Chapitre 1

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Pdv Beckett

"Beckett!...Kate!" Castle m'appelle sans que je ne me retourne.

Je voudrais m'enfuir, m'en aller, disparaître mais pour cela il faudrait sortir et affronter les rue, les buildings et touts ces endroits où le sniper pourait m'attendre et je sais pertinemment que je ne pourrai pas alors je pars en courant vers la porte la plus proche, pour m'enfermer là où les yeux de Castle ne pourrai pas me voir me briser en mille morceaux.

Là à l'abri des regards, je pleurs, je pleurs en espérant que toute la tristesse et la peur s'enfuiront avec mes larmes. Mais manque de chance elles sont toujours là à me ronger de l'intérieur.

"J'peux pas" les mots s'échappe de mes lèvres comme mes larmes s'échappe de mes yeux. "J'peux plus". J'en ai marre d'être  effrayé à chaque pas que je fais hors de chez moi, mare d'avoir mal là où cette putain de balle m'a transpercé la poitrine pour emporter ma vie avec elle.

J'enlève ma veste et d'un geste, jette mon arme et ma plaque, pour tomber moi aussi, à genoux, avec ces larmes qui ne quittent pas. Alors je reste là à sangloter jusqu'à ce que mon corps soit totalement allongé et que Morphée m'enprte avec lui.

Pdv Castle

Cela doit faire une quarantaine de minutes que Beckett est partie s'enfermer et je commence un peu à m'inquiéter.

Espo et Ryan sont montés, pour inspecter l'étage où cette femme c'est faite tiré dessus, il y a une grosse demi heure en me laissant la après que je  leurs ai dit que je resterai là, en bas jusqu'à ce que Beckett revienne.

J'aimerais qu'elle sorte, qu'elle me demande ce que je fait encore là, qu'elle me fasse son regard, ce regard qui dit à quelle point je ne suis qu'un gamin ou qu'au contraire j'ai des pensé bien trop..... adulte, ce regard qu'elle me fait à chaqune de mes folles théories.

Mais elle n'arrive pas et chaque seconde qui passe je me dis que quelques choses ne vas pas, qu'elle aurait dû revenir depuis le temps. Alors je décide d'y aller.

La porte n'était pas fermé à clé, alors je l'ouvre pour voir pour voir Kate, ma Kate, allongé par terre dans le plus paisible des sommeil. Elle est belle, si belle mais aussi si triste, si détruite depuis le coups de feu.

Je ne veux pas la réveiller mais je ne veux pas non plus la laisser là, parterre. Je touche sa joue du bout des doigts pour la réveiller, elle bouge un peu et  murmure quelque mots sans pour autant se réveiller. Alors je décide de la prendre délicatement dans mes bras, un sous ses genoux et l'autre autour de son dos.Au moment où nous sortons dans la rue, un bruit de klaxon la fait sursauter et la réveille.

Ses yeux entrouverts, toujours troublé par le sommeil, se pose sur moi. Elle mait quelque secondes pour réaliser où elle est, qu'elle est dans mes bras. Elle ouvre la bouche pour protester mais je la coupe "Non Beckett, je vous ramène chez vous ne protestez pas." Je m'attend plutôt à ce qu'elle me dise de la lâcher sur le champ ou qu'elle m'engueule mais au lieu de ça, elle referme les yeux, passe son bras autour de mes épaules et repose sa tête sur ma poitrine et murmure "Merci Castle"

Hampton ViceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant