Chapitre 02 : Le fardeau des rebelles.

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Chapitre02 : Le fardeau des rebelles.


Dansla capitale Thyzan, du continent des séraphins, Pethyzia. Unfestival était sur le point de commencer. Les décorationsétaient déjà posées, les guirlandes, les lumières, les fleurs,les tapis, les costumes, ainsi que les gens qui prient danschaque autel pour bénéficier d'une bonne étoile. Toutétait fait pour que tout ce passe bien. La jeune fille auxcheveux blancs avec sa magnifique robe se faisait siffler, elle étaittout de même sérieuse, mais elle dégager un sourire radieux, ellemonta des grands escaliers qui n'étaient autres que celle du templeet une fois au sommet, elle s'accroupit au milieu de la pièce. Latête baissée et les mains sur ces genoux, les yeux fermés et unénorme silence s'étaient propager dans toute la pièce. Lablanche entendit des bruits d'objets qui touchèrent le sol, c'étaitdes bracelets de pieds et sûrement une longue robe avec desclochettes sur le bout. Deux personnes cachées dans un sorte devoile, s'assirent devant elle.

Femmevoilée : Rhyme, redresse ta tête.
Rhyme : Bien,prêtresse.


Enredressant sa tête, elle pouvait voir qu'un mur de bois fin étaitface à elle, elle pouvait juste apercevoir deux ombres derrière cemur, c'était une adulte et un enfant.


Prêtresse : Je souhaitete donner une nouvelle mission. Min'ho ? La lettre, jete pris.
Min'ho servant : Bien,prêtresse. S'approchede Rhyme et lui donne la lettre en mainpropre.
Prêtresse : Je souhaiteque tu sois l'ambassadrice envers le peuple humain.
Rhyme : Puis-jesavoir la raison, prêtresse ?
Prêtresse : Nous sommesface à de nombreux dangers. La première, c'est la disparitiondes esprits. Nous savons tous que c'est de la faute des humains,mais, malheureusement pour nous cela nous affecteaussi. Deuxièmement, lessphères.
Rhyme interloquée : Alors lessphères existent donc réellement ? ...
Prêtresse : Oui,ils existent, mais ne te préoccupe pas de ça et contente toi desuivre la mission. Les séraphins supérieurs sont allé à marencontre depuis peu et j'ai même demandé à tagrande sœur, Hasumi d'aller rechercher les« elus ». Min'ho,tu aideras Hasumi.
Rhyme : Vous comptezréellement vous allier aux humains ?
Prêtresse : Pour lesesprits et les sphères. Oui, s'il le faut... sourireau coin, montrant qu'il est faux
Rhyme seredresse : J'yvais sur ce pas, prêtresse.
Prêtresse La lettreque Min'ho t'as donné, n'est autre que la demande d'unecoopération et un traité de paix pour les humains.
Rhyme signede respect envers la femme : Je vaisexécuter cette mission avec succès. Descendsles escaliers.

Arrivétout en bas du temple, Rhyme courut avec le sourire auxlèvres en tenant fermement sa lettre, pensant qu'enfin la paixallait arriver très bientôt. Une fois atteint le port, elledemande au guichet un billet pour prendre le bateau. Mais pasn'importe lequel, un bateau du temple pour aller à la capitale deshumains, Rashia.

Prêtresse : Min'ho.
Min'ho s'accroupit : Oui,prêtresse ?
Prêtresse : Hasumi n'apas la mission d'aller chercher les « élus » pour les aiderdans leurs quêtes. Mais au contraire de les tuer. Donc vaà la rencontre d'Hasumi est explique lui les nouveauxordres : « Hasumi, je souhaite que tucorrompe les élus et qu'au moins l'un d'eux se rallie à macause qui n'est autre que la destruction de l'espècehumaine. »
Min'ho : Je n'hésitemême pas à accepter cette mission,prêtresse.
Prêtresse : Juste unechose, Min'ho. Évite d'utiliser ta magie.

Min'ho : Oui.

Min'ho s'enalla en sautant presque toutes les marches pour enfin atteindre lerez-de-chaussée, le rire de la prêtresse était si fort que toutles servant étaient obligé de se boucher les oreilles. Lepetit garçon à côté d'elle, observa la femme. Il soupira etil faisait vraiment une mine triste, il était dégoûté de cettefemme. Il se redressa pour prendre la porte jute derrière luiet la claqua. Il s'écroule sur le sol de cette pièce etregarda à côté de lui ou une minuscule boule lumineuse blanchegigota autour de lui.

Petitgarçon : Petit esprit... Je sais... Mais je ne saispas comment faire face... Ma mère est un monstre.... Voitla boule gigoter d'avantage. Tuveux que j'aille à la rencontre des élus ? J'aipeur... De m'aventurer hors du temple.....

Lapetite boule lumineuse blanche tapa sur le nez du garçon et salumière diminuer pour finalement disparaître, au même moment lafemme entra dans la pièce en enleva son voile, pour dévoiler salongue chevelure raide ,rousse avec des yeux rouge. Le petitgarçon se redressa et cacha son visage qui était rempli de larme,il pleura en silence.
Plus loin, dans un endroit inexistantaux yeux de tous, séraphins et humains. Quatre êtres à lacape de couleur, jaune, rouge, vert et bleu. Qui représenter unélément, le feu, l'eau, terre et vent, s'étaient assisse enrond.


