Asphyxie

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Tantôt miel

Tantôt fiel

Tu es changeant

Tel le lycan

À l'appel de la nuit

Et tu aimes la vie

Jusqu'à gâcher celle d'autrui

Mais tu n'as pas compris

Que c'est toi que tu nuis.


Tu m'enlises

Tu m'épuises

Tu attises la bise

De ma propre crise

À force de m'étouffer

Tu te bouffes toi même

Et douleurs tu parsèmes.



Petit poème venu soudainement. Concernant la ponctuation, je n'en ai mis aucune pour rendre la lecture plus libre, mais peut-être est-ce mieux avec. Donc si vous avez un avis sur la question... X)

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