L'amour de ma vie...de ma mort

·◊· Chapitre:1 ·◊·

« Hé ho ya quelqu'un? » ça fait 10 bonnes minutes que je me me suis réveillée et me voilà coincée je ne sais où avec je ne sais qui! Il y a quelques instants je me suis retrouvée allonger par terre et voilà ce que j'ai vu en ouvrant les yeux: un monde qui m'était totalement inconnu. J'étais dans une forêt dense, entourée d'arbre et de fleurs. Il n'y avait aucune habitation juste une grande forêt déserte et bien entendu pour combler le tout il n'y avait personne! Et pourtant je m'époumone depuis tout à l'heure pour retrouver quelqu'un, un animal ou je ne sais quoi, quelque chose de vivant. Pourquoi est-ce que je suis si désespérément à la recherche d'être vivant alors que depuis que je suis toute petite la seule chose que je connaisse c'est...tiens je ne m'en souviens plus « Heeeeeiiiiin comment ça je ne me souviens de rien ! Nan mais c'est quoi ce bazar!!! ».

Je suis repartie mais cette fois à la recherche de deux choses: un être vivant mais aussi de mes souvenirs ceux qui me hantent et dont-il est impossible de se souvenir. J'avance doucement et je m'enfonce dans la brousse quand une pensée affreuse me vient en tête: et si la nuit tombe qu'est-ce que je vais faire? Puis j'essayais de me dire des petits trucs encourageant: mais nan t'inquiète il ne se passera rien! Et puis la nuit n'est pas pour tout de suite! Et puis ça se trouve il n'y a pas de nuit dans ce pays! De toute façon j'ai l'habitude de...encore nan mais c'est pas vrai! C'est alors qu'un épais nuage apparu : Hein nan mais sérieux! Il pleut même ici! Attend mais c'est la nuit qui arrive et hyper vite en plus! J'entendais des lourds bruits de pas sur le sol et je commençais à me ravir d'avoir enfin trouvé des personnes vivantes. Mais quand je me rends compte que ses pas se rapprochaient en même temps que l'épais nuage de nuit mes nerfs commencèrent à s'agiter et mon corps à trembler: « Quoi maintenant j'ai peur! Mais ça ne mettait jamais arrivé depuis qu'elles...mais nan ça va pas recommencer maudits souvenirs! ». Le nuage n'était plus qu'à quelques mètres de moi quand je plissais les yeux pour voir plus loin, je vis avec horreur que les bruits de pas appartenaient à d'immonde créature mi-loup, mi-je ne sais quoi avec des crocs acérés comme des lames de rasoir. Alors que les bêtes se rapprochaient de plus en plus la seule chose que je fis: c'est courir à toutes jambes. Je courais aussi vite que je pouvais mais malgré tous, les bêtes réussissaient à me rattraper. Je courais, je sautais, je courais, je sautais, je courais, je me stoppai. A quoi bon courir quand ils nous rattrapent: « Allez ma vieille maintenant tu dois te battre! C'est pour rien que tu as...et merde encore un souvenir effacé! Bon allez go! » Alors que je m'élançais sur les créatures, les poings armés. Je vis apparaître au dessus de ma tête quelque chose de ...rose?! « Attention! »

***

« Aïe, aïe, aïe, aïe...ma tête, enf*** »un jeune homme au cheveux étrangement roses vient de se réveiller la tête, posée sur une pierre dure et froide. Puis scrutant les alentours, il s'exclama: « Mais dans quoi est-ce que je me suis encore fourré moi! ».

Après mon réveil, je me suis mis à marcher pendant des heures entières; il devait être le matin quand je me suis réveillé puisque la nuit n'est pas encore tombée! Je ne sais pas vraiment ce que c'est cet endroit, mais apparement il n'y a personne, j'ai beau crier, personne ne répond à mes appels. Je continue de marcher tout en essayant de me rappeler quelques choses de ce qui aurait pu m'arriver pour que je me retrouve dans un endroit aussi bizarre qu'extraordinaire. Au dessous des nuages qui régnaient sur la forêt dense, je pus apercevoir des pierres, non des construction! Je me mis à courir aussi vite que je pus mais quand j'arrivais... Je ne vous raconte pas la déception que j'ai eu quand j'ai remarqué que ses "constructions" n'étaient autres que de viennent ruines désertique: « Ah bah c'est mon jour de chance tiens p*** et je fais comment moi! ». Au final je suis rentré dans les ruines pour voir si ces vieilles pierres ne pouvez pas me dévoiler ne serrait-ce qu'un peu de leur histoire. Je longeais un couloir étroit, puis je finis ma course dans une petite salle noire bien sûre! Très pratique! Je fis craqué une allumette d'un paquet que je gardais toujours dans ma poche. Je fus émerveillé en découvrant tous ceux qui se dévoilaient à mes yeux: ses pierres avaient bien plus à raconter qu'un simple histoire pour faire endormir les enfants. Elles avaient en leur possession une légende! Sur les murs, étaient gravées de toutes parts des parcelles de vie, communes comme surnaturelles.