Je roule, la nuit tombe. Le soleil descent derrière les montagnes, le ciel prend des teintes harmonieuses et laisse place à ce bleu sombre que j'aime tant. Je fixe l'horizon, la musique à fond dans mes écouteurs.
Des souvenirs me reviennent, et je me dis que c'est beau l'été, la nuit, les lumières des villes et les étoiles. Je me repasse nos moments en continue. Ils dansent par dessus le monde matériel.
Je nous revois la nuit, sur la plage, ton sourire, les étoiles filantes, t'es yeux qui brillent à la lumière du feu, le bruit des vagues, t'es cheveux décoiffé, le gout de tes lèvres, le son grave de ta voix et ton parfum. Nos foux rires tu t'en souviens ?
J'espère que tu te repasses le film en continu.
Quand on courait sur la plage, main dans la main les cheveux au vents, le froid de l'eau, la clartée de la lune, on trouvait presque que la noirceur du monde n'est qu'effetmer.
J'espère que tu repense à ça des fois.
J'arrive plus à rire comme avant, comme si il manquait quelque chose, que tu avais garder une partie de moi.
Je nous revois à cette soirée, dans un état second, au milieu de tous c'est gens qui hurlait et qui dansait. Et puis toi, seul sur une chaise, à les regarder. J'aurai voulu savoir à quoi tu pensais. Mais je ne me suis pas approché. T'étais différent, t'avais l'air tellement bien, la, à rêver. Le regard dans le vide, sans aucune expression, sans aucun sentiment.
Est ce que tu penses à moi des fois ?
Je nous revois dans cette rues pleine de gens. Et nous nous regardant en laissant de temps en temps un petit sourire innocent. Comme ci le temps c'était arrêter, un vrai rêve éveillé. Le sol se dérobait sous mes pieds, le temps semblait s'arrêter, il n'y avait plus que nous.
On me parle mais c'est comme si j'étais pas la, je répond sans vraiment savoir la question, la voix sourde et faible, mon esprit a moitié éteint. Mes yeux toujours diriger vers l'horizon je suis dans ma bulle.
Bloqué, comme emprisonné par mes songes. Songes qui ne me quittent ni le jour ni la nuit.
Les lumières qui défilent et se reflètent dans mes yeux.
Je me souvient de nous, dans cette attractions complète folle, ou des gens toutes aussi foux s'égosillaient. Nos mains glissaient le long des rambardes métalliques, nos rires qui se mélangés aux autres, l'adrénaline qui montaient en nous, ton regard vif et joyeux me transperçais et paraissait rassurant. Cette sensation de tournée en descendant elle te reviens ?
Les étoiles brillent plus que jamais dans cette plaine.
Repenses - tu a cette nuit étoilées ? Avec nos amis, tous allonger au milieu d'un parc d'enfant, dans l'herbe fine et humide, avec nos couvertures, la musique de fond d'une enceintes, les yeux rivés sur le peu de galaxie qu'il nous est donné de voir. Chacun rêvaient, et tous respections ce moment de grâce. Nos regards c'était croiser, tous deux emplit d'admiration et d'étincelles. Cette sensation de légèreté qui envahisait nos coeur. On était heureux et c'était magique.
Le ciel noir parcemet de paillettes qu'une gamine aurait jeter ici et là, les lumières de la ville paresse ridicule avec leurs lueurs jaunâtres.
Les nombreuses baladent en forêt, à marcher sans jamais s'arrêter. Les ombres formés par la lumière du soleil sur les arbres, semblait jouer sur le sol. L'air pur, les chemins parsemés de fleures colorées nous laisser s'échapper de se monde et les roche grises nous ramener à la réalité. Te rapelles tu de cette fleure que tu m'as offerte ?
Il est tard, et je pourrais continuer à te raconter tous c'est souvenirs qui reprennent vie devant mes yeux, dans l'ombre, jusqu'à ce que le soleil reprenne sa place.
Et la première fois où l'on ses parler, ou nos yeux c'était croiser, avec c'est questions maladroites, les petits rires genêt, notre conversation pas très intéressante pendant quelque minutes. On savait pas comment se dire aurevoir alors on avait juste sourie, ce petit détails, on avait bien rie hein ?
En un regard, on c'était compris. C'était fou comment on se comprenais. Cette petite lueur qui alluminaient tes yeux, qui nous faisait sourire, et on rillait jusqu'à en pleurer, sous le regard des autres qui ne comprenait pas, qui jugeait en silence. Mais on s'en fichait et riait de plus belle. Te souviens - tu pourquoi on était comme ça ?
L'air frais me frappe de plein visage, un frisson parcours mon corps, mais je m'en fiche, je suis tellement bien là.
Mais toi, de quoi te rapelles - tu? Tu te souviens de nos nuits blanches à parler au téléphone, de la couleur de mes yeux, des rêves entranges que l'on faisait, du son de ma voix, de nos sorties en ville après les cours, des moments de consolations, des disputes, de ma couleur préférée, de la haines que tu ressentais face à certaine personnes, des secrets que l'on se racontait, certains détails te reviennent ? Tu penses à moi de temps en temps ?
Seule à mon balcon, des larmes coulent sur mes joues je ne sais pas pourquoi, peut être que je regrette ce temps là, peut être que je te regrette toi.
VOUS LISEZ
Memories
RandomÊtre libre de penser, de voir le monde à notre idée, d'imaginer est l'une des plus belles choses au monde.