♠partie 6♠

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Je souffle un grand coup et y entre ....
Je vois ma reine dans un brancardier couvert par un drap plus blanc que blanche neige. Je n'osais guère enlever le drap qui la rendait plus mortuaire je pensais au lieu sombre ou elle sera enfuis sur place attendant l'appel d'une vie sans trêve d'une vie au delà des vies d'une vie ou elle sera guérit de tous ces maux. Ma maman avant de succomber elle a beaucoup souffert. Et aujourd'hui la voilà se retiré du foule pour se réfugier dans son sombre nouveau demeure. J'aurais bien aimé la suivre dans ce dernier mais ce n'est pas à moi de décider ou et comment. Me voilà aujourd'hui avec les rêves basculant de coté. J'aurais bien aimé que ma mère assiste a ma réussite qu'elle garde mes futurs enfants pour moi quand j'irai au boulot qu'elle leur raconte tout mes folies de jeunesses mais tout s'est écroulé tay. J me rend compte du vrai sens de cette adage c'est gratuit de rêvé mais on paye toujours pour les réaliser.
Mon père non mon géniteur puisqu'il ne mérite pas le nom papa il est le pire monstre que je connais. Comment peux t-on tué la femme qui nous a complété durant 20ans.
Es ce que sax je suis né dans les lois de l'amour j'en doute fort.
Car j'ai jamais vu mon géniteur sourire à part des sourires sadiques.
Mais je jure devant dieu qu'il me payera chair je lui ferais souffrir jusqu'à ce qu'il me demande de le tué. Wallaie le sort sera lent à faire effet je te le promet maman ma vengeance sera démoniaque.
*-*ma fille la vengeance c'est pour les faibles te rabaisse pas t'es plus forte que ça.
Je me tire de mes pensées
_maman c'est toi
*-*oui ma princesse. Sache que les épreuves viennent tout juste de commencer et n'oublie pas dieu n'endure que les croyants soit forte ma princesse avec un sourire large
Elle était toute blanche et plus belle que d'habitude.
_ maman t'es revenue je savais que t'aller pas me laisser seule en courent dans ses bras mais je manque pas de tomber
Et là je vient de me rendre compte qu'elle était vraiment parti pour de bon je ne voyais que des hallucinations. Je me remis à pleurer comme une pimbêche jusqu'à ce que des bras musclés viennent m'encercler avec. J'ai directe su que s'était ada grâce à son parfum caramélisé.
Je me retourne vers lui en le serrant plus et lui aussi resserre son étreinte.

_Ada sama yaye waxou ma wone li elle m'avait promis qu'elle serait toujours la pour moi <elle ne m'avait pas dis ça> en pleure

Ada: le destin n'est pas envisageable fatima il est imprévisible. Je te croyais plus forte que ça yalla bou soxla nieup niak <quand dieu veut tout le monde perd> ta maman ou qu'elle soit elle veillera toujours sur sa petite fille. Certes c'est pas facile de perdre une mère mais il faut que tu te prenne en main ne te laisse pas abattre ta mère ne serai pas fier de toi de là où elle est.
Maintenant sèchent moi ces larmes et allons-y

_adieux maman sache que tu es et restera mon premier amour. je t'aime.

Sur ce je quitta la salle avec une pensée lourde dans ma crâne je suis devenue orpheline
Je viens tout juste de me rendre compte que la vie n'est qu'éphémère tout a un délai comme on le dit si souvent seul dieu est omniprésent. Dieu nous montre chaque jour chaque heure chaque minute chaque seconde... Qu'il est le tout puissant et pourtant y'en a qui se prenne pour dieu. Ils se croit plus fort que tous et tous ces pensées merdiques pourquoi parce qu'on a plus d'argent que l'autre parce qu'on n'est directeur d'entreprise parce qu'on n'est le patron en somme parce qu'on est bourgeois et qu'on a un classe social plus élevé que celle d'autrui mais n'avons nous pas oublié que yalla mayé woul da abalé (dieu n'est pas donneur il est bailleur)
La richesse n'est que terre...

A peine sorti de la salle qu'on n'entend des Arrêtez-là par ci des Arrêtez-là par là... Puff
Je vois mon géniteur avec deux officiers de police se dirigés vers moi et Ada
L'un me dis: vous etes fatima soumaoro?
_euh oui
L'autre me jette: vous êtes en état d'arrestation pour le meurtre de Assiatou mendy diop
_mais monsieur l'officier c'est pas moi c'est cet homme qui l'a tué en désignant mon geniteur du doigt
Policier1: jeune fille veuillez garder le silence d'accord tout vos propos pourrons se retourner contre vous vous nous suivez maintenant sans broncher.
Il essaie de me passer les menottes mais Ada le tient par le bras
Ada: vous n'avez pas le droit de lui passé les menottes certainement pas.
_ada laisse les faire leur travail justice sera fait inshalla je te le promet.
Je regarde les alentours et vois haby au sol en pleure. Je me retourne vers ada et lui dis
Prends soin d'Haby...

OrphelineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant