à te préciser que je ne suis pas ton père et je ne le serais jamais. ( en criant)
  
J' étais vraiment choquée et perdue.

Pa: descend tout de suite , tu salies mes beaux habits, fille de malheur et de trainée.

J' étais entrain de pleurer à chaude larme. Et lui, il a tourné la tête de l' autre côté comme si je n' existais pas. il y avait beaucoup de personnes qui nous regardaient.

Moi :(avec mes sanglots), papa mais.... Pa , regarde moi je ne... Suis pas sale , maman m' à donné de beaux habits, papa ne dit pas cela .

Pa: tu peux pousser de ma vue ,ne me  fait pas de crise, personne ne t' as éduquée, petite écervelée, moi j' ai des choses plus importantes à régler.

Puis après avoir régler les papiers, il est parti sans même un regard pour moi .
Et ma mère est arrivée quelques minutes après son départ, j'ai nettoyé mes larmes. Quand j'ai vu ma mère, je lui ai sauté dans les bras.

Ma: ma chérie , tu m'a manqué , j' ai l' impression que tu vas pas bien.

Ma: c' est à cause de tes papiers , calme toi , maintenant tout va bien,

Moi: oui ma cava ,et merci pour tout ce que tu fait pour moi, t' es là meilleure maman du monde .

Ma : de rien ma chérie, je suis fière de toi, tu es devenu une grande jeune fille, et maintenant vas faire ton examen.

Moi: d'accord maman, au revoir à bientôt.

Ma: ciao ma puce , on se reverra dans une semaine.

Je me suis retournée et je lui fais un bisou avant de partir.

FIN DU FLASHBACK

Après une longue année est passé, sans rien d' intéressant, je suis devenue une grande fille. J' ai doublée la classe de quatrième parceque ma tante ne me laissais pas le temps d' apprendre, je me couchais vers minuit pour me lever vers quatre heures du matin chaque jour. je ne faisais que dormir en classe.
Puis ce jour , celui qui allait changer ma vie vers une autre orientation , ce jour fatidique arriva. Lorsque ma mère me convoqua chez ma grand-mère pour m' annoncer une nouvelle très importante dans sa vie et dans la mienne.

Mot de l' auteur :espérant que la chronique vous plaise et encore désolé pour les fautes. Voter svp.

ALIMATOU  BANEL GUEYE :  LA CALAMITÉ DE MA VIEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant