Ce doux soleil réchauffe ma peau ,
Tes états d'âmes ne sont que de trop.
Dans mon univers se mélangent tes atomes,
Toujours à craindre l'Inhibition.
Le soir avant que tu t'endormes,
Ma vie ne demande que réflexion.
Je cherche en vain tes atomes ,
Consumée par la conviction .
Ils ne font pas de toi un homme ,
Et Cela tourne à l'obsession.
Quand à mon corps tu t'abandonnes ,
Le sentiment de la passion .
À jamais te désarçonne,
Pour donner au petit garcon que tu es ,
Ce qu'il veut pour être un homme .
Soyons adultes ensemble, dans cette nature immatérielle et bien trop égocentrique pour être humaine.