E i g h t

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Chapitre 8:

Musique dans les oreilles, boites au pied du lit, et mon coeur endolorit. Mes paupières étaient lourdes et mon estomac grondait, mais la faim ne se ressentait pas dans mon corp.

Mes cheveux n'avaient pas été brossés et je n'étais vêtis que d'une vielle camisole des Beatles et d'un vieu jean noir. Mon visage ne portait aucune couche de maquillage, un bleu changeant de couleur étant bien visible dans le haut de mon front. Ma mine était à en faire peur mais je ne m'en souciais aucunement.

Orpheline, orpheline, orpheline, orpheline...

Seul ces mots occupaient ma tête. Je ne pouvais plus penser ni même bouger, ou presque. J'était tellement faible que mon corp ne répondait plus a mon cerveau.

Mes pensées dérivaient parfois sur l'image d'une corde. Une bien belle corde pendue au dessus d'une chaise. C'est-ce que j'appelle à présent; ma sortie de secours.

J'aimerais pouvoir dire, ou même penser que je vais passer a travers tout ça. Mais tout ce qui me vient en tête c'est lui, c'est ma mère et moi. Oui, moi. Cet petite salope que je suis comme le dit si bien les autres. Je suis une lâche et je le resterai toujours. Je ne peux croire que j'en suis rendu ainsi. Plusieurs dirons que je me laisse abattre, mais c'est bien la seule qu'il me reste à faire.

La maison était couverte de draps blancs hideux, et on m'empêchais de passer a quelques endroits pour ne pas nuire à l'enquête.

J'apporta mes boîtes jusqu'à l'entrée et m'essaya sur le bois froid du planché. Mais mains se frottèrent contre mes yeux cernés par la fatigue. J'étais épuisé. Faible et épuisé.

Je me sentais perdre un combat. Celui de ma vie, le combat de ma vie. Ma vie est un combat et le plus il devient difficile, le plus je me faiblis. J'étais tombé et je n'avais personne pour me relever.

Pour l'instant...

Je me leva du planché qui avait endolori mes fesses et me dirigea vers la cuisine. Je pris un verre et le remplis d'eau. Celle-ci coulait le long de ma gorge et je sentais le liquide froid se diriger vers mon estomac. Je regardais sur la table, un panier de fruit étant posé au centre de celle-ci. Mon regard se posa sur une pomme. Je devais manger, du moin essayer.

Je me dirigea vers la pomme d'un vert éclatant, et la pris dans ma main.

C'est à ce moment que ce sentiment refis surface. Celui du deuil. Après un évènement comme ceux-ci une activité qui vous étais complètement spontané devient plus dur que vous ne l'auriez jamais imaginer.

J'approcha le fruit a mes lèvres, et avant même que je ne le réalise, j'en pris une bouché. La sensation était en quelques sorte plaisante, mais mon estomac n'était pas du même avis.

La pomme fut rapidement déposée sur le comptoir et je couru jusqu'au toilettes. Je me trouvais penché au dessu de la cuvette, et tout sortait. (Nda: j'essaie de vous épargner les details...) Le peu de nourriture qui se trouvai dans mon estomac se précipita rapidement dans la cuvette. Après avoir soigneusement tiré la chasse, je m'effondrais au sol.

Des larmes, que des larmes.

C'était tout ce qui me restais. La tristesse. J'étais maintenant seule, n'ayant personne pour me soutenir. Malgré le fait que ma mère n'était pas là pour le faire, je savais qu'elle était là.

Trois coup fut frapper à la porte et je me leva avec difficulté du planché en céramique. Je me dirigea lentement vers la porte et l'ouvris.

Un homme avec une chemise à manches courte bleu pâle et aux pantalons noir se dressait devant moi. Lorsque j'identifia finalement son visage, je ploncha dans ses bras.

William.

Il avait fait tellement pour moi ces derniers jours. Il en avait plus fait pour moi en deux jours que n'importe qui dans toute ma vie.

« ça va mademoiselle Lewis...?»

« Olivia... silvouplait ça me rend folle...»

« Très bien... je vais vois aider à descendre vos boîtes à ma voiture. » Ses main qui étaient frottaient mon dos s'éloignèrent, et il allait prendre les boîtes que j'avais préalablement placé dans l'entrée.

***

« Alors comment allez-vous aujourd'hui Olivia? » me demandait William ses yeux quittant la route quelques instants pour se déposés sur moi.

« Plutôt bien... » dis-je forçant un sourire.

« Bien! »

Il eu un silence. Un silence inconfortable.

« Votre père était un homme bien... »

Je me retourna rapidement vers lui. Quoi?

« Je... vous connaissiez mon père?»

« Biensûr! Nous étions de très bons amis. Nous avons combattu ensemble! »

« Vous.. vous êtes allé à l'armé?»

Demandais-je incrédule.

« j'étais dans le tank avec lui lorsqu'il est mort...»

Je déposais ma main sur ma bouche, stupéfaite.

« Je lui aurais donné ma vie si je l'aurais pu... ils avait tellement aidé de personnes... tout le monde l'aimais... il m'avait beaucoup parlé de toi... il t'aimais beaucoup! »

j'esquivais un sourire sur mon visage avant que ma lèvre inférieur se met a trembloter.

« Oh je... je suis désolé je n'aurais pas dû... » me dit-il d'un air coupable.

« Non ça va... je vous assure »

Il coupas le contact du moteur avant de sortir de la voiture de patrouille. J'imita son geste et alla prendre les boites restante dans le coffre.

Le bâtiment est tel qu'on le voit dans les films, en vieil brique rouge qui tourne au brun qui s'étale sur plusieurs étages. Mon nez était gelé dû au vent glacial qui ne cessait de s'abattre sur Londres depuis quelques jours.

Je n'avais pas conscience que c'est a cet endroit que tout va changer... Tout.

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Chapitre merdique prise 2!

Je suis désolée que les deux derniers chapitre ont été si ennuyeux! Mais... LE PROCHAIN EST LE MEILLEUR!!!! suspense, tristesse, colère... oh mon dieux sa me donne la chaire de poule! Ah oui et aussi, le chapitre est petit... trop petit je sais jesuis terrible de vous faire ça!

MAIS JE VOUS AIME!!!!

Chaque fin de chapitre fin de semaine dorenavant va avoir une " question of the week! " qotw!!! Je vous pose une question et vous repondez en commentaire! Qu'en dites vous?

Qotw: comment reagiriez-vous si cette situation vous arriverais?

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-Canadiancrazymofo 💗💋

multimédia: William

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