𝑺𝒄𝒉𝒐𝒐𝒍 𝑾𝒓𝒊𝒕𝒊𝒏𝒈 𝑩𝒐𝒐𝒌 1 𝒆𝒕 2

Rédaction n•2

Rédaction n2

26 novembre 2015

Sujet : J'imagine une suite à la nouvelle de Maupassant, La Parure, juste après la chute, quand Mathilde a appris que le bijoux était faux

Histoire : La Parure (écrit par un auteur)

Jeanne Forestier avait dit à Mathilde que la parure qu'elle lui avait pretée pendant le bal était une fausse, Mme Loisel choqué resta sans bouger, les 10 ans qu'elle avait perdue pour rembourser ce collier qui ne valait même pas 500 francs. Elle restait là debout à fixer Mme Forestier, le visage livide; les larmes commencèrent à coulé une à une, Mme Forestier affolée de l'état de son amie dit :

- Mathilde comment aurais-je pus savoir que la parure que tu m'avais rendue ce soir là n'était pas celle que je t'avais donné, pourquoi n'était tu pas venue me le dire ?

Mathilde le visage bouffie par les larmes dit :

- J'avais eu peur, peur que tu t'énerves et que tu ne veuilles plus rien me prêter d'autre.

- Si tu me l'avais je t'aurais dit qu'elle était fausse, qu'elle ne valait pas plus de 500 francs... Que puis je faire pour t'aider ? Pour te rendre les 10 années que tu as perdue ? dit Jeanne Forestier

- Comment pourrais-tu me rendre les 10 années que mon mari et moi avions passé à travailler dure, à faire un travail aussi acharné.

10 années... dit-elle le regard lointain

Mme Forestier s'avança vers Mme Loisel, la prit dans ces bras et lui dit d'un tont doux et d'un regard joyeux :

- Viens à la maison ! Nous buvrons du thé, mangerons des petits gâteaux et essayerons des habits à nous en faire mal à la tête. Dit elle d'un sourire rayonnant

Mathilde hésita quelques instants puis accepta, elle partèrent jusque chez son amie.

Une fois dans la grande maison de Jeanne, Mme Loisel se rappela tout les moments passés ici avec son amie et sourit, quand elles eurent finis de prendre le thé, de manger et d'essayer des habits Mme Forestier prit la parole et dit :

- Est-ce que je pourrais t'aider à trouver un assez bon travail et t'acheter une nouvelle garde robe ?

- Comment ? Dit Mathilde

Jeanne lui répondit :

- Je m'occupe de tout très chère fais moi confiance et tout ira bien !

Après mainte réfléxion Mathilde fut d'accord.

1 ans plus tard comme promis, Mme Loisel et son mari Richard vivaient paisiblement et heureux, ils avaient une nouvelle garde robe, mangeaient à leurs faim, dormaient bien et habitaient dans une nouvelle maison. Ils vivaient maintenant heureux et ne manqueront plus jamais de rien.

Correction

Jeanne Forestier avait dit à Mathilde que la parure qu'elle lui avait prêtée pendant le bal était une fausse. Mme Loisel choquée resta sans bouger, pensant aux 10 ans qu'elle avait perdu pour rembourser ce collier qui ne valait même pas 500 francs. Elle restait là, debout, à fixer Mme Forestier, le visage livide; les larmes commencèrent à couler une à une, Mme Forestier affolée de l'état de son amie dit : "Mathilde comment aurais-je pu savoir que la parure que tu m'avais rendue ce soir-là n'était pas celle que je t'avais donnée, pourquoi n'étais-tu pas venue me le dire ?"

Mathilde le visage bouffi par les larmes dit : "J'avais eu peur, peur que tu te fâches et que tu ne veuilles plus rien me prêter d'autre.

"Si tu me l'avais dit je t'aurais dit qu'elle était fausse, qu'elle ne valait pas plus de 500 francs... Que puis je faire pour t'aider ? Pour te rendre les 10 années que tu as perdues ?" dit Jeanne Forestier

"Comment pourrais-tu me rendre les 10 années que mon mari et moi avons passées à travailler dur, à faire un travail aussi acharné, 10 années... dit elle le regard lointain."

Alors Mme Forestier s'avança vers Mme Loisel, la prit dans ses bras et lui dit d'un ton doux et avec un regard joyeux : "Viens à la maison ! Nous boirons du thé, mangerons des petits gâteaux et essayerons des habits à nous en faire mal à la tête"

Mathilde hésita quelques instants puis accepta, elles partirent jusque chez son amie. Une fois dans la grande maison de Jeanne, Mme Loisel se rappela tour les moments passées ici avec son amie et sourit. Quand elles eurent fini de prendre le thé, de manger et d'essayer des habits, Mme Forestier prit la parole et dit : "Est-ce que je pourrais t'aider à trouver un assez bon travail et t'acheter une nouvelle garde robe ?"

- Comment ? Dit Mathilde

Jeanne lui répondit :

" Je m'occupe de tout très chère fais moi confiance et tout ira bien!"

Après mainte réflexion Mathilde fut d'accord

Un ans plus tard comme promis, Mme Loisel et son mari Richard vivaient paisiblement et heureux, ils avaient une nouvelle garde robe, mangeaient à leur faim, dormaient bien et habitaient dans une nouvelle maison. Ils vivaient maintenant heureux et ne manqueraient plus jamais de rien.

Remarque

Une suite de texte bien développer et assez bien rédiger. On ne comprend pas bien, cependant, pourquoi Mme Forestier ne rend pas la parure à Mathilde.

La conjugaison des verbes au passé simple doit encore être améliorer