Un long voyage. With Justin Bieber.

Chapitre 9.

Mon père ? Il se prenait enfin pour mon père après 21 ans ? Je croyais rêver.
Je ne bougeais plus, j'étais bloqué sur ses derniers mots.
Je secouai la tête dans un élans de rage avant de quitter la pièce. Je pris rapidement le chemin des escaliers.

" Nina attends ! " Cria Justin, mais j'étais déjà en train de dévaler les escaliers.

Où j'étais ? J'en avais aucune idée, mais je venais de quitter le bâtiment dans lequel nous étions par les cuisines et j'avais commencer à avancer dans les rues. Cette idée me tracassait. J'allais tournée ça dans ma tête un long moment. Ça faisait déjà vingt-unes longues années que j'attendais d'entendre ses mots. Et si il se prenait pour mon père, pourquoi est-ce qu'il ne m'aidait pas directement en me disant où était Mathieu ? Ça irait plus vite et ça nous empêcherait, qu'une fois en Caroline du sud on ne cherche partout.

Ou peut être bien qu'il faisait ça simplement car il ne voulait pas que Le beau Bieber ne traine avec une fille comme moi. C'est vrai après tout je ne suis pas connue. Sortir avec moi ne servirait à rien. Ça ne ferai pas de pub, ça ne rapporterai donc pars d'argent en plus. Et à mon avis c'est l'argent qui dérangerait le plus mon père.

Oh, une rivière. Je m'y avançais donc, me posant dans l'herbe. Rapprochant mes genoux de ma poitrine, je ne pu que me plonger dans mes songes.

" Pour ton père, idiote. "

Ça me restait dans la tête. Ça m'empêchais même de me concentrer sur ce qu'il c'était passer juste avant.
Le baiser que j'avais échangé avec Justin. Non mais quand même. Il y a quelque temps je ne pouvais pas le voir et là, aujourd'hui je l'embrasse ? Quoi que comme premier baiser... ah mais non Nina, ne commences pas à penser à ça. Chaque choses en son temps.

Je regardais l'eau du petit fleuve frapper contre les cailloux. J'avais quand même du partir assez loin pour tomber là dessus, car je n'avais aucun souvenir du fait qu'il y avait des arbres près de notre hôtel. En me relèvent, j'eu me reflex de tapoter mes poches. Non.. J'étais partis sans mon téléphone. La cruche. Comment j'allais retrouver mon chemin maintenant ?
Je me sentais tellement conne.. Et pour qui j'allais passer moi devant Justin ? Y'a que moi pour finir dans ce genre de situation, j'en suis sûr.
Je regardai autour de moi. Si ça se trouve ils me cherchaient déjà. Quoi que si ça se trouve mon géniteur avait déjà tourné l'esprit du canadien en lui disant que j'étais inutile et que j'étais juste un poids sur la tournée et que partir sans moi ne serais pas désagréable. Même si j'avais compris que Justin n'était pas comme ça.

J'avais le choix entre aller à gauche et aller à droite. Hm... Aller la gauche. De toute façon comme on dit, qui ne tente rien n'a rien.

J'avançais alors en regardant autour de moi. Une nouvelle fois, tout se ressemblaient, il n'y avait aucune indication sur où menait les sentiers et il n'y avait pas l'aire d'avoir non plus de source de lumières. En faite oui, je commençais de plus en plus à avoir peur de ce qu'il pourrait m'arriver. N'importe qui pourrait me tomber dessus et c'est pas avec mon maigre physique que je pourrai me défendre.

Quelques étoiles étaient déjà présenté mais le soleil n'était pas encore totalement couché; ce qui créait une atmosphère rafraîchissante dans cette forêt. Mais ça voulait dire qu'il allait falloir que je me dépêche de trouver une sortir à se labyrinthe géant. Je suivais alors le petit sentier de terre au bord duquel il y avait quelques vieux lampadaire au ampoules cliniotantes qui se placaient au dessus de quelques vieux bancs de bois.

Puis j'entendis des cries. Je commençais à regarder autour de moi, j'avais vraiment peur. Et c'est cris ce rapprochaient lentement. Je fermais les yeux, me concentrant sur ces cris. Je fronçais ensuite les sourcils et vint sourire doucement. C'est Justin qui me cherchait en criant mon prénom. Quant  il m'aperçu enfin, il me prit dans ses bras, me collant contre lui.

" Pardonne-moi " chuchotai-je dans le creux de son coup. Je m'en voulais tout de même de l'avoir forcer a me couriez après pour me retrouver.
Il me jeta un regard et reprit son chemin, silencieux.

Je le suivi alors sans faire d'histoire, j'en avais déjà fais asser pour aujourd'hui. Mes mains glisser dans les poches du bas que je portais, regardant mes pieds, culpabilisant tout de même de l'avoir obligé à me courire après et de mettre perdu en pleins milieu de cette forêt qui au final était toute petite.