Chapitre 6: Esprit paternel.

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Après la nuit mouvementée que j'ai passé je n'ai plus fermer l'œil de la nuit. J'étais rester allongé sur mon lit les bras en croix en regardant d'un regard vide le plafond...
Donc le matin j'avais des cernes à faire peur et les cheveux encore emmêlés.
Les rayons du soleil viennent m'éblouir le visage à travers les volets. Il doit être sûrement 10 heures du matin. Je me lève du lit avec beaucoup de mal, j'avais l'impression d'avoir eu l'âge de Toph en moins d'une nuit. J'ai des courbatures dans les jambes, les bras et le bas du dos presque coincé.
Quand je suis debout je m'étire et je me penche en arrière les mains poser sur le dos pour le faire craquer.

-Aïe aïe aïe !!

-...?

-C'est rien Naga repose-toi...

Je me dirige vers la fenêtre et j'ouvre les volets. Le soleil me rendis presque aveugle. Je me protège les yeux en mettant ma main en face de mon visage. Je me frotte les yeux et je regarde dehors. Ma fenêtre donnait vue sur la statue de Aang et la cité de la République sous le soleil printanier. Je pose ma tête sur le rebord de la fenêtre en regardant le paysage...

-Hééé revient ici le rat !

-C'est pas un rat !

Juste sous ma fenêtre j'entends Meelo hurler, il courait après le pauvre Pabu qui semblait avoir volé son petit déjeuner. Et Meelo quand à lui se faisait poursuivre par Bolin qui lui ordonne de laisser Pabu tranquille.
Cette scène était des plus hilarante, ce qui me fait éclater de rire...

-Ha ! Salut Korra bien dormi !?

-Korraaa !!

-Salut les garçons !

Bolin et Meelo m'avait entendu rire. Ils s'étaient tout les deux arrêter sous ma fenêtre pour me dire salut. Meelo était monté sur les épaules de Bolin pour pouvoir prendre de la hauteur et me faire de grands signes avec ses bras. Je pose mes coudes sur le rebord et ma tête dans le creux de ma main et je leurs fait un salut de ma deuxième main qui était libre. Puis quand Meelo remarque que Pabu avait disparu ils se remettent à courir sur toute l'île.
Je me décide alors à rejoindre les autres pour aller prendre un petit déjeuner. Quand j'arrive dans la salle tout le monde était là je traverse la salle en saluant les maîtres de l'air puis quand j'arrive à la table où se trouve la famille de Tenzin, je me laisse tomber sur le sol en croisant les jambes. Je commence à manger l'esprit tranquille jusqu'à ce que je sentes le regard oppressant de Tenzin. Je me tourne vers lui en fronçant les sourcils et continuant à manger.

-Qu'est-ce...qu'il...y a ?

-Ne parle pas la bouche pleine Korra. C'est déplacé.

J'avale d'un trait ce qui faillis m'étouffer, je bois une grande gorgée de thé brûlant pour me faire tousser et ensuite j'enchaîne avec un verre d'eau pour reprendre mon souffle.
J'étais plutôt mal viser à l'idée qu'un inconnu qui voulait attenter à ma vie est rentré dans ma chambre et qu'il m'a déranger dans mon sommeil.
Je pousse un long soupir d'agacement et je me racle la gorge et fixant Tenzin d'un regard noir pour lui faire comprendre que je n'ai plus rien en bouche et que je peux à présent m'exprimer librement.

-Qu'est-ce que tu as à m'annoncer ?

-Qu'est-ce que tu as à m'annoncer ?

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