Un goût sucré

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Rêver de changement  :

« Comme transportée dans un endroit qui m'était inconnu, je me retrouve en sa présence.

Ces yeux brillant couleur ambre, perçant jusqu'au fond de mon être.

Ses cheveux bruns ébouriffés, et son visage aimant, me plongeant dans une profonde réflexion.

Il était bien plus grand que moi d'au moins deux têtes, si ce n'est plus, et avait une apparence très athlétique. Sous ses vêtements se dessinaient se dessinaient de magnifiques muscles.

Tout m'inspirait chez lui respect et maturité.

Je n'avais pas peur de lui, je savais qui il était, lui aussi me connaissait.

Son visage était agréable, bien que son menton fusse carré, ses joues arrondies et ses traits fins, lui donnaient une exquise douceur.

Sa peau cuivrée contrastait de façon relativement brutale avec la couleur de la mienne.

Mes yeux s'arrêtèrent sur les siens. Il avait les yeux en amandes, ainsi que de longs cils. Ses yeux vifs étaient grands ouverts, et leur ambre étincelait sous les rayons du soleil.

Son regard inquiet me fixât durant un instant. Il avait les sourcils froncés.

Il s'accroupit devant moi, j'étais assise sur ce qui semblait être un lit.

Il prit mes mains dans les siennes et avant de plonger son regard dans le mien, il examina mes bras et eût l'air horrifié.

Je regardais à mon tour mes bras et m'aperçut que ceux-ci étaient encerclés de bleus violacés.

- Dis-moi qui t'a fait ça ? me demanda t-il de sa voix douce et grave. Il paraissait s'inquiéter bien plus qu'il n'y a quelques minutes.

Mais je ne pouvais répondre, je ne me souvenais de rien. Je me contentais donc de hocher la tête pour lui signifié mon incapacité à répondre.

Plus je cherchais à comprends ce qui était arrivé, plus un mal profond s'emparait de moi, ne me laissant qu'une impression de colère, et de peur intense.

Devant la panique et l'angoisse qui s'infusaient dans mon regard, Il se radoucit, et tendit les bras vers moi.

Ses grands bras musclés, me faisait me sentir encore plus petite. Ils encerclèrent mes épaules, et m'attirèrent contre son torse.

Dans son étreinte, il me dit d'une voix chaleureuse :

- Ne t'inquiète pas tout est fini, je suis là.

Serrée contre lui je pouvais sentir le doux et attirant parfum de miel et de cannelle qu'il dégageait. »

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2.0Où les histoires vivent. Découvrez maintenant