Chapitre 2:

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     Suite à la cérémonie, un bal fut donnée en l'honneur du défunt, dans le manoir des Addams. Dans la salle beaucoup dansaient, mais tous yeux étaient sur Gomez et Morticia qui valsaient avec tant de facilité, d'harmonie et d'amour. Ils se regardaient tous deux oubliant les gens autour, ils vivaient leur moment rien qu'à eux. Lorsque que la musique se termina, Les deux amoureux se retirèrent lentement de la piste pour aller se promener à l'extérieur. Des heures durant ils parlèrent, apprenant à se connaître davantage. Plus Morticia parlait plus Gomez tombait sous son emprise, il l'a trouvait si belle si intelligente, si mystérieuse. Et pendant qu'elle parlait il regardait avec contemplation les lèvres de la jeune fille, fine mais bien tracée, rouge, la couleur de sang, obnubilait, comment pouvait elle avoir une si belle couleur de lèvre. De plus, son sourire était si beau, il n'en avait jamais vu plus beau. Puis se fut au tour de Gomez de parlait, alors Morticia le regardait elle aussi, ses yeux sa moustache, son rire, elle se croyait ensorcelée par tant de savoir, tant d'humour, tant de charisme. Soudain les mots manquèrent, dans le silence ils s'observaient avec attention, chaque signe chaque geste, c'est alors qu'ils se prirent les mains, les ongles long de Morticia étaient si beau pour Gomez, rouge.

Ils ne pouvaient plus détourné leurs regards l'un de l'autre, épris d'une force, il ne pouvait que complimenter en silence leur âme sœur

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Ils ne pouvaient plus détourné leurs regards l'un de l'autre, épris d'une force, il ne pouvait que complimenter en silence leur âme sœur. Plus leur amour s'agrandissait dans leurs yeux ils se rapprochaient, il mit sa main sur sa taille, elle mit la main sur sa joue, ils s'approchaient de plus en plus. Lorsque Morticia détourna le regard, Gomez surpris et légèrement déçu demanda :
« - Ça ne va pas, ai-je fais quelque chose de mal ?

- Non, bien sûr que non, il se fait tard je devrais rentré, mes parents vont s'inquiéter. (Elle lui souriait et il l'a louanger.)

- Je comprends, mais quand est-ce que je pourrais te revoir ?

- Je reviendrais mon cher, répondît elle, tu verras. »

     Elle se leva avec lenteur, leurs mains se tenaient encore et plus Morticia avançait plus elle se séparaient. Tout en se regardant les amants se séparèrent  sans aucun baiser, sans aucun accolade, juste un regard qui pouvait tout dire.

     Une fois que Morticia fut partie, Gomez rentra dans sa demeure, ne cessant de penser à la prochaine fois qu'il verrait cette déesse vivante

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Une fois que Morticia fut partie, Gomez rentra dans sa demeure, ne cessant de penser à la prochaine fois qu'il verrait cette déesse vivante. Morticia, rien que son nom le rendait fou, juste de pensait à elle le rendait nerveux. Il ne pouvait s'empêcher de sourire, elle avait réussi à se faire désirer, il devait attendre, il ne connaissait pas son adresse, et avait bien trop peur d'aller la visiter. Le bal achevé depuis bien longtemps, il monta les escaliers et alla se coucher sans faire de bruit, mais il ne pouvait s'empêcher de penser à la belle ténébreuse. Le lendemain il se leva d'un bon se lava, s'habilla, se coiffa, se rasa, et sortie de ça chambre tout enthousiaste rien d'imaginer que sa tendre pourrait jaillir à tout moment. Là journée passa et une lettre il reçu, une lettre de Morticia Frump. Son cœur se mit à battre et eu du mal à l'ouvrir. Une fois sa petite mésaventure termina il commença sa lecture:

« Cher Gomez, hier tu as pris mon cœur, je n'ai cessé de pensait à toi, tu es ma lumière tu es mon soldat. Il me tarde de te revoir.

Ta tendre et bien douce,Morticia Frump »

Gomez heureux et épanouit, blotti le bout de papier contre son petit cœur, battant à tout allure.

Un amour peu communOù les histoires vivent. Découvrez maintenant