Un long voyage. With Justin Bieber.

Chapitre 1.

• Point de vue : Nina Braun.

23h - Lundi - 7 avril.

Mes cheveux bruns étaient attacher et remonter dans un rapide chignon, laissant quelques mèches retomber autour de mon visage. Mes yeux bleu étaient légèrement maquiller de noir et mes joues rougies par le froid.

J'étais sobrement vêtu. Un survêtement gris et un débardeur blanc car enfaite les filles de mon dortoir dormaient et j'étais censé faire la même chose de mon côté sauf que j'avais autre chose en tête.

Puis silencieusement je remonta la couverture et me leva, grimaçant à chaque fois que le vieux plancher grinçait sous mes pas. J'enfila rapidement ma paire de basket en essayant de garder l'équilibre quand j'étais sur un pied. Après mettre glisser dans mon gilet je remonta le long de mon épaule mon sac de voyage et je me dessina un trajet hors de la pièce pour fermer doucement la porte derrière moi.

J'avais de la chance. C'était un vieux bâtiments ne possédant aucun système de sécurité et le seule moyen de se faire choper était de tomber sur un des surveillant de garde à cette heure là.

J'avais déjà tous prévu.

J'étais silencieuse, moi d'habitude maladroite, je fessais attention à chacun de mes gestes. Au moindre faux pas je pouvais dire bye bye à la libertés ils m'auraient à l'œil.

Je m'avançais en direction de la casse de la gouvernante pour récupérer mon téléphone avant d'avancer vers la lourde et immense porte qui représentait l'entrée principal du bâtiment, mais aussi la seule qu'il y avait.

Je n'avais prévenue personne pour mon départ. C'était risquer puis ici je n'avais pas d'amie. Les filles avec qui je partageaient le dortoir ne m'aimaient pas. C'est vrai que je suis horriblement froide avec les gens. J'aime mal leur parler, je ne voulais pas devenir comme elles, nian nian à commenter tous les actes de leurs idoles " Justin Bieber " quand elles pouvaient voir la dernière photo qu'il avait poster ou sa dernière chanson de façon à ce que leurs petite culotte sois mouiller.

Je ne comprendrai jamais ce qu'elles ont avec lui. Oui, bien sûr que ce mec est magnifique, mais c'était le protéger du mec qui en temps normal je devrais appeler " père " ou " papa " alors je ne l'aimait pas. Même si ce pauvre gars ne m'avait rien fait. Peut être que si il n'avait aucun lien avec Scooter je pourrai être " Fan ".

Bref, traversant le parc en regardant là ou je mettais les pieds pour ne pas tomber dans un trou ou je ne sais quoi, je lança mon sac de l'autre côté du grillage pour ensuite l'escalader, à moi la liberté. Puis une fois retomber sur mes pieds de l'autre côté. Je pris mon sac et commença à courir aussi vite que je le pouvais. C'était enfin arriver. J'étais sortis de cette établissement ou l'huile de fois de morue était encore à la mode. Quand les grilles du bâtiment m'était hors de vue je posa mon sac au sol histoire de reprendre un peu mon souffle. Puis je repris mon chemin tranquillement. Il fallait que quand la gouvernante entre dans les dortoirs je sois déjà loin.

Je savais ou je devais aller, mais je ne savais pas encore comment j'allais m'y rendre ou encore si j'allais y arriver avant que mon père ne lancé un avis de recherche pour pas que les média n'apprennent qu'il a une fille et un fils.

Je dramatise beaucoup les choses c'est vrai mais ça aussi c'est moi. Je n'ai pas beaucoup de qualité mais des défaut je pourrait vous en citer des centaines.

Puis un lourd bruit se fit entendre derrière moi, mais je n'y fit pas attention, jusqu'à ce qu'il s'arrête à mes côtés.

" Je te dépose quelques par ma belle ? " Lâcha l'homme, conducteur du camion au moteur maintenant mort, de sa voix rauque presque fatiguée.

" Non ça ira. " J'eus lâché ces quelques mots dans un souffle en m'arrêtant enfin. Je soufflai, laissant de la buée sortir de mes poumons.

Puis j'ouvris la lourde portière et me laissa tomber sur le siège passager précédemment recouvert de vieux sachet provenant de fats food.

" Tais toi " Lâchai-je dans un murmure en voyant son sourire victorieux. Mon sac de voyage sur mes genoux, j'étais prête à m'endormir et à faire confiance à cette homme que je ne connaissait pas.

11h - Mardi - 8 Avril.

C'est seulement quand le moteur arrêta de grogner que je rouvrît les yeux. J'avais une horriblement migraine et je regardait autour de moi presque paniquer, n'ayant aucune idée de la où j'étais.

" Merci " grondai-je au conducteur avant de descendre du véhicule, détachant me cheveux pour les laisser retomber en cascade sur mes épaules.

Me voilà encore plus perdu. Je ne savais pas d'où j'étais partis et encore moins où j'étais arriver. J'aimerai que tous sois plus facile. En un claquement de doigt revoir mon petit frère.

--

// HEYYYY, merci d'avoir lu ! C'est un chapitre niait mais c'est le premier, c'est normal :D donnez moi vos avis positif comme négatif, bisous, Roxane.