Terrassé sur le boulingrin vert, les herbes débonnaires chatouillaient sa nuque plaqué contre. Suivant d'une extrême patience les énormes nuages adoptant différentes formes de notifications, ses yeux bais légèrement couverts par ses paupières presque fermées, il soutenait l'os occipital de son arrière crâne des deux paumes de ses mains. Une vue universelle s'imposa montrant sa position sur l'énorme colline superposée derrière les grandes montagnes de Djurdjura et le village de ses simples habitants aux coeurs relevés et aux espoirs sages. Ses paupières pâles glissaient petit à petit sur le corps aqueux de ses yeux proposant un terminal bilieux pour la vue de celui-ci, le grand noir total. Le marathon des évocations commenca, se rappelant avec difficulté de ses moments passés : Il vit en premier lui et un homme, marchant dans une rue maussade, embrassée par les quelques lampadaires postées précisément à 6 mètres entre eux. Il y avait ces maisons par-ci qui étaient peinturées à travers ce rectangle sale d'une lumière bigarade où est-ce que dedans une famille chantonnant leurs envies et plaisirs sur une table mangeaient à leur pleine faim. Il y avait aussi ce souvenir où est-ce qu'il vivait cette curieuse mésaventure avec une femme. Une magnifique femme... Son visage pâle et tracé par le crayon des anges brillait au pâle teint supercoquentieux du somptueux phébus se dévoilant à travers quelques feuilles des grands et sages arbres de la forêt. Son unique sourire tracait ses caractéristiques joviales et faciales, où est-ce que son corps formé bougeait et dansait entre les graminées végétales. Il aurait voulu rester avec elle et vivre ce moment pour toujours, mais ce souvenir se vit violemment mutiler par les interventions d'une toile grise où est-ce que les flammes rouges du sang des victimes zébraient violemment contre la vitrine. Il était dans cette salle sordide éclairée par une faible lumière où est-ce que lui et une femme au visage mutilé couvert par des lunettes rondes et amendées se trouvait, devant plusieurs manivelles, boutons et leviers. Devant, séparée par la grande vitrine tâchée de liquide pourpre, se trouvait une personne attachée sur une chaise roncée par des barbelages hostiles. Il criait et pleurait pour qu'on lui laisse mourir maintenant. Derrière se trouvait 4 ou 5 soldats vêtus d'hardes lourdes d'une couleur de purpurin obscurci avec un vert rare, sur le galurin de l'homme au milieu se dessinait différentes croix : Les Croix Damnés, un parti communiste fondé par Radendorf, grand général et humain originel*. Brûlant, dépecant, torturant et tuant les espèces de surhumains, les Croix Damnés sont présentis partout sur la Terre et sont à l'origine de tous ses groupes de rebelles, mais qu'était ce souvenir ? Pourquoi était-il là avec ces morbides et dégoûtants êtres humains ? Sa réponse pu être éclairée lorsque la jeune femme diforme et monstrueuse se retourna vers lui, tendant sa main pour qu'il s'approche, mais tout fut rallumé proposant une vue apaisante et moins angoissante à présent, des nuages opaques s'embourbant dans la providence céruléenne qu'était le ciel. L'homme soupira en se relevant, dépoussièrant son accoutrement sombre, il manoeuvra son corps modeste, caressé par le doux zéphyr de l'Est, vers le village en bas s'arrêtant à une taverne pour s'astiquer de son obscénité accumulée durant 3 jours. Dans une enceinte fermée, devant le miroir, il releva de façon brusque le col de sa funeste veste, passant sa main dans ses cheveux noirs jais légèrement trempés. Il approche ensuite son visage de la glace, ouvre la bouche, fait surgir sa langue percée d'un anneau galvanisé et marqué de minuscules épîtres discrètes. Il se retient pour ne pas fracasser son image de son poing empoisonné par ses quelques réminiscences horribles qui surgissent dans sa tête. Elles aimaient la mâle autoritaire et sombre de l'homme, elles aimaient sa façon nonchalante de pousser une porte, traverser la salle à grands pas ou de s'asseoir sur une chaise. Plastronné sur la chaise grinçante, comme endormi dans ses propres pensées, une bande d'hommes s'interrompèrent juste devant l'hominidé nostalgique. Il s'apprêtait à lever sa tête vers eux, tous armés d'armes aux phosphorences nébuleuses comme s'il leur avait fait quelque chose...
*Un humain originel dans cet Univers, est un humain dont les capacités sont incroyablement multipliées de manière naturelle, des sortes d'êtres primaires à l'origine de la création du monde. Ils sont immortels et sont très rares. Ils ont chacun une capacité décrite comme ''divine'', mais une grande partie fut terrassée par un homme dont personne connait l'identité.
VOUS LISEZ
Cet homme
FantastikUne puissance destructrice utilisée par le dégoût, la haine, l'incompréhension. Cet homme du nom d'Éric pérégrine à travers son monde afin de retrouver sa mémoire perdue et fera face aux plus grands ennemis qu'il puisse rencontrer.