Je t'ai imaginé
Si beau, si grand, si fort...
Et j'en ai tant rêvé
Que s'unissent nos corps.Pour que naisse l'amour
Il te faut m'accepter
Dans tes bras pour toujours.
Ainsi me déflorer.Et dans ta nudité,
Qui l'espace de peu
Toute chose me rendrait,
Te scruteraient mes yeux.Rien n'est plus excitant
Que de voir se dresser
Ton membre palpitant
En proie à mon touché.Et sentir ta peau lisse
Sous mes doigts caressants,
Et qu'enfin s'accomplisse
Ce merveilleux instant.Tu me prendrais sans honte,
Me dérobant cette fleur.
Que ton entrain j'affronte,
Ta passion, ton ardeur.M'entendras-tu crier,
M'entendras-tu te dire:
" Ton corps est le premier
Dont le mien puisse jouir ".Ensuite je saignerais.
C'est le sang de la vie...
Ce sang dont l'homme naît
Par des femmes accomplis.Or, tout ça n'est qu'un songe
Car tu ne m'as pas prise
Je préfère le mensonge,
Ce n'est pas une surprise.Je ne veux pas ton cœur,
Ton corps me suffirait:
Posséder ta chaleur,
Ainsi que tes biens-faits.Je te veux dans mon lit,
Je n'y peux rien changer.
Viens à moi aujourd'hui,
J'ai besoin de ces mets.LISA
VOUS LISEZ
Ses désirs
شِعرCertains poèmes peuvent être crus, vulgaires. C'est pourquoi je les rassemble ici. À commencer par "Ses désirs" un poème dans lequel une femme raconte son désir pour un homme.