CHAP 15

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Toi rester ici avec MOI.

C'est moi ou cette histoire prend une autre tournure que je ne comprends pas ?

Vue mon interrogation, il reprit plus calmement.

- Dehors rempli de gobedem.

- De quoi quoi quoi ?

Il me prit par la main et m'attira vers la fenêtre et me montra les chimères du doigt.

- Des gobedem.

- J'en ai marre. dis-je en arrachant ma main de la sienne. Je m'en vais.

Je me précipitai à la porte le plus rapidement possible pour ne pas me faire avoir encore une fois mais Saï ne fut pas de cet avis. Il me souleva du sol et me jeta violemment sur le lit. Fini la douceur à ce que je vois.

- Toi ne pas partir.

- Je n'ai aucun ordre à recevoir de toi.

- Toi devoir t'y faire.

- Ne rêve pas.

Je me dirigeai vers la fenêtre pour l'ouvrir et m'enfuir mais Saï me rattrapa pour me plaquer sur le lit. Mais c'est quoi leur problème à me plaquer partout ?

Il se mit à califourchon sur moi et me fixa intensément. C'est quoi son problème? Il attrapa mes deux poignets avec une de ses grosses mains et me caressa le visage. Mais il est à l'aise lui.

- Laisse moi ou je te promets que tu deviendras de la pâtée pour chimère.

- Toi avoir fort caractère.

- On me le dit souvent.

Il s'abaissa vers mon visage et essaya de m'embrasser. Je dis bien " essaya " car au dernier moment je détournai la tête et il m'embrassa la joue. Il s'est cru où ?

Après sa tentative ratée, il plongea sa tête dans mon cou. Il commence à m'énerver. Je mis toute ma force dans mon pied et je le propulsai sur ses bijoux de famille. Ça ne lui fit rien de chez rien. Comment est ce possible ? D'habitude quand Ryû et les garçons du village y gouttent ,ils ne se relèvent pas avant six semaines. Mais là tout ce qu'il fit c'est de se relever tout doucement et de m'adresser un petit sourire.

- T'es quoi au juste ? m'écriai je.








*MON AUTRE MOI*Où les histoires vivent. Découvrez maintenant