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Ethan

Enfin à la maison! J'ai rêver de voir ma bonne vielle demeure toute la journée. Je sourie et au lieu de rentrer, je m'assois sur le banc en bois à la peinture écailler à coter de chez moi. Je ferme les yeux et soupir en souriant. Le silence de la nature et la faible lumière du soleil me berce. Je crois même, pendant une seconde, que c'est ma mère qui chante à la place du vent. C'est cependant tristement impossible, j'aimerais pourtant. Alyce Belise, ma magnifique mère, étais douce et gentille. Sa beauté étais remarquable et être son enfant est un honneur. Mon père, après la mort tragique de ma défunte maman, à change complètement de comportement. Avant il étais doux, souple et souriant et maintenant, il n'est pas commode, strict et froid comme la glace. Il prend davantage soin de sa meute me délaissant, moi sa dernière famille mis à part Benoît son frère. J'ai toujours essayer de remonter le morale de mon père mais j'ai moi même de la difficulté à le faire. Je cherche surtout à le rendre fier de son fils et, bien entendue être digne d'être le fils d'Alyce. J'écoute le doux chuchotement du vent et j'entend une voiture approcher. Je le confirme lorsque j'entend deux portes claquer et que j'entend le murmure d'une conversation. Je penche ma tête pour voir qui peut bien être là mais je ne vois que le Dodge Ram de mon père. J'étais si distant de la réalité et perdu dans mes penser que je n'avais pas remarquer l'absence de mon paternel et de son énorme véhicule. Curieux, je me lève, n'oubliant pas mon sac au sol, et vais vers l'entrer. Je sent une présence bien mystérieuse alors que je traverse le seuil de la porte principale.

-Ethan pourrais-tu monter dans ta chambre? J'ai des choses importantes à parler avec ce jeune homme.

-bonjour à toi aussi papa. Dit-je après avoir sursauter. Je m'étonne de ne pas avoir toucher le plafond tellement il m'a surpris. Ainsi cas toi.

Le loup noir me  jette un regard furtif et rapide. Presque trop rapide pour que je sois en mesure de l'avoir vue et je remarque pour la toute première fois la tension et la peur dans cette pièce. Personne ni mon père ni le nouveau ne m'adresse la parole. C'est encore plus tendue qu'avant. 

-pourquoi dois-tu parler à ce bêta? Je veux dire... Il n'est pas avec sa meute?

-Il n'est que de passage.Quelle froideur! J'en ai des frissons dans le dos. Il l'a dit si durement que je crois voir notre inviter tressaillir au coter de mon père. Que se passe-t'il dans cette maison. Il ne m'a jamais adresser la parole! Même pas pour me remercier de l'avoir contrôler à sa place. Puis sans dire un mot de plus mon père disparaît dans la cuisine, le muet à ces trousses. Je souffle, agacer de ce manque de respect et de reconnaissance alors que j'ai été polie. Au moins, sa me donne le temps de réviser mes papiers sur la meute pour éviter le grognement et la colère de mon père. La dernière fois que je me suis tromper, il m'a dit que je ne prenais pas tout sa au sérieux. Non mais franchement... Je monte donc rapidement à ma chambre et me jette sur le lit de façon à rebondir sur mon matelas. Je regarde le plafond, pensif encore surpris par le ton de la vipère au premier étage. Puis, sans que je ne m'en rende compte, je m'endors dans un doux sommeil.

Créatures : La Guerre Du LoupOù les histoires vivent. Découvrez maintenant