Les nuages sont nombreux, formant le ciel gris
Samedi 15 juillet, il pleut mais je souris.
Je bois une nouvelle gorgée de mon crème.
Le même qui m'aidait à lutter contre le sommeil,
Pendant ces longues soirée aux couleurs ébène,
Au même parfum rajouté de groseille,
Préparé par ma mère avec tout son amour
Pour tenir le travail et aller jusqu'au bout.
Certains se désolaient de ce tendre temps,
Mais je ne peux me retenir de l'aimer pourtant.
Je me souviens des maladies
Je me souviens leurs guérisons.
Les échecs ont tous étaient bons
On s'en relève et resplendit.
Je sors pour prendre ma valise en descendant.
Je ferme la porte à double tour en partant,
J'aimerai tellement que ce soit pour toujours.
Un parapluie rouge dans la main, et je cours.
Pensant aux futures paysages et merveilles,
Goûtant toutes les douceurs au doux miel d'abeille.
Ce sera mes vacances, et j'en serai la reine,
Le plaisir d'être dans un congé sans pareil
Un fort sentiment de liberté dans les veines.
Samedi 15 juillet, il pleut mais je souris
Les nuages sont nombreux, formant le ciel gris.
Je monte dans le taxi, et je m'enfuis.
VOUS LISEZ
Carousel
RandomC'est un recueil de tout mes textes que j'écris, que ce soit ceux pour le plaisir, ou ceux pour les concours. J'espère simplement que ma plume saura vous combler et vous transporter, tout comme l'écriture et la versification le font à mon égard.