Lableu : Pourquoi est-ce qu'on est allé voir laprêtresse, au juste ?
Lajaune : Pourquoi tu dis ça ? Je croyais ques'était-ce qui fallait faire.
Lableu : Finalement, non.
Laverte : Ce qui est fait est fait.
Larouge baille : Ont devraitaller chez les humains, maintenant, non ?
Lableu : Tu t'en occupe ?
Larouge : Moi, je vous dis que ça sera inutile, comme pourles séraphins. Mais, personne ne m'écoute.
Lableu : Désolé... Tes prémonitions révèlent êtrevraies, mais... Il faut quand même le faire.
Lajaune : ... Cette aura maléfique sur la prêtresseavait vraiment un goût amer.
Laverte : Les esprits qui l'entouraient était de cettemême aura.
Lajaune : Mais pas le petit garçon, son fils.
Larouge : Oui, il est clair que le petit garçon ferait unbon prêtre comparer à sa mère.
Lableu : Nous ne sommes pas là pour changer l'avenir,nous n'en avons pas le droit.

Lesêtres s'en allèrent, le bleu prix le chemin de l'ouest, la verteprit le chemin du nord, la rouge vers le sud et la jaune versl'est.
Pendant ce temps au QG des rebelles, Furaito étaitsur son bureau en train de finaliser la paperasse, il bâilla,s'étira, finit de boire son dernier café.


Furaito tendla tasse : Annone ! Ducafé s'il te plaît !
Azoo semi-endormisur le canapé : Non,elle n'est pas là.
Furaito seredresse : Elle enmets du temps... Ça fait presque dix heures qu'elle n'est paslà... S'approched'Azoo. Tucrois qu'il lui ait arrivé quelque chose ?
Azoo baille : Non,je ne pense pas.
Furaito tapele canapé : Viens,on bouge.
Azoo : T'esfou ! Mon merveilleux canapé !
Furaito : J'aiun mauvais pressentiment, on bouge.
Azoo s'enfoncedans le canapé : Noooon ~
Furaito hypermotivé : Bon,bah, j'irais tout seul !

Ilcommence à bouger dans tous les sens, pour s'habiller, gilets,chaussure et prit la porte.
Il décide d'abord d'allervisiter la ville, le centre-ville en particulier, parce qu'Annoneaime les geler de pomme. Il fouilla les nombreuses boutiques etpersonne n'eut la réponse que cherchait Furaito. Ilentendit de la musique pas très loin du centre-ville et y alla, ilvoyait des Huséra en train de danser, c'était desenfants. Il fit un sourire.


Viellefemme : Furaito.
Furaito seretourne : Madame ?
Vieillefemme : Annone est partit vers l'ouest, le continentdes humains.
Furaito : Comment ?!
Vieillefemme : ...
Furaito : Pourquoi ?!
Vieille femme : Je n'aipas cette réponse.
Furaito seprécipite vers le QG : Merde !

Furaito revientalors sur ces pas, pour rechercher Azoo et lui expliqua lasituation. En ouvrant la porte, Azoo était torse nus,sans chaussure, les cheveux décoiffer et il était en train de fairebouillir de l'eau pour faire des pâtes.

Azoo baille : Déjà là ? Elleest ou Annone ?
Furaito sérieux : Elle estpartie au continent des humains.
Azoo regardsérieux : Pardon ?
Furaito : Ils fautaller la rejoindre, de suite.
Azoo : On nepeux pas, pas comme ça. On doit d'abord protéger lesvillageois.
Furaito : C'estle dernier de mes soucis ! Ma sœur estpriorité !
Azoo sérieux : Calme-toi, Aiden. Annoneest forte.
Furaito vénère : Azoo,arrête de faire comme çi tu en avais rien à ciré ! Tum'enerveeeee !
Azoo : T'es énervant.
Furaito bouscule Azoo contrele sol : Pourquoi... C'estma sœur !
Azoo surle sol, sérieux : Mais... Jesais que c'est ta sœur. Arrête de t'exciter.
Furaito veinesur le front : Je saistrès bien ce que tu ressens pour elle... Pourtant, ça ne tefait rien.
Azoo : Parce qu'ala différence, moi, je fais confiance àAnnone.
Furaito : ... Confiance.
Azoo seredresse et voit les pâtestrop cuites : MES PATES !!
Furaito : On partce soir.
Azoo larmeaux yeux : Ok ~

Lalune était présente, donc la nuit bien-là, les deux garçonsétaient fins prêts à prendre le chemin du continent des humains etau moment de sortir, les hurlements des villageois retentissaientpartout. En sortant, un terrible incendie ravage la petite villed'Wora.

Furaito choqué : Mais... Ilse passe quoi ?!
Azoo : Aiden! Pasle temps de se poser des questions, aidons lesvillageois !
Furaito : ... Annone,attend encore un peu... Regardeles flammes et voit les enfants àl'intérieur. Merde !

Furaito fonçadans les flammes sous les yeux surpris d'Azoo et se précipitededans, sans être touché, ce qui était plus étonnant d'ailleurs,arriver devant les enfants, il les prends dans ces bras et lesconsola. Azoo chercha un point d'eau pour éteindre le feu,il courut vers les marches de la mairie pour prendre le bidon d'eau,qui était destiné à la réserver d'eau, il le soulève avecdifficulté, mais d'un seul coup, une force immense lui envahit toutle corps, il soulève le bidon pour l'envoyervers Furaito, celui-ci sortit sa rapière de sonfourreau pour couper en deux le bidon ainsi que le deuxième bidonlancé par le noir. En coupant les deux bidons d'eau, l'eauavait toucher les flammes qui s'évaporent. Les enfantsremercièrent Furaito et s'en allèrent vers leurs parentsqui étaient très inquiets et terrifier. Les deux garçons setapèrent dans la main pour entre voir un peu plus loin vers l'entrerdu village, l'armé humaine, un petit groupe qui les nargué au loin.

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