Un amour peu commun

Chaptire 5:

Une fois chez sa mère Morticia ne cessa de penser à Gomez, une semaine sans lui après tous ça, en serait elle capable,elle souffrait plus qu'autre chose, seulement Gomez était dans sa tête, Gomez, Gomez, Gomez c'était les seule mots qu'elle pouvait se répéter. Elle ne pouvait s'empêcher de cogiter à propos l'autre soir. Elle voulait Gomez, elle me voulais, elle ne pouvait pas dormir seule ce soir, ni les autres, mais cette bise lui avait arraché le cœur. Gomez de son côté était détruit il pleurait, il voulais sa Morticia, son soleil dans la nuit, sa reine des ténèbres. Il regrettait tellement ce qui c'était passé il ne pouvait que s'en vouloir à lui même. Il entra dans sa chambre et vie le chaperon qu'elle avait laissé sur son bureau, il le serra et le garda avec lui. Il ne voulais surtout pas le perdre, il le plaça sur son lit et dormit avec. Cela lui apportait comme une sorte de réconfort, grâce à ce bout de tissus elle était toujours avec lui.

Le premier jour de son départ commença, avec une journée ensoleillée, ce qui déprima Morticia encore plus, car ce jour là ils étaient sensés aller au jardin, regarder les roses, et ils avaient prévu d'autre occupation. Elle était avec sa mère au moins, elle s'amusa tellement qu'elle en oublia pour quelque heure son bien-aimé. Mama savait comment la faire rire, la faire rire au éclat, c'était la première fois qu'elle s'amusait autant. Tandis que Gomez lui souffrait le martyr et ne cessait de se lamentait, faisait les cents pas autour de la maison.

Le quatrième jour, Gomez se dégrader mentalement il passer ses jours sans rire sans sortir de la maison, Morticia était sans sa tête, il voulais juste qu'elle revienne, mais il commençait à se dire qu'elle ne reviendrais plus, après ça. Morticia qui pensait toujours à Gomez s'amuserait beaucoup sa mère était était quelqu'un d'extraordinairement surprenant, mais elle l'avait prévenu qu'elle rentrerait bientôt.

Le septième jour au soir, on cogna à la porte du manoir et Mme ouvrit la porte à une nouvelle Morticia, plus heureuse qu'avant, puis la mère de la maison lui dit :

« Gomez t'attendais chère, il est dans sa chambre je suis sûr que ça lui ferait plaisir de te revoir

- Merci, Mme Addams. »

Morticia alla poser ses affaires dans sa chambre, et marcha jusqu'à la porte de son compagnon, elle toqua et entra:

« Gomez, me voila de retour

- Morticia? »

Il se jeta dans ses bras et il passèrent un long moment les bras l'un de l'autre. Ensuite il décidèrent d'aller se promener dans les jardins.

Puis Gomez lui dit :

« Tish, l'autre soir nous avons pas eu le temps de finir la conversation.

- Je sais mon cher, nous avons le temps maintenant. Explique moi.

- Très bien, dit il, la vérité c'est que depuis que je t'ai rencontré je ne vois plus les choses comme avant, tu es toujours dans mes pensées et je ne peux être loin de toi, j'ai appris que lorsque tu es loin je suis mal et lorsque tu es près je suis bien. Je crois que c'est ce qu'on appelle aimer. Le premier soir que nous nous somme rencontré, nous ne nous somme pas embrasser, ni maintenant encore, et cela ne me dérange pas, d'élément savoir que tu es prêts de moi la nuit que tu es prêt de moi quand tu vas mal, c'est ce qui m'importe.

- Oh Gomez, je pense que je t'aime aussi chaque soir je te voulais prêt de moi juste de savoir que tu étais absent me rendais malade, je profitais de ma mère, mais malgré tout tu restais dans mon esprit.»

Ils se donnèrent une accolade et marchèrent jusqu'à l'entrée. C'est alors que mMorticia stoppa Gomez, elle mis ses mains sur ses joues, et il comprit, il mit les mains sur ça taille. Et ils se rapprochèrent de plus en plus, leurs yeux se fermèrent et ils échangèrent un long et fougueux baiser, comme jamais personne n'avait vu ou vécu. Il parut durer des heures, mais ne dura que quelques instants. Ils rentrèrent mains dans la main heureux, comme ils ne l'avait jamais été. Ils se vêtirent de leur habit de nuit et partagèrent le même lit pour un autre soir bras en bras se collant pour contrer la fraîcheur de la nuit.