Chapitre05 : Les fugitifs.
«L'impératrice Sérya,
Je vous envoie monambassadrice Rhyme, afin de procéder à une monnaied'échange. La sphère du feu qui est la plus proche contrel'ambassadrice, mon plus fidèle toutou. Qui pourrait vous êtretrès utile Je pense que vous n'y voyiez aucun inconvénient dansce bon procéder. »
Rhyme choqué : B-bb... Hein ?!
Sora : Hein... C'estune farce... C'est ça ?
Impératrice : Il fautcroire que non. Emparez-vous d'elle. Faisun signe aux soldats.
Azoo regardeautour de lui et sort son katana de son fourreau : C'estpartit pour la baston !
Furaito regardederrière lui : C'étaitun piège... ?!
Rhyme déboussoler : Hein... Non... J'ycrois... Pas...
Ni Rhyme,ni Sora, ne pensait que cette lettre détenait une tellerévélation, aucun des deux ne pensaient qu'en vérité, il n'étaitpas question de paix, mais une nouvelle fois de pouvoir. Lademoiselle n'entendait plus rien autour d'elle, elle entendait justele bruit de son cœur qui lui faisait mal, comme si quelque chose enelle s'était briser. Toute cette croyance sur la paix et sur labonté, n'était qu'un pur mensonge. Cette femme, la prêtressequi lui à donner un poste majestueux, elle et sa sœur, c'étaitpour qu'un jour, elles puissent être servies d'appât ? Elleet sa sœur ne sont que des pions parmi les milliers de pions quecette femme avait. Rhyme s'écroula sur le sol et mit cesmains sur ces oreilles, elle ne voulait plus rien entendre du tout etfermer s'isoler dans d'incompréhension que souffrird'avantage. L'impératrice était des plus satisfaite,forcement, elle aime faire souffrir la race des Huséra commela prêtresse d'ailleurs, mais, particulièrement la blanche quil'avait autant offensé. La blanche voulait pleurer de toutesces forces, elle avait peur, elle se disait trouillarde de ce qui luiarrivait, de ce qui pourrait lui arriver et de ce qui pourrait sepasser après. Oui, parce qu'elle allait se faire tuer par leshumains, un peuple barbare, elle qui ne croyait pas à cetterumeur. Avait-elle tord de ne pas y croire ? Enpensant comme ça, le jeune garçon s'accroupit à côté d'elle etla secoue un peu pour tenter de la résonner, mais, il pouvait voirces grosses larmes coulait à flot, qui tomber sur le sol. Il nepouvait pas s'empêcher qu'il ait dû réfléchir avant, qu'il auraitdû savoir avant. Elle a était naïve d'avoir cru qu'un jour lemonde serait en paix, mais même Sora l'était, puisqu'il atellement cru. La paix n'existe pas, c'est un cercle infinientre la guerre et la paix. Mais rien ne dureréellement. Sora la redressa, cependant, elle restatoujours autant silencieuse, vidé d'émotion et de penser. Lesdeux garçons qui les couvraient, puisque les soldats s'étaient misà les attaquer, ne compris pas grand chose pour le moment etespérait avoir des réponses.
Azoo : Il sepasse quoi, exactement ?
Furaito sérieux : Le traitéde la paix à été rejeté ?
Sora : ... Non. Puisqu'iln'a jamais été question de paix.
Sora etl'impératrice s'étaient jeté des regards, un regardd'incompréhension puis un regard de dégoût. Elle se redressa,pour rire affreusement aux yeux de tous les gardes qui combattent lesdeux garçons qui protègent Rhyme et Sora. Ilsn'eurent pas trop de mal, puisque les deux garçons sont des épéisteset qu'ils sont tout appris de leurs pères, alors que les gardesn'étaient que des sous-gardes, des « bas-niveaux ». Avecune seule attaque, les homme armées qui n'était pas franchementdans la défense mourut sur-le-champ. Plus aucun soldat n'étaitprésent dans l'assembler.
Impératrice Serrya : Tes gardesdu corps jeune filles, sont des humains. Quisont-ils ?
Furaito: Nous ? Sourireprétentieux. Noussommes les rebelles et c'est à cause des gens comme vous que laguerre continue.
Impératrice Serrya tapedes mains : Ha ! Lesrebelles. Orgueilleuse. Oui,je me rappelle de vous, vous avez eut des parents très charmants.
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Tales Of Hope
FantasyDans un monde, deux continents sont en perpétuel conflit, la nation des séraphins et la nation des humains. Les séraphins vivent ou la nature, l'eau, le feu, la terre et le vent sont toujours présents et ne manquent de rien, vu qu'ils vivent en parf...