Je ne sais qu'écrire d'étranges farandoles.
De ces mots liés par la douce tendresse,
Tentant,malgré tout, tour à tour tristes et drôles,
De sublimer cette insipide détresse.
Je ne sais qu'accoucher d'étranges litanies.
S'envolant bien haut, telle des harpies affamées
qui vocifèrent et réclament à cor et à cri
La puante carcasse de l'espoir refoulé.
Trimballant ma foi sur des chemins de papier,
Seul sur ces étranges routes, hiver comme été,
Ne croisant qu'oiseaux,fleurs et éternels arbres.
Crier,vivre sur cette page veloutée
Pour entrevoir en silence la Liberté.
Je ne sais qu'au final graver dans le marbre.