Chapitre 3

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Depuis trois heures nous étions arrivés. J'ai été placé sous perfusion, je ne dois donc pas bougé et c'est extrêmement désagréable. Je m'ennuie.

La bonne nouvelle, c'est que j'ai pu parler à ma famille. Principalement à ma sœur Mila.

Elle m'a dit à quel point elle regrettait de tout ce qui m'était arrivé. Elle aurait voulu être la pour moi mais Mona occupait ses pensées. C'est dur de perdre sa jumelle, et encore plus de perdre sa petite sœur m'avait elle dit, les larmes au yeux.

- Bonjour Victoire. As tu pris des forces ? Nous allons te faire passé des examens, d'accord ?

Je ne répondis rien. De toute façons quoi que je dise, quoi que je fasse, rien ne changera. Mon destin était déjà prédis.

L'infirmière m'avait enlevé mes perfusions, dès qu'elle sortit je me levai rapidement avant de sauter partout. C'était très dangereux, mais autant danser encore une fois comme une folle avant de ne plus pouvoir le faire.

- Tu t'éclate bien ?

Je me retournai et aperçut un garçons. Brun aux yeux bleu, plutôt grand de taille.

- L'intimité tu connais ?

- Non pas très.

Je marcher vers lui, et le pousser légèrement avant de fermer la porte.

- Sinon je m'appelle Olivier dit il en ouvrant la porte de ma chambre encore une fois.

- Moi c'est dégage d'ici avant que je te frappe, merci.

- Je croyais que tu t'appelais "Victoire"?

- Tu connais mon prénom ?

- C'est écris sur ton lit...

J'avais oublié. Nous avons oublié que nous avons tous une plaque sur notre lit, elle indiquait tous sur notre identité, et surtout pourquoi on était là.

Ce garçons n'avait pas tardé à la regarder attentivement. J'ai pu apercevoir son regard s'assombrir au fur et à mesure qu'il lisait. Et encore plus quand il arrivait en bas, où il était indiqué mon espérance de vie.

Le temps passent vite malheureusement.

- Je suis désolé pour ce qu'il t'arrive.

- Ce n'est pas de ta faute.

Il n'avait même pas pu répliquer. Une infirmière était venu me chercher pour mes examens. Tout ce qu'on s'était dit quand je suis parti, c'est un simple regard. Un simple regard rempli de toute sort d'émotion.

***

J'avais passé toute sort d'examens différent. Je ne pourrais même pas vous dire la quantité de sang qu'on m'avait enlevé, et la quantité de médicament qu'on m'avait injecté.

C'est quand on m'avait fait rentré dans ma chambre que je me suis senti bizarre. Tout mes sens m'ont quitté et je me suis écrasé à terre.

"Malade" Où les histoires vivent. Découvrez maintenant