Chapitre 3.

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Le lendemain matin je fu réveiller en même temps que le reste de la ville. Du moins je fu réveiller par le reste de la ville. Et l'odeur de pain chaud régnait déjà dans le piteux immeuble dans lequel j'avais passer une nuit agité, causer par un lit dans lequel je n'avais pas l'habitude de dormir.

Baillant, je laissa mes doigts courir dans mes fin cheveux brun jusqu'à ma nuque avant de m'étirer. Je m'avançai vers la salle de bain pour faire ma toilette.

Une fois fais je pris mon sac de voyage sur mon dos, descendant par la suite les long escaliers pour aller prendre mon petit déjeuner. Les seuls personnes présentent étaient des routier qui avait passer la nuit ici et qui devait se lever tôt sûrement pour reprendre leurs long chemin. J'étais toute petite face à eux. Toute maigre, eux avaient l'aire plus costaud. Peut être que j'en trouverai un qui ira en direction de la Caroline du sud ? Mais cela voudrait dire qu'il faudrait que j'aille à tous leurs demander uns par uns et... Ça n'était sûrement pas la meilleure des solutions, on ne sait pas sur qui on peut tomber.

Je pris du pain que j'avais recouvert de parte à tartiner avant de quitter l'hôtel. Il fallait que je reprenne vite mon chemin. La route était long et dans l'établissement pour filles dans lequel j'avais grandis, on devait déjà bien se demander où j'étais passer.

Il m'aurait fallut plus de temps.

J'avançais en regardant le décor. Les arbres étaient chacun plus haut les uns que les autres. À croire que cette forêt n'allait jamais avoir de fin, de limite et qu'il n'allait jamais y avoir de ville.

J'avais peur. Car même en plein jours je ne voyais rien. Les arbres étaient tellement haut et vaste que même les rayons du soleil ne pouvaient pas passer. C'était une atmosphère pesante, presque terrifiante car à n'importe qu'elle moment quelque chose ou quelqu'un pourrait me sauter dessus, je serai sans défense. Mes petits poing ne font carrément pas l'affaire.

......

Voilà maintenant plusieurs heures que je marchai. Je n'en pouvais plus et je n'avais aucune idée de quand j'allais enfin apercevoir la ville. J'étais faible et mes fines jambes tremblaient à force d'avoir à supporter mon poids, je n'allais plus tenir longtemps. J'aurai du prendre un vrai petit déjeuné et me faire quelques réserves pour la route.
Ce genre d'aventure j'étais loin d'en avoir l'habitude.

Mais enfin j'entendit un bruit qui m'était familier. Un grognement sans fin de moteur de voiture, se roues glissant sur le sol. Puis je sursauta. Un énorme bus de couleurs sombre me frôla. Je fronça les sourcils et grogna. Ils pouvaient pas faire attention ? Un peu plus et il m'écrasait. Puis un deuxième passa tous aussi près et cette fois j'eu le reflex de m'écarter dans un bon. Je souffla, mais ça voulait sûrement dire que la ville n'était plus très loin ?

Et j'eu raison de penser ça. Dix bonnes minutes plus tard mon regard se posa sur plusieurs immeubles qui se dressaient face à moi. Si ici je ne trouvait pas d'aide pour savoir le chemin que je devais emprunter alors c'est qu'il y avait un problème.

Un fois pénétrer dans la ville je fu surprise d'y voir autant d'activité.
Les gens marchaient ensembles, dans la même direction. Chaque trottoirs avait sa directions.
Chaque immeubles avaient ses activités, chaque personnes un style particulier. Ici chaque personne était différente en étant tous de même identique aux activités des autres. Métro boulot dodo.

Tous ça me ferai presque peur. Je n'avais pas l'habitude de traîner dans ce genre de foule. Autant d'activités, de bruit d'un coup me terrorisait presque.

Puis un groupe me rendit encore plus curieuse que je ne l'étais déjà. M'obligeant à m'approcher. Un groupe de filles, chantant ( Du moins tous ça ressemblait plus à des hurlement mais j'imaginais que ça devait être ses chansons ), dansant des chansons qui ne m'étaient pas inconnu puis ce que la moitiés des filles de mon dortoirs les écoutaient presque en boucle.

Mon dieu non. Je ne savais plus si je devait crier victoire ou non. Ni si c'était le hasard qui m'avait vraiment amener ici. Je reconnaissais son visage sur les affiche recouvrant la structure de l'établissement. Je reconnaissais son nom écrit.

Il fallait que je trouve une idée.

Il fallait que j'entre dans le concert de Justin Bieber pour enfin parler à mon père.

__

Hi ! Vous allez bien ? Voilà la suite de mon histoire. Je sais, que mes chapitre ne sont pas très long, mais tous ça viendra par la suite puis-ce que ça n'est que le début ! :) Et Justin Bieber entrera dans les prochains chapitres.

Bisous, Roxane.

Un long voyage. With Justin Bieber.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant