Assis sur la chaise grinçante, ses cheveux noirs longeant son front en cachant sa figure il remarqua l'ombre de ces hommes aux musculatures aveuglantes s'interromprent devant la table d'Éric. Tous équipés d'armes aux phosphorences lumineuses, Éric leva sa figure en laissant paraître un seul de son oeil noir et sombre afin d'identifier les opposants visiblement acariâtres. Ils souriaient d'une horrible manière. Cette habitude commune de la part de ces hommes loquedu et obsène. Ils avaient ce même air horrible et possédé devant la jeune femme qu'ils violèrent il n'y a même pas quelques heures et ça, Éric put le remarquer à travers leurs vestiges mémoriales de part sa capacité ultime. Comprenant l'optique de leur apparition non discrète, notre héros ténébreux se leva lentement en soufflant d'agaçement. Son agitation, en tassant sa chaise, put alerter l'entière salle qu'un combat allait rugir. Femmes et hommes, brigands et politiciens, ils se rangèrent tous sur les murs et coins, apeurés par la présence des hommes. En effet, une peau basanée, des cicatrices, un corps de titan et des armes flavescentes. Ce ne pouvait être que le ''Silver Gang''. Éric ne les conaissait pas et cela lui importait peu, la mèche mouillée de ses cheveux gothiques couvrait un seul de ses yeux et l'autre à moitié ouvert observait la douzaine d'homme riant et murmurant comme un troupeau de brebis devant l'homme. Avant que le combat commence, un prit la parole de son air prétentieux et mal poli en criant :
« Pauvre bouffon, tu t'es échappé de cette fameuse prison sanglante, hein ?! Ta vieille tête est partout dans la ville. Nous nous ferons un plaisir de te nettoyer. »
Ces hommes ne le semblaient pas, mais étaient en quelque sorte malins. Un d'eux avança d'une manière irritante vers Éric avant que celui-ci n'envoie sa jambe se fracasser violemment contre le mandibule du titan. Les mouvements musculaires d'Éric dépassaient clairement la vision d'un humain et plusieurs secondes prirent à la foule avant de remarquer l'énorme corps ombrant la troupe voler par dessus celle-ci avant d'embrasser le mur marqué de photos d'inaugurations et de rencontres. Une compagnie fière de ses investissements, on dirait. Mais tout était prévu : Ils avaient fait exprès d'attirer Éric et de le faire réagir. Le plus grand se vit rire d'impressionement :
« Ooh, tu nous a attaqué en premier donc c'est de la légitime défense si nous te frappons ! »
S'écria-t-il tout excité en commençant à se diriger vers l'homme aux cheveux noirs. Comme les bons chiens qu'ils sont, les autres balourds suivèrent leur chef en secouant au fil de leurs pas l'entière salle, les bouteilles tombaient et les lampes se balançaient déstabilisant les personnes d'une lumière satisfaisante. Éric slalonna de par quelques passements corporelles les énormes hommes en esquivant leurs coups paisiblement, frappant lui et l'autre par-ci et par là. Il en eut deux par un seul poing violent fracassant à travers les rouages squelettiques et solides de leurs corps, leurs muscles et organes. Il n'en restait qu'un seul à travers le brouhaha de fractures d'os et de muscles se déchirant. Le chef, celui qui avait cette grande gueule et sûrement celui qui avait eu l'idée de venir déranger l'homme à la mémoire difficile. Alors qu'Éric sembla se distinguer sur la vision périphérique du géant à droite, celui-ci reçu un horrible coup à travers sa tempe gauche. Un coup qu'il aurait aimé oublier de sa mémoire, des années plus tard. Un coup si puissant qu'il en tremblera encore lorsqu'on lui parlera de combat. Il se vit pénétrer le mur séparant la réserve de bières et la salle, son corps inerte et visiblement mort, impossible à encaisser même en étant un Dieu. Éric dépoussiéra par la suite sa tenue ténébreuse et légèrement déchirée où est-ce que durant les mouvements de ses mains se virent quelques tatouages sur ses poignets durant un court instant. Seuls les plus aux aguets purent les remarquer. Ce n'était pas fini. Comme si son arrivée dans le bar était attendu, le trois quart de la foule longeant le mur par ''surprise'' et ''peur'' se virent se projeter vers le combattant mystérieux. Ils se virent violemment poussés vers l'arrière par un phénomène gravitationnel qui était comme... négatif. Un lourd vrombissement ressemblant à une créature rugissant d'une grande puissance. Ils se cognèrent tous contre le mur après qu'Éric sorte du bar, l'oeil précedemment rouge et à présent éteint dissout dans ses cheveux noirs couvrant seulement son oeil droit. Il avait à présent terminé son arrêt dans la ville et prévoyait d'attraper une navette régionale traversant l'entier désert entourant le petit village presque fantôme où est-ce que tous les habitants comme allergiques aux lourdes flavescences du Soleil se cachaient chez eux et observaient tout à travers leur rideaux, apeurés. Sur l'affiche montrait que le prochain carosse partant de Sylia, capitale de la province, traversant le Désert de Bahamas où est-ce que se situait Éric et finissant vers les Montagnes d'Eoïd passait à seize heures, soit dans quatre heures encore... Il avait faim, il avait soif et cherchait à se reposer. Malgré tout, il affrontait la douleur de son cerveau et, adossé contre la porte du bar détruit, à l'ombre il sombra dans ses souvenirs dégeulasses et horribles, toujours cet homme souffrant à travers ces vitrines, ces généraux et cette chimiste diforme. Cette courte projection lui semblait avoir duré même pas quelques secondes avant qu'une magnifique femme aux abords culturels de la ville le réveille soit, une chemise courte, une jupe courte également un chapeau protégeant son magnifique visage enveloppé de ces doux cheveux bruns et soyeux des rayons de Soleil puissants ici. Elle ouvrit sa mince bouche avant de sortir de son éloquente voix :
« Il me semble que vous prenez le carosse ? »Souria-t-elle comme si Éric lui faisait rire, les mains dans les poches arrière de sa jupe légèrement penchée couvrant de son corps provoquant celui d'Éric au sol du Soleil.
« O...Oui. »Réponda-t-il d'une manière sèche et venimeuse comme si s'adresser aux femmes était dangeureux. Se relevant lentement en dépoussiérant une seconde fois ses habits, Éric se dirigea vers le carosse où est-ce que quelques personnes installaient leurs bagages dans la réserve arrière attachée à deux ''wagons'' en bois où est-ce qu'une tante couvrait chaque wagon. Éric donnait un air distant, mais s'installa pourtant dans le même carosse que la jeune femme où est-ce que celle-ci, assise, une jambe sur l'autre observait chaque personne entrer en souriant de ses magnifiques dents, son regard clair et perçant, son...
« Hmpf... ! »Exhalta Éric abruptement en se rendant compte qu'il phantasmait sur la jeune femme et son apparition réconfortante. Tout ce qui était arrivé à notre sombre protagoniste semblait s'évaporer au fil de la persistance corporelle de la brunette aux yeux d'ébènes d'Éric.
« Vous venez d'où ? »Coupa-t-elle sans gêne avec ce sourire confiant comme si elle se moquait avec politesse d'Éric qui lui semblait se battre contre le sommeil et la confusion sur son banc.
« De Rashtran. »
« Rashtran ?! La prison ?! Que faîtes-vous ici alors ?! »
Malgré la violente augmentation vocale de la jeune femme, les paysans étaient trop affectés par le Soleil et sombraient déjà dans leurs sommeils, leurs rêves ou leurs punitions de non-hydratation.
« Je me suis échappé. Une longue histoire. »« Qu'est ce qui ne me fait pas dire que vous voulez me tuer ? »
« Qu'est ce qui vous fait dire que je suis un tueur ? »
« Eh bien... ! Cette prison contient les plus grand criminels ! »
« Si vous le dîtes. »
« Mmh... »
Le voyage fut sous-titré d'un lourd silence et quelques coups d'oeils de la part des deux personnes. Ils devaient s'arrêter, car le voyage durait plus de quatre jours et ils préparaient un arrêt à chaque fin de journée pour laisser le temps aux passagers de se rétablir et faire leurs toilettes.
« Nous camperons ici. »
Annonça à grande voix le chauffeur au lourd accent anglais à l'égard des deux chariots de passagers. Éric souffla d'agaçement ayant espéré qu'il arrive là-bas rapidement. Équipement en main, il s'installa devant le fleuve qui serpentait la route luxuriante de la montagne où est-ce qu'ils s'étaient arrêtés. La plupart des passagers, eux, étaient partis en montagnes où est-ce que les villages sont majoritairement présents. La nuit tomba rapidement et Éric, devant le feu se nourissant du bois couvert de mousse grandissait très lentement, brillant par sa faculté rayonnante la figure formée et pâle d'Éric assis sur un tronc, une branche reliant sa main droite et le feu tendue embrochant un bout de viande sûrement. C'est dans le sofa du calme joué par les touches du sombre piano de la nuit qu'Éric s'endormait petit à petit. Tout fut malheureusement rompu par ce cri de branche brisée à travers les draps des bois noirs et plantes cachées. Le bruit s'intensifiait où est-ce que les pas accéléraient comme une proie ayant repéré sa cible. Éric ne bougeait pas et le bruit s'arrêta, il vit à travers la lumière une sorte d'ombre embrassant sa silhouette assise, derrière lui et se vit tourner lentement trouvant...
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Cet homme
FantasyUne puissance destructrice utilisée par le dégoût, la haine, l'incompréhension. Cet homme du nom d'Éric pérégrine à travers son monde afin de retrouver sa mémoire perdue et fera face aux plus grands ennemis qu'il puisse rencontrer.