*MON AUTRE MOI*

CHAP 26

      - Tu as tout les droits ma reine.

      Euh je pense qu'un blanc vient de s'installer et je remercie mon teint  de ne pas aggraver la situation.

      Je détournai mon regard vers Karui pour voir si elle ne pouvait pas utiliser sa langue de vipère pour une fois au bon moment. Mais non, elle a décidé de partir comme une brise.

       - Où est elle ?

       - Qui?

       - Carence, Karin ,Kaeloo ,je ne sais pas.

       - Je pensais que tu ne l'aimais pas?

       - C'est toujours le cas mais je veux savoir où elle est. dis-je en me dégageant de lui.

       - Suis moi. dit-il en me prenant la main.

       Il m'entraîna vers une grotte protégée par des lierres vivantes et "TRÈS attachantes". En entrant dans la grotte, je vis le paradis sans exagérée.

        - Bienvenue dans mon royaume... terrestre. m'accueilla Saï.

        - Comment ça terrestre ? demandai je

         - Euh je t'expliquerai plus tard.

         - Si tu le dis.

Je me retournai vers le paysage qui s'offrait à moi. Il y avait toutes sortes d'animaux comme les licornes. J'étais béate devant toute cette splendeur.

      - Tu aimes? demanda Saï hésitant.

      - J'adore ! C'est magnifique ! dis-je le sourire aux lèvres comme une gamine.

      Il souria à son tour. Mais il faut toujours un mais qui se nomme Karui. Elle se ramena avec une très belle femme avec les oreilles et la queue d'un loup,d'un dragon, d'un centaure et d'un ajin. Tous s'inclinèrent devant nous en disant :

       - Bienvenue majesté !

       - Majesté ? Donc c'est vraiment vrai? murmurai je à l'encontre de Saï.

      Ils continuèrent :

- À vous aussi, notre altesse.

- Mais nous n'attendions pas votre venue de sitôt. ajouta le dragon.

- Altesse ? Ma venue ? C'est quoi ce délire ? SAÏ !!! m'écriai je

- Euh vous pouvez disposer. leur ordonna Saï.

      À peine se sont ils éloignés que je demandai à Saï en colère.

      - Qu'est ce qui se passe ?

      - J'en ai aucune idée.

      - Tu devras trouver une meilleure excuse que celle la.

      Il soupira avant de me regarder dans les yeux et commença

      - Ne le prend pas mal.

      - Vas-y !

      - Tu es ma femme.