Chapitre 9:
L'air chauffé du batiment me frappa au visage lorsque mon pied toucha le minuscule tapis de l'entré. C'était... charmant. Pour être franche.
Une tapisserie d'une couleur étrangère avait été posé sur les murs et plusieurs cadre y était présent également
Nous avancèrent vers le petit bureau qui ce trouvait à être celui de la secrétaire.
Une jolie dame au cheveux a couleur de feu, et au yeux d'un vert éclatant se tenait devant nous, un sourire jusqu'au oreilles.
« Bonjour! Je m'appelle Emma, je suis la secrétaire de l'établissement. Tu dois être Olivia n'est-ce pas...? » Nous dit-elle d'un air légèrement trop enjoué, mais cela fesait son charme je suppose.
Je ne fis qu'hocher la tête en guise de réponse.
« Bien! Suivez-moi je vous en prit »
Elle s'asseya sur une chaise de bureau en cuir et prit une des feuilles sur son bureau quelques peu bordélique et y inscrit des chose imperceptible d'où je me trouvais.
« Alors Olivia... tes parents sont... mort?! »
Ma tête se releva rapidement et mon regard se déposa dans le sien.
« Je ne crois pas que je suis venu vous rendre visite pour le plaisir.» dis-je sèchement. Franchement pourquoi poser cette question stupide?
« Oui euh... Tu devras aller rejoindre mon ami Robert, il va t'aider a monter tes boîtes à ta chambre » dit-elle d'un air embarrassé.
William me m'accompagna au bout de la salle où se trouvait un homme au crâne dégarni et aux yeux d'un gris hypnotisant. Sur un badge posé sur sa chemise verte on pouvait lire " Robert ". Comme l'avait dit Emma.
« Bonjour Olivia! Viens je vais te conduire à ta chambre. » me dit-il d'un ton guai. (Joyeux :P)
Je commençais a suivre Robert mais la voix de William se fit entendre.
« Olivia je... Je dois y aller » me dit-il ses lèvres formant une ligne droite.
Je m'avança vers lui. Il me tendit sa main mais je lui sauta au coup.
Il prit un pas de recul, surpris, mais il me retourna mon étreinte.
« William vous avez faites plus pour moi que personne ne l'ai jamais fais pour moi ces dernières années... » lui dis-je une larme dévalant une de mes joues contre mon gré.
« Il y a tellement de belles choses qui vous attendes dans votre futur, j'en suis convaincu! Vous aller graduer et pouvoir faire le métier de vos rêves. Il y a une personne qui vous attend quelque part dont vous aller éperdument tomber amoureuse. Vous êtes une jeune femme très forte. Seulement, vous avez encore un bout de chemin a faire. Ce ne seras pas nécessairement facile mais il faudra vous renforcer et passer au travers... » me répondit-il en se séparant de notre accolade.
Je cligna plusieurs fois des yeux pour empêcher les larmes de s'échapper une fois de plus. J'espérais que ce qu'il venait de me dire il y a ça que quelques seconde était vrai. Mais d'un autre coté, je sais que je suis complètement détruite. Que le peu de protection qu'il me restait avait été détruit. Maintenant je n'avais plus rien. Même plus l'envie de continuer.
« Je vous remercie » lui répondis-je avec un sourire, enfin si on peux appeler ça comme cela.
Je me retourna finalement vers Robert et nous montèrent dans l'ascenseur. Avant que les portes celui-ci se referment complètement, je salua pour ce que je croyais une dernière fois William de la main.
Une fois ces dernières réouverte, nous en sortirent nos bras encombrer par ces fichue boîtes.
« Alors, alors... chambre 123. Vous êtes chanceuse c'était la dernière place disponible... » dit-il suivit d'un petit rire.
Chanceuse ouais...
« Je crois qu'elle est occuper par une jeune femme de votre âge si je ne me trompe... » reprit-il.
« Une... Une jeune femme?! Je vais cohabiter avec quelqu'un? »
« Oui en effet... Tiens, voila la chambre que je cherchais! »
Nous nous arrêtèrent devant une porte le nombre " 123 " trônant sur le devant de celle-ci.
Nous déposèrent les boîtes sur le tapis du couloir, pour que Robert puisse sortir le trousseau de clefs qui ne cessait de faire du bruit dans sa poche.
Lorsqu'il trouva finalement celle qui correspondait à celle de la chambre, il la fit tourner dans la serrure. Un bruit en suivit, et la porte s'ouvrit finalement.
Contre mes attentes, c'était grand. Une tapisserie au multiples couleurs ornait les murs.
Nous avancèrent dans la " chambre " et j'aperçu un fauteuil deux place couleur crème devant une petite télévision placé sur un meuble minuscule en acajou. Le salon.
« y'a quelqu'un ? » entendis-je Robert crier.
Il me rejoignit dans le salon.
« Et bien, elle n'est pas là pour l'instant mais elle ne devrait pas tarder... Je vais vous laisser faire connaissance. Allez-vous être correcte pour vos boîtes? » dit-il de sa voix grave.
« Je... oui je vous remercie » le remerciais-je.
« Bien! Bonne journée alors! »
« À vous aussi... » souris-je à moitié.
Lorsqu'il fut sorti, j'en profita pour faire la visite de ma chambre.
Après avoir chercher la bonne porte j'ouvris finalement celle d'un petite pièce, un lit double en fer noir trônant dans le milieu de celle-ci. Un couvre-lit d'un rose si pâle qu'on aurait dit du blanc au premier coup d'oeil, avait été soigneusement été déposé sur le lit où aucun pli n'était perceptible. Une lampe noire était placé sur une table de chevet.
Une commode en bois foncé était placée au mur opposé de celui dh lit.
J'en déduis que c'était ma chambre.
J'allais cherché mes boîtes que Robert avait laissé dans l'entré sous mon accord et les déposa sur le sol de ma nouvelle chambre.
« What the fuck?! » entendis-je dans le cadre de la porte.
Cette voix...
Je me retourna lentement, de peur que ce que je venais d'entendre était bien réel.
Et là j'allais réelemnt perdre le contrôle...
« Ha-Harry?! »
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WAHOO! C'est là que le fun commence les copains! Alors... surprise?
Donnez-moi vos avis hein! J'en ai de besoin!
QOTW: quel est votre plus grande peur?
Perso: les araignées!!!
Le prochain chapitre= Le pêtage de plombs!!!! Soyez là!
Dsl pour le retard en passant!
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-Canadiancrazymofo💗💋
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The fake smile ( Harry Styles fanfic ) En pause
FanfictionVous savez.... plusieurs personnes peuvent croire que les suicidaires s'enlève la vie pour que les gens réalise la valeur qu'ils avait. Détrompez-vous. Nous nous enlevons la vie, et non pas parce que nous voulons que les gens réalise la valeur que n...