36: Guerre des anges.

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Ethan

C'est par une amie morte d'inquiétude que mes yeux clos s'ouvrent. C'est par son cris que mes membres réagissent et la protège d'un homme aux griffes acérer et a l'apparence d'un animal féroce et sauvage. Je n'ai absolument pas le temps de me réveiller de mon sommeil profond et paisible que mon inquiétude viens me ronger  l'esprit. Les questions se querelle dans ma tête encore embrumer et il me faut bien toutes mon contrôle personnel pour réagir avant que le beau visage de Sophie ne sois déchirer et maintenant ensanglanter. Je reste figé là à tenir le mauvais poignet de son agresseur,  assis sur le divan. Son cris me déchire le cœur  ainsi que l'âme. Elle recule sanglotant et tenant son visage habituellement blanc, doux cependant rouge et défigurer a présent. Mon cœur saute dans ma poitrine et en un rien de temps je prend ma forme animal immense. Mon aura sort d'un coup et j'ai l'impression que la bête féroce qui viens de blesser ma meilleure amie se transforme en un louveteau apeurer qui se pisse dessus. Je ne lui offre même pas la seconde qu'il faut pour se soumettre que je lui dévore les tripes et le réduis en un tas d'os et de chair. Je laisse toute la liberté a mon loup pour qu'il puisse lui aussi se régaler du spectacle et une fois que s'en ai assez, et une fois que j'entend les souffrance de ma chère amie, je détourne le regard et accours a elle. Rapidement la stupide victime se tait et essaie de me sourire a travers ses mains comme si elle souhaitais que mon inquiétude palpable retombe. Je reprend ma forme humaine et enlève ses mains pour voir se que cette enfant a obtenue de s'être approcher du village appartenant a ma meute. Mon visage se déforme par la colère et la rancune et rapidement je la prend dans mes bras sous ses gémissements de douleur qui me tordais le cœur comme si c'étais un chiffon humide. Son corps tremble et je fait l'erreur de la regarder a nouveau. Ma rage ne fait que s'accentuer et mes jambes bougent toutes seule courant vers la sortis du bâtiment. La porte grande ouverte sur l'ensemble de ma grande famille de cœur et d'âme me pétrifie et me laisse sans voix. Le feu, la mort et la désolation me secoue comme un coup de canon dans ma poitrine. Des gens au sol sans vie on l'air de protéger le bâtiment même dans la mort comme de vrais soldats loyale et fier.J'entend Sophie m'appeler comme si elle voyais a quel point je semble choquer de voir ce tableau de massacre dans les teintes de gris et de rouge pourpre. Je pose un pied tremblant de rage intense sur le paver de gravier maintenant salie. Les cris de mes frères et sœur me coupe le souffle et je me dépêche de cacher Sophie. Je cours les bras ouvert et griffus essayant d'aider le plus possible. Les femmes se font dévêtir et les hommes tuer. A peine ai-je déjà égorger un homme qui regardais son travail que tout les autres me regarde la queue entre les jambes. Je grogne de rage et l'un sonne de sa corne un sifflement grave et  fort qui retentis dans le vide amer. Je m'approche vers eux effleurant presque la folie. Je rie de chagrin et de rage et avant qu'ils me demandent pitié je met fin a leurs cris et leurs courses contre le file de la vie que j'arrache de mes mains tueuses et acérer. Je dois avoir tuer une dizaine de personne seulement en les frôlant de mes crocs et mes griffes. Ils tombèrent un par un. Me donnant une noisette de paume sur le cœur a chaque fois que j'en arrachais un de leurs poitrine et leurs corps abominable. J'avais l'impression de perdre la tête. En voyant ma meute que j'ai jurer a mon père de protéger mourir et souffrir ainsi. Je croyais avoir besoin de me pratiquer au combat, d'apprendre des techniques mais ma frénésie meurtrière faisais en fait tout le travail. Je n'avais qu'à souhaiter voir un homme ou une femme mourir et une seconde après il ou elle se retrouvais comme tout les autres, au cieux. Je laisse mon loup se déchaîner et prend les reines quand j'en veux aussi mais jamais au grand jamais je ne regrette mes gestes certes horrible mais justes. Je ne tue pas par plaisir, mais par justice. Une fois la zone laver des ennemis j'aide les enfants, les femmes et  les hommes survivant. Je reviens vers Sophie et l'aide a marcher dans sa souffrance. Elle tiens un petit garçon en pleure et blesser m'aidant dans ma tentative de sauvetage. Plus l'adrénaline tombais, plus je me sentais impuissant. En voyant tout c'est personnes qui me demandais le l'aide et me demandais de les protéger. J'ai aider du mieux que je pouvais. Mon ouvrage étais dur mentalement mais je devais donner l'espoir comme mon père la toujours fait. Il faut que je garde en tête mon rôle et que je l'applique. Plus je m'aventurerais dans le désastre plus mon armée de blessés et d'homme et de femme en mesure de marcher grandissais. Enfin rendu a l'infirmerie je pus soupirer et sourire malgré que mon visage restais couvert de sang et de terre.  J'avance sur les roches tacher de rouge, le visage soudainement changer par l'effroi. J'ai crue que l'infirmerie serais un bon refuge, un endroit sauf pour les survivant soulager d'être en vie. Cependant voir ce bâtiment ou les gens crient et déborde tentant d'obtenir des soins que se sois pour leurs enfants, leurs amours ou eux même, me glace le sang. L'endroit est bondée. Complètement chaotique. La douleur se lisais sur les visages des gens, peux importe s'ils étaient blesser. Par infime chance, l'infirmerie n'a pas été toucher par contre veuillez me dire se qui est plus important, les habitants ou ce bâtiment. Mon peuple, ma famille; absolument détruite. Par ma faute les gens sont  blesser, mort, triste et effrayer. Comment ai-je pus dormir paisiblement alors que les gens mourrait autour de moi. A peine la semelle de mes souliers de courses touche le sol froid du matin et chaud du sang couler par les victimes d'un tragique événement, les gens cours vers moi me demander de les aider. Mon souffle s'accourcit devenant presque même superficiel alors que les gens se battes pour me demander grâce. Il viennes même a me bousculer et me tire criant et pleurant. Quelqu'un dois les calmer bon sang! Puis, une petite lumière s'allume dans ma tête et la panique commence a quitter mon corps. Je me redresse et dégage mon aura qui grossit jusqu'à entourer tout les personnes. Je la projette pour qu'elle se dois réconfortante et vie les gens s'apaises et se calme n'étant plus qu'un regroupement de personnes en détresse. Je prend plusieurs inspirations devant d'abord me calmer. Je réfléchis et sourie parlant comme si j'étais mon père. Sa maturer et sa sagesse est venue en moi comme une boué de sauvetage que j'ai attraper parmi cette mer de larmes couler par les survivants. 

Créatures : La Guerre Du LoupOù les histoires vivent. Découvrez maintenant