Le Secret De L'Épouse

CHAPITRE 3

- Ne bougez pas dit-elle.

- Mais faite attention vous me faite mal dit-il en se débattant.

- Mais qu'est ce qui vous a pris de sauter sur ses malfrats.

- Je vous aie tout de même sauvé la vie dit-il en faisant une grimace.

Elle termina son bandage et se rendit dans la salle de bain.

- Vous devez vous reposer compris dit-elle d'une voix douce.

- ok dit-il d'une voix ensommeillée.

Lorsqu'elle retourna auprès de lui il s'était endormi.

Elle n'arrivait pas à distinguer son visage a cause du noir.

Elle prit une douche et s'endormie par la suite.

Lorsqu'elle se réveilla, lui dormait encore elle lui prépara un bon petit déjeuner posa un mot et s'en alla comme une fugitive. Elle enfila un gros sweet short ainsi qu'un pull à capuche.

Après une longue journée de travail, elle rentra à la maison.

Le jeune homme était partit, elle vit un mot sur la table.

Elle posa le mot sur le comptoir et sortit quelques aliments du frigo et les cuisina. Elle prit ses cachets et dégusta les plats avant de se prendre un bon bain chaud.

Des craquements se firent entendre. Elle sortit de la salle de bain une serviette nouée à la poitrine. Elle n'entendit plus rien et retourna terminer de prendre son bain.

Après une bonne douche, elle se vêtit d'un gros tee shirt de grande taille ainsi qu'un pantalon de nuit elle était concentrée sur une émission télé lorsque le compteur sauta subitement. Elle se leva aussitôt, cherchant avec désespoir une bougie.

Elle sentit quelqu'un lui prendre les mains, et posa un mouchoir sur ses narines.

- Calme-toi dit-il en le lui chuchotant à l'oreille.

Elle se débattait essayait tant bien que mal de se libérer de sa prise mais finit par sombrer dans un profond sommeil.

Elle se réveilla en sursaut la boule au ventre, ses démons avaient commencé à la hanter, elle analysa la pièce un moment, elle aperçut une porte.

Elle courut jusqu'à la porte et se mit à frapper de toutes ses forces.

- Je vous en prie laisser moi sortir dit-elle en continuant de taper.

Je vous en prie laisser moi sortir je veux sortir continua telle.

Après quelques minutes on vint lui ouvrir la porte.

Un jeune homme se tenait devant elle.

- S'il vous plait ....

Elle ne put terminer sa phrase il lui envoya une gifle qui la cloua au sol.

Puis il referma la porte. La gifle avait été tellement forte qu'elle s'était mise à saigner du nez.

Elle entendit des voix d'hommes qui se disputaient l'un d'entre eux tapa violemment le mur puis plus rien.

La porte s'ouvrit laissant place à un jeune homme. Il se précipita sur elle.

- Je suis désolé dit-il en voulant l'aider à se relever.

- Ne me touche pas dit-elle en reculant.

- ok comme tu voudras.

Elle se prit aussitôt la tête et poussa quelques cris. Le jeune homme l'observa quelques temps et lui lança une compresse qu'elle attrapa en vol.

Il lui sourit et s'assit sur une chaise.

- laisse moi partir dit-elle en se levant avec difficulté.

- Pourquoi devrais-je faire ça ? dit-il en l'observant.

Elle le regarda perplexe.

- Ecoute j'ignore qui tu es ; Et je ne veux pas le savoir. Tout ce que je souhaite c'est rentrer chez moi.

- ok comme tu voudras, je te raccompagne dit-il avec le sourire.

Il l'aida à se relever, elle était assez fatiguée.

Il voulut la porter mais elle le repoussa et se prit la tête entre les mains.

- Qu'est ce qui vous arrive dit-il en la rattrapant pour ne pas qu'elle tombe.

Après avoir put se relever elle le repoussa encore une fois.

- Drôle de façon de dire merci dit-il en la relâchant.

Il lui ouvrit la porte et la laissa sortir.

Après quelques minutes de marches Ils arrivèrent devant une porte. Le jeune homme l'ouvrit laissant place à une belle Lamborghini.

Elle se blottit contre le mur pour encore une fois ne pas perdre l'équilibre. Il s'approcha d'elle et il lui tendit une pomme.

- Tenez dit-il en voulant lui prendre la main pour y poser la pomme.

- Je vous avais dit de ne pas me toucher alors n'insistez pas dit-elle d'un ton dur.

- Mais vous pouvez au moins la prendre dit-il d'un ton rassurant.

- Vous n'avez qu'à vous la mettre la où je pense votre pomme dit-elle en l'observant méchamment.

Bon on y va dit-elle impatiente.

Il ouvrit les portières et la laissa entrer.

C'était parti pour une belle virée en voiture.