Chapitre 4: Esprit

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William

Je les informes sur ce qui vient de se passer.
Arthur-  Es-tu en train de me dire que j'étais possédé?
Rebecca- Tu en avait l'air.
Arthur- Je me souviens uniquement d'avoir enfilé une bague. Ensuite, plus rien.
Rebecca sortit la bague de sa poche.
Rebecca- Je crois que c'est à cause de cette pierre.
William- Les chances sont fortes.
Rebecca- As-tu vu d'autres bijoux de ce genre?
William- Oui.
Rebecca- Il faut aller les chercher et s'en débarrasser.
Rebecca se lève et descend les escaliers. Elle remonte avec la boîte. Je le prend et je l'observe. Tout les bijoux avaient cette pierre. Je prend un des colliers et j'arrache la pierre. Soudainement, le collier disparait en fumée.
Arthur- Hm... on dirait que les bijoux on comme... un coeur?
Rebecca- On dirait que lorsqu'ils perdent la pierre, les bijoux disparaissent.
William- On a juste besoin de tout les enlever.
À ces mots, la boîte bouge toute seule. Surpris, je saute dessus, mais la boîte esquive rapidement. La boîte bouge de plus en plus et elle est maintenant dans les airs. Rebecca saute pour y atteindre, mais en ait incapable. La boîte s'envole vers les autre étages.
Arthur- Je crois qu'on dans une maison hantée.
Rebecca- C'est maintenant que tu t'en rends compte?!
Je me retourne pour m'installer sur le canapé du salon. Je me relève au son d'un *click*. La porte 2 est maintenant légèrement ouverte.
William- La gang! Il y a une porte qui s'est ouverte!
Ils se retourne et viennent dans ma direction. On marche vers la porte et j'ai décidée de sortir mon fusil pour sécuriser la pièce. Je pousse un peu la porte pour rentrer, mais lentement. Après une longue minute de silence, je prend le premier pas dans la pièce. Les poils sur mon bras se lèvent.

Rebecca

Je ne vois pas encore le contenu de cette pièce. William était en avant suivi d'Arthur. Moi j'attendais qu'ils finissent de vérifier la pièce pour que je puisse enfin rentrer. William à la première réaction, il avait l'air surpris et à la fois empli de rage. Je décide donc d'y aller à mon tour. Des squelettes étaient accrochés sur les murs de cette pièce sans fin. Par dessus chaque crâne, une photo y était.
Rebecca- Proviennent-ils de vrai personne? Dit moi qu'ils sont faux!
Arthur se rapproche du squelette le plus près et il l'inspecte.
Arthur- Ce sont des vrais.
Un frisson parcourt mon corps tout entier.
Rebecca- Je...
William qui avançait dans la pièce regardait chaque squelette pour se rendre compte que les corps devenaient de plus en plus... frais.
William- Ils sont en ordre d'état de décomposition.
Arthur- Oui, mais la question est : Pourquoi y a-t-il des photos par dessus chaque squelette?
Rebecca- C'est une photo de la victime.
William- Les chances que ce que tu dis sois vrai sont très hautes.
William continuait à avancer jusqu'à temps de disparaître dans le noir de la pièce. On entendait ça voix au fond.
William- Vous devez voir ceci.
Moi et Arthur ce regarde dans les yeux avec un air inquiet. Nous marchons vers la voix.
La pièce devenait de plus en plus clair et l'odeur devenait de plus en plus insupportable. On regardait les murs pour voir ce qui ne me paraissait plus être des squelettes, mais plutôt des corps. On pouvais clairement voir que la photo par dessus la tête était en effet une photo de la victimes. William regarde le mur plus loin, mais pas de corps était accroché, mais la photo l'était. Arthur comprend pourquoi il l'observais avec autant d'attention.
Arthur- Il doit encore être en vie! Il n'est pas sur le mur.
William- Notre père est fort, il vit c'est sûr.
Je m'approche du cadre sur le mur pour voir la photo de leur père. L'homme leur ressemblait tellement, mais au contraire des autres photos, on voyait uniquement le visage et pas le reste du corps. Ce n'est probablement pas important, seulement une remarque. Je leurs laisse un peu le temps de recevoir cette information et je continue pour voir d'autre cadre. Cette fois si, ils étaient vide. Ce qui attire moi attention, c'est qu'il y en a trois, comme le nombre de personne dans cette maison. Je fais signe à William de venir pour lui montrer.
William- C'est probablement une pure coïncidence.
Je n'en était pas certain.

Arthur

Cette odeur de décomposition me leva le cœur, je devais sortir d'ici avant de vomir sur le sol. Je voulais laisser ces pauvres gens reposer en paix, alors je me suis retenu et je suis sorti. En sortant, je suis parti en courant vers la salle de bain dont je n'avais pas encore utilisé depuis mon arrivé. Tout ce que j'ai retenu est sorti d'un coup. Quel soulagement! En m'essuyant la bouche, je décide de sortir. Quelques pas plus tard, j'y suis retourné en courant. Mon frère avait raison. Il n'arrêtait pas de me dire à quel point je suis faible. Il me proposait de ne pas venir, mais je savais qu'il aurait besoin de moi. J'ouvre le robinet et je mets ma tête en dessous pour me rincer un peu la tête et je bois une gorgée d'eau. Je m'appuie sur le mur pour prendre de grande respiration. Je regarde le miroir devant moi, mais la réflection était... inexacte. Mes mains n'étaient pas sur le mur, mais sur le côté de mon corps. Je reprends ma posture et j'approche ma main du miroir, lentement... Avant même d'y toucher, une craque se forme en plein milieu. Je fais le saut et j'éloigne ma main du miroir. J'observe celle-ci qui s'est formée. Elle est parfaitement droite, ce qui n'est pas normale. J'approche ma main une fois de plus du miroir. Cette fois-ci, le miroir reste intacte. Cependant, ce qui change, c'est moi. Mes yeux s'emplissent de noir. Je décolle ma main en sursautant. Je m'apprête à quitter, mais la porte ce ferme avec un bruit puissant. Elle est verrouillé. Je tente d'ouvrir, mais la porte ne bouge pas. Je commence à frapper la porte. J'ai soudainement senti que ma force sortir de mon corps et je m'évanouie.

William

On sort enfin de cette étrange pièce pour retrouver Arthur. Je sais qu'il est incapable de soutenir l'odeur de décomposition. Tout ce qui pue lui lève le cœur. Je cris son nom, mais aucune réponse.
Rebecca- Ça lui arrive de s'enfuir comme ça?
William- Ouais, tout le temps.
On entend soudainement le son de quelqu'un qui s'écroule. On se regarde dans les yeux. On avait une petite idée que c'était Arthur. Rebecca court vers l'endroit dans lequel le sons est provenue. Moi, je marche. Je ne gaspille pas mon énergie pour aller aider mon frère qui s'est évanoui à cause de son mal de cœur.
Rebecca- Il est dans la salle de bain. Il a barré la porte.
William- Il n'y a jamais eu de serrure sur cette porte, c'est pas lui qui l'a verrouillé.
Je sors mon fusil et tir sur la porte. Mais rien ne se produit.
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Voilà, je n'ai pas écrit depuis longtemps alors, voici le chapitre. Regarder pas les fautes d'orthographes, je suis humain, j'en fais de temps en temps.

Votez sur le chapitre pour en avoir d'avantage.

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