O n e

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Olivia, Olivia Lewis c'est mon nom.

Je suis le genre de fille qui est très timide et qui cache ses sentiments. Aux yeux de tout le monde, je suis la fille qui passe innapercue et que la plupart des gens ne connaissent pas mon existance. Mais autant je passe innapercu aux yeux de quelques personnes, autant une de ses s'amuse a me manipulé, et me pousser jusqu'aux bout de mes limites.

Mais ce n'est pas juste a l'école qu'on me croit inexistante, c'est un peu pareil a la maison. Ma mère veuve ne fait que me donner a manger et me loger, et meme la elle trouve que je coûte trop cher... Elle souffre d'une dépression depuis la mort de mon père,il y a 2 ans, mais le renis complétement. Je vis donc presque seule car elle est la plupart de son temp au travail, mais je suis reconnaissante qu'elle m'envoie de l'argent pour payer le loyer et pour la nourriture.

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Je fus sortie de mes pensées par un tapotement sur mon épaule. Surprise, je fis un bond tout en me retournant face à mon interlocuteur.

... : * chuchotant * Lewis donne-moi tes réponses!

Sans réfléchir, je lui passa ma feuille sous son bureau car sinon je savais ce qui m'attendais... des coups des insultes ou des humiliations. Je ne pouvait jamais savoir ce qui m'attendais et c'est ce qui me faisait peur.

Il me fit un sourire de vainqueur avant de copier sur mon examen en écrivant toute les réponses que j'avais inscrites.

...

DRIIIIING!

La cloche annonca finalement la fin des cours. Je repris ma copie sur le bureau de mon voisin et vis qu'elle était toute froissé. Je regarda l'individu qu'il l'avait froissé et il me fit un petit sourire satisfait. J'allas donné ma feuille au proffesseur un peu gener de son état, mais elle la pris sans rien dire ce qui me soulagea.

Je me dirigeais a mon casier en longeant le long corridor. Je marchais vite se qui fesait voler mes longs cheveux dorés au vent. Une emprise me pris les poignet et me dirigeais vers l'armoire du concierge.Je fus progeter a l'intérieur se qui fracassa ma tête contre l'étagère. La porte se fermit tandis que la lumière s'allumais laissant apparaitre un visage familié un peu trop près du mien.

Moi: que veux-tu Harry ?

Harry: Tu croyais quand même pas que je te liasserais aller comme ca...? je voulais juste t'avertir que si tu aurais l'audasse de parler de ce qui c'est passé a qui que se soit... nous aurons une petite surprise pour toi compris?

Je répondis par un simple hochement de tete puis, je le vis partir rejoindre ses amis qui se foutaient une fois de plus de ma gueule avant qu'il referme la porte, me laissant seule sur le plancher gelé de l'armoire. Ma tête tournais, dû a l'impacte qu'avait eu l'étagère contre mon crâne et mes yeux se remplissaient de larmes.

...

J'attendis plus de 15 minutes pour être sure que tout les élèves seraient parti. J'ouvris la porte doucement esseyant de faire le moin de bruit possible. Je me dirigea ensuite vers mon casier. Une fois rendu, je pris mon sac et mon manteau en vitesse et sortis de cet enfer mieu connu sous le nom d'école.

Le vent glacial soufflait sur la ville de Londres emportant mes long cheveux chatains et rougissant mes joues. Les trottoires geler, j'évitais de nombreuse flaque de glace pour ne pas tomber. Je regardais les terrains qui m'entourrais pour y voir des parents jouer avec leurs enfants ou sortir les traîneau pour aller dévaler les pentes. Les enfants avaient tous leurs sourires collé au visage, Noël s'approchant à grand pas étant la cause principale.

Quand j'y pense je me dit que c'est cette enfance que j'ai toujours voulu et qui m'a été volé par 5 monstres sans coeur. A cette pensé les larmes monta dans mes yeux pour la deuxième fois en quelques minutes pour finalement coulé sur mes joues rougient par l'air glacial de l'hiver. Je les essuya immédiatement ne voulant pas montrer des signes de faiblesse devant tout ces gens.

Une fois arriver à mon petit appartement autrefois habité par ma mère et moi, je déposa mon sac d'école dans l'entré et accrocha mon menteau dans le garde-robe . Je me dirigea ensuite dans la salle de bain pour voir les dégats que m'avais causé cette étagère. Je mis une de mes mèche derrière mon oreille pour y voir un énorme bleu partant du milieu de mon front jusqu'a ma tempe droite. Cela n'avait pas une grande importance, après tout c'en était un parmi tant d'autres...

Je me précipita par la suite dans la cuisine avec mon sac pour pouvoir y faire mes devoirs. Quand je sorti mon livre de math, j'y appercu un écriture au crayon permanant ou on pouvait lire : '' Salope''.

Je savais de qui cela venait. C'étais plus qu'évident. Quand j'entend ou lis des chose comme ca a mon sujet, c'est comme si je mourrais a l'intérieur de moi-même. Cela a beau faire 3 ans que je subis cela, je ne m'habituerais jamais car au fond, je sais qu'il a raison.

Ce qui me rend le plus perplexe dans tout ca c'est qu'il se permet de me juger tandis qu'il ne connais pas qui je suis vraiment. J'aimerais pouvoir mettre mon pied par terre et me déffendre, mais j'en suis incapable. Il m'effrait, et c'est ce qui m'empêche de l'arrêter. Il essaie troujours d'une facon ou d'une autre de me faire du mal. Deplus le fait de savoir que personne n'est derriere vous pour vous soutenir ne fait qu'empirer les choses.

De nombreuses idées noires me sont passer par la tête mais je n'ai jamais eu le courage de m'enrouler une corde autour du cou et de me pendre. Je sais que certain dierons que cela serais abandonner mais parfois quitter n'a rien avoir avec la faiblesse et a tout avoir avec la force . Je ne quitterais pas parce que je veux que les autres réalise ma valeur mais bien parce moi-même je réalise la mienne.

Le son de la sonnette retentit, me faisant sursauter.Je déposa mon livre dans mon sac d'école et me dirigea vers la porte, un peu effrayer de la personne qui devait se trouver de l'autre coté de celle-ci .

Je déveirouilla la porte et j'eu un choc en voyant la personne qui se tenait devans moi.

Moi: ... ma-maman...? chuchotais-je abasourdie.

Moi: que... que fais-tu ici...?

Maman: c'est chez moi ici d'après tout! J'ai congé de boulot pour la semaine...alors je viens ici... dit-elle sèchement se qui me pinçais le coeur.

Elle entra donc dans notre petit appartement et déposa sa valise dans l'entrée. J'allais passer une longue semaine.

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Salut! Premier chapiiiiitre!!! Surement le moin bon de la fiction mais si vous continuer votre lecture vous ne serai pas décu! Xxx

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-Canadiancrazymofo

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