Andrea, Captive Du Parrain De La Mafia. (tome 1)

Chapitre 1

Andrea manqua de faire une crise de panique quand elle vit de par la fenêtre de son appartement le propriétaire arrivé.

Elle soupira, lasse de devoir tous les jours depuis des mois maintenant supplié cet homme aux moeurs perverti de lui laisser plus de temps pour la paye.

Elle se dirigea vers la porte qu'elle ouvrit lentement pour y apercevoir l'homme de la cinquantaine qui posa immédiatement sur elle un regard qui lui Glaça le sang de dégoût.

- Monsieur Greg ?

- Lui-même ! Fit t'il en tendant immédiatement la main.

- Écoutez, Monsieur, il va me falloir un peu plus de temps. Je n'ai pas encore la totalité de votre paye et......

- Blablabla, c'est toujours le même discours à chaque fin de mois. Aurait été un mec que je l'aurais déjà foutu à la porte mais toi.....

Il darda sur ses cuisses un regard pervers et sadique.

- T'as un joli petit cul que j'adore reluquer à chaque fois que tu descends les marches.. Et seulement parce que t'as un joli petit cul, je te laisse une semaine.

- Quoi, mais.

- Une semaine, pas plus. Ensuite tu devras me donner les cinq mois de retard... Et je veux la totalité.

- Je pourrai vous payer deux mois, mais.....

- Mais rien ma cocotte, je veux le tout. J'en ai marre de t'entendre déblatérer des connerie tout le temps.

Andrea se retenue in-extremis de lui crier dessus ou même de le chassé à coup de balai. Mais elle ne pouvait pas. C'était le proprio et en plus elle lui devait de l'argent.

Celui-ci s'apprêtait à partir mais se retourna pour rajouter.

- Sinon tu peux toujours me payer avec autre chose tu sais ?

Andrea prit du recul quand il s'avança vers elle.

- Ah ouais ? Et on peut savoir avec quoi ?

- joue pas à ça ma belle, Tu sais très bien que j'ai toujours désirer goûter au délice qu'est sûrement ton corps. Ummh ?

Andrea pouffa d'un mauvais rire.

- Je ne suis pas une pute et même si je l'étais, croyez-vous sérieusement que je baiserais avec vous ? Vous tenez quoi ? Une minute au lit ?

Le visage de l'homme devint crispé.

- Maintenant vieux schnock, vous allez dégagé d'ici avant que je ne vous poursuive pour harcèlement sexuel. Faites pas cette tête, je ferai tout pour vous payer la semaine prochaine.

- Tu vas regretter tes mots, pétasse.......

-Va jouer ailleurs, guignol... Pervers va..... Cracha t'elle avant de lui claquer la porte au nez.

Andrea se retourna vers sa soeur qui la sermonait du regard.

- Quoi, Rita ? Il a dépasser les bornes. Je l'ai remis à sa place !

- il pourrais décider de nous foutre à la porte à tous moment ! S'horrifia sa soeur.

-Et bien qu'il le fasse....

- j'ai du mal à te comprendre parfois. Tu.....

Rita s'arrêta quand son téléphone se mit à sonner sur le plan de cuisine.
Elle y jetta un regard furtif avant d'ignorer l'appel.

- Alejandro ? Demanda Andrea en lui prenant la tasse des mains.

- oui !

Andrea pouffa de rire quand sa soeur arbora une mine inquiète.

- si un simple appel de lui arrive à te mettre dans cet état...

-Alejandro carreras est un putain de mafieux. Et on est à culiacan, Andrea.

- mais non arrête.. Il te fera aucun mal, j'en suis sûr. Il veut juste dîner avec toi et tu lui refuse ça depuis des mois..

-Tu dis ça parce qu'il te fait un gentil sourire quand vous vous croiser n'est-ce pas ? Tu es tellement naïve.

- Ce type est riche comme Crésus, il est puissant, jeune et beau comme un dieu. Qu'est-ce qu'il te faut de plus ?

-Tu accepterais toi de vendre ton corps pour de l'argent ?

-Non, biensur que non ! Jamais.. Mais c'est pas ce qu'il veut lui, il veut juste que tu lui donnes une chance. Tu lui a taper dans l'oeil, rita.

-Peut-être mais c'est un mafioso et il est hors de question que je fréquente un homme comme lui.

-Bon, c'est ton choix.... Fais-le lui comprendre alors.. Accepte son invitation. Tu pourras parler avec lui de tout ça.

Rita se grata la crinière avant de hocher la tête.

- c'est d'accord !

- Voilà. rétorqua sa soeur.

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Ceci est mon premier roman, j'espère qu'il vous plaira.
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