Le manoir des secrets

Chapitre 5

8 Novembre

Ça sent le desinfectent. C'est le première phrase qui me vint à l'esprit quand je me réveilla. Je me trouve dans une pièce aux murs recouverts de peinture blanche et aux meubles immaculés. Je suis branchée, branchée à un une machine qui me prend les battement de mon coeur, mais aussi à une perfusion.

Une infirmière entra dans la pièce l'air stupéfaite de me voir réveillée.
-Ça... ça va ?
-Oui très bien, mais pourquoi sui-je branchée à cette machine ? Et je suis où ?
-Tu te souviens de ce qu'il c'est passé ?
-Répondez moi d'abord !!
Un docteur entra.
-Bonjour bonjour alors comment ça va ?
-Vous avez quoi tous à me demandez ça ?! Alors que vous ne répondez pas à mes questions ?! Pourquoi donc je suis branchée à cette machine? L'autre cruche d'infirmière ne veut pas me répondre!
-Mais ce n'est pas vrai! C'est juste que...
-Stop Aurélie. Bon je suppose aue je suis obligé de tout te raconter maintenant... Ta mère à appellée la police, elle s'inquiétais car tu ne rentrais pas, elle a dis qur tu avais parlée d'un manoir mais puisque vous venez d'emménager, elle ne connais pas le rumeure qui circule au sujet de ce lieu...Donc la police est intervenue pour voir ce qu'il se passait puisqu'il y a déja eu plusieurs incidents avec ce vieil endroit. C'est là qu'ils vous ont retouvés inconcients en dehors du vieux manoir abandoné. Ils ont donc appelés des embulances. Après avoir examinés trouvés les autre...
Un policier va t'interoger et tu va devoir faire une description de ce que tu te souviens...
Bon, sur ce nous allons te laisser
Moi - ...Oui...
Le policier policier entra dans la pièce avec un calepins et un stylo
Policier - Bonjours je suis l'officier Steevens, tu va me faire une déposition. Pour Cela, tu va me dire en détail ce qu'il s'est passé sans rien oublier et sans me mentir même si la première contrainte est plus compliquée que la deuxiemme.
Je commença donc ma longue et interminable déposition qui me semblais durer une éternitée avant que je ne finisse de tout raconter. Cela me pris un peut moins d'une heure...

Policier - C'...C'est... C'est réelement passer ...?
Moi - oui.
Policier - Ont dirais que cela est tiré d'un film d'épouvante qui ferais mourir de peur un cadavre !
Moi - Vous m'avez demander de raconter tout ce qu'il s'était passé, je vous ait alors tout raconter du début à la fin sans vous mentir une seule fois.
Le policier sembais à la fois troublé et appeuré à la fois.

Je suis restée plusieurs jours encore le temps de passer quelques examens suplémentairs. J'avais une morsure profonde au mollet gauche et personne ne savais de quoi malheuresement...