Chapitre 07 : De retour chez soi.

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Chapitre07 : De retour chez soi.


Min'Ho avaitembrassé Annone, sous le regard de son frère et de son ami Azoo,ainsi que Yuma qui fut totalement blasé par la scène et Leiko quiavait mis ses mains sur son visage, totalement désespérée parcette absurdités.

Annone jouecramoisie : C'estpas ce que vous croyez... Les gars.
Furaito sonâme qui part vers le ciel : ... Ha ~
Azoo sérieux etregarde le type : T'esqui, toi ?
Min'ho : Jen'ai pas à te répondre. S'essuieles lèvres avec les doigts comme pour le nargué.

L'âmedu roux était en train de partir vers le ciel, il étaitinconscient, il avait vu quelque chose qu'il ne voulait pas voir. Lefait de voir sa sœur dans le bras d'un autre homme que lui, l'avaittotalement bouleversé, il était totalement choqué.Cependant, Leiko reprit son âme pour la remettre dans sabouche, afin de le raisonner. Cet air prétentieux que le rougeavait pris envers l'humain noir, l'avait tellement énervé, que lenoir décida de sortir son arme de son fourreau pour l'affronter dansun duel, mais franchement, le séraphin rouge s'en contrefichaitpuisqu'il commençait à partir.


Azoo : Tu osesfuir le combat ?
Min'ho leregarde : Tu esjaloux ? Leregarde attentivement. Toujoursautant barbares, ceshumains.
Annone retient Azoo : Attend, Azoo... Ilm'a quand même sauvé la vie.
Azoo pousseAnnone : C'estnotre combat.
Annone furieuse : Hé ! Semet face à Azoo. Qu'est-ceque t'as ?
Azoo cacheson visage : Tu t'es laisséefaire comme une fille fragile...
Annone : Mais... Jen'étais pas moi-même !
Azoo : Tu n'étaispas toi-même ? Tu avais l'air de pourtantapprécier.
Annone devientrouge : Ha ?! Tume fais quoi, au juste ? Je ne comprendspas.
Azoo : Tu sais,tu peux aller le rejoindre,hein.
Annone paumé : Haaaa ?...
Min'ho : Votre disputede couple est finie ? Je voulais juste montrer l'étendue dupouvoir de laprêtresse. ~
Azoo vénère : Tss...
Annone : ...
Leiko : Ce poisonest définitivement dangereux pour nous.
Yuma : Lambda... J'aidéjà entendu sa quelque part...
Min'ho : A trèsbientôt mes chers Huséra, faites attention àvous. Regarde Furaito et Azoo. Quantà vous deux, vous pouvez crever, j'en ai que faire deshumains. ~ Disparaîtcomme un ninja.

Azoo rangeason arme et resta silencieux, alors que Furaito avait repris toutesses couleurs, il voulait tuer l'homme qui avait osé toucher Annone.Malheureusement, le garçon n'y était plus, il tapota l'épauled'Azoo pour avoir géré la situation et sauta dans les bras desa petite sœur avec un sourire mielleux, les yeux en cœur et laserra si fort, il s'était même mis à pleurer ce qui agaça lablonde, elle tenta de se libérer, mais en vain puisqu'il serraitencore plus fort.

FuraitosecoueAnnone qui est dans ses bras : Merci àvous deux d'avoir pris soin d'elle.
Yuma blasé : Ellea juste voulu me tuer.
Leiko désespérée : Moi,je n'ai rien fait du tout.
Furaito pleureencore plus : Merciiiii ~


Leiko etYuma : Il est à côté de la plaque.
Azoo : C'étaitqui ce type exactement ?
Annone arriveà s'échapper de l'entrain de son frère puis s'approched'Azoo : Je nesais pas... Il a voulu me tuer, mais il m'a sauvé lavie.
Leiko : Le piredans tout ça, c'étaient ces soldats d'élite.
Furaito regardeles corps inanimés sur le sol : Hé, Azoo. C'estles mêmes que ceux de la capitale.
Azoo neutre : Si Soraavait été la, il aurait peut-être pu comprendre la chose, quisont ces soldats et ce type ?
Furaito : Tu estimesqu'il est intelligent ?
Azoo : Il l'est.Mais son manque de confiance en soi est vraimentvoyant.
Annone émerveillée : C'estqui ce Sora ?
Furaito: Un gars,qu'on a rencontré. Qui sait, peut-être que tu lerencontreras.
Azoo : Avec Rhyme sûrement.
Annone : J'aihâte de les rencontrer.
Leiko réfléchitet regarde toujours les soldats d'élites : ... Quisont-ils ?... L'ordre impérial... ?
Yuma unpeu en arrière : ...

Legroupe, les sauveurs de la ville, entendirent des clappementsderrière eux, c'étaient les habitants qui les applaudissaient, pourleur bravoure et leur courage. Tout le monde fut surpris etAnnone, une fois de plus cacha son poignet droit à la vue deshumains et se cacha discrètement derrière Azoo, quin'avait pas franchement l'air dans son état,puisqu'il était légèrement en colère et aussi contrarié contrelui-même. Il avait observé une fraction de seconde le visagesombre de la blonde, car elle ne savait pas comment réagir face àeux. Yuma fut le plus choqué de tous, tous ses habitants, illes connaissait par cœur, le maire, les marchands... Leshabitants, tout simplement.

Maire hurlede joie : Yuma,enfin !
Yuma choqué : H-Hein... ?
Maire : Nous savonstous, que tu es un Huséra.
Yuma : Quoi... ?
Maire :Ton père était un humain, il était maire dans cette ville,avant moi. C'est lui qui m'a désigné. Ton père et tamère étaient de gentilles personnes. Même si ta mère étaitune séraphine du vent, elle a toujours aimé les humains et ne s'enest jamais caché de le dire. Tu tiens tout d'elled'ailleurs.
Yuma larmesaux yeux : Donc... Vousne me détestez pas... ? Vous n'allez pas merejeter... ?
Maire : Jamais dela vie! Tu es l'enfant de cette ville!
Marchande : Nous t'aimonstous, Yuma.
Maire : Rebelles... Nous sommesdésolés... Nous avons encore fui le combat.
Annone confiantese tape sur le torse : C'estnormal, nous sommes là pour ça.
Furaito faitun sourire : On vatout faire pour arrêter la guerre.
Azoo sérieux : On vousen fait la promesse.
Yuma larmesaux yeux : Lesgars...
Maire prendles mains de Yuma : Je suisdésolé, Yuma. Tes parents sont portés disparu il y a dix ansenviron. Nous n'avons jamais retrouvé leur corps. Regardeles trois rebelles. Autrefois,ta mère était une héritière, la séraphine du vent. Donc, jepense que tu devrais partir avec eux et tenter de comprendre pourquoita mère à suivi le mouvement des rebelles.

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