Team trauma

Chapitre 2

Aujourd'hui allais être mon premier jour en tant qu'interne, j'attendais ce moment depuis longtemps et il était enfin la, je pourrais enfin observer des opérations et apprendre le métier de chirurgien.

J'ai rejoint Alex devant l'hôpital, j'ai pu constater qu'il était aussi excité que moi mais lui ce n'était pas pour la même raison, il ne faisait que de penser à la fille qu'il avait croisé la veille. Nous sommes entrés dans la salle de repos des internes pour nous changer et pour rencontrés nos collègues. On choisit nos casiers et commençons à nous changer, nos collègues sont en train de se changer également, trois filles dont la fille qu'Alex trouvait « sexy » se changent dans leurs coins tout en papotant et l'homme que nous avions croisé hier est ici également, il est seul dans son coin, cela me fait un peu de peine pour lui.

Alex : Regarde y'a la meuf sexy

Ace : Tu ne vas pas me saouler avec ça !

Alex : Y'a aussi l'autre mec bizarre

Pendant qu'Alex me racontait ses histoires d'amour, la fille « sexy » selon Alex nous regarde avec un sourire et viens vers nous suivie de ses deux amies, Alex lui fait comme par hasard son fameux sourire de séducteur.

Jo : Hey !

Alex : Salut !

Jo : C'est quoi vos noms ?

Alex : Moi c'est Alex et lui c'est Ace et toi ?

Jo : Mon nom est Joséphine mais tout le monde m'appelle Jo

Lexie : Moi c'est Lexie

Amelia : Et moi Amelia et toi la bas c'est quoi ton nom ?

Yosh : Euh... Yosh

Jo : Tu sais qui ça va être notre résident ?

Lexie : Ma sœur m'a dit que ça sera Bailey

Amelia : Quoi sérieux !

Ace : Qu'est-ce qu'il y a ?

Lexie : Elle est surnommée le tyran et apparemment elle déteste les internes

Amelia : Un peu comme ta sœur

Lexie : Ouais mais moi elle m'aime bien

Jo : Normal c'est ta sœur

Lexie : Y'a aussi Cristina qui n'aime pas les internes

Ace : Personne n'aime les internes

Amelia : Ca dépend y'a des titulaires qui sont sympa avec nous

Lexie : Comme ton frère

Amelia : Euh ça dépend avec qui, mais il est en guerre avec son chef de service

Alex : Pourquoi ?

Amelia : En fait c'était lui qui devait être chef de service sauf qu'un type lui a volé sa place

Ace : Pourquoi il lui a pris sa place ?

Amelia : Je n'en sais pas plus

Jo : Le tyran arrive !

On se met tous en ligne devant la porte, j'ai l'impression d'être a l'armée, une femme d'une quarantaine d'année avec la peau mate et bien enrobée ouvre la porte, elle n'as pas l'air très commode.

Bailey : Bonjour, je suis le docteur Miranda Bailey votre mentor, avant de commencer, sachez que je ne ferais aucuns traitement de faveur en vers qui que ce soit, que ce soit bien clair, bon on peut commencer la visite de l'hôpital.

Alex : C'est une blague

Lexie : Malheureusement non

Bailey : Silence vous deux !

Plus personne n'osait parler, on se regardait tous avec un air effrayé et nous marchions sans dire un mot en écoutant notre mentor nous expliquer le fonctionnement de l'hôpital. Bailey nous fais visiter les urgences avec ses salles de trauma pour les patients dont le pronostic vital est engagé, la cafeteria, les salles de gardes pour pouvoir nous reposer lorsque l'on travaille de nuit, les différents services et on a finis par visiter les blocs.

Notre journée fut enfin terminée, je suis rentré chez moi, enfin chez mon père car je vis toujours chez lui. Demain j'allais enfin commencer à bosser, je sens que je vais bien m'entendre avec mes nouveaux collègues, sauf avec Yosh, ce gars je ne le sens pas, il est vraiment bizarre, mais bon je fais mine de l'ignorer comme il le fait avec tout le monde. A part notre résidente tyrannique, je trouve que je suis quand même bien tombé, il y a Lexie que je trouve vraiment mignonne, je ne fais que de penser à elle depuis la fin de journée, et en plus si je me retrouvais en couple avant Alex, il serait dégouter et je gagnerais 50 dollars, mais bon je ne me fais pas trop de film, car il est partit faire je ne sais pas quoi avec Jo après le boulot. J'espère que demain ils me mettront avec un titulaire qui aime les internes et surtout qu'ils ne me mettent pas avec mon père, je ne veux pas éveillé les soupçons tout de suite.