Vivre avec🌸

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Une maladie à mît en péril nos liens et la vie. Pourtant chacuns de nous ont besoin de se nourrir avec des émotions différentes les unes des autres.

Après quelques opérations, la faim me prends, comme si chacuns des gargouillis me faisaient penser au bruit que pouvais faire mon chat. Assise, parterre, avec respect de l'environnement, je commence à écrire les premières pages d'un roman. A l'époque, je croyais que chacuns de mes histoires dureraient au moins 100 pages, mais j'avais tord.

"Ce ne seront que des nouvelles" me disait ma grand-mère. Mais moi, j'y croyais comme fer, comme ces gens qui croient en des croyances religieuses ou autres. Pourtant à la fin je me retrouvais avec 1demi pages faitent en 1h. Puis au fur et à mesure, je commençais à comprendre que c'est en écrivant davantage que je fairais de plus grands livres, plus tard. Allonger au coins du lit, je rédigeais ma journée, comme celle d'un enfant de 3 ans. Avec humour, je pris la feuille comme je prendrais une serviette mouiller, puis je l'emmène à ma mère, qui comprend parfaitement. Puis je repars avec le sourire dans ma chambre. Depuis qu'on a déménagé, la vie n'ai plus pareil. Le temps manque et la haine me prend. Je pique des crises et puis je repars en disant:

"De toute façon, c'est nul le déménagement !!"

C'était la grande phrase, depuis peu, comme un tique. Puis je commençais à comprendre que déménager relâche le stress. C'était comme ca dans notre vie. Aujourd'hui notre grand-père est venue, on savait que le stress lui moulait la gorge comme du ciment. Un point lumineux, lui captivais comme par magie. De mystérieuses larmes lui vient en si peu de seconde. Ma mère accourait, s'agenouille contre lui est pleure, elle aussi. 24 minutes passèrent et ma mère se souviens de tout encore. 

"La vie manque, encore et encore."

Cette phrase était gravée à jamais, comme une poésie qui ne cesse d'hantée les gens. Je regarde le ciel, il est clair, je pense que le temps sera chaud et humide. Comme en été, on annonce, à la radio, qu'il faira chaud et beau, mais comme d'habitude on se retrouve avec de la pluie et du vent, tout ça pour gagner de l'argent. Une voix m'appelle, comme sorti d'un rêve, avec douceur, je me lève , je traverse la cuisine, où les parents se disputent, comme d'habitude. Je regarde encore et encore, par la fenêtre pour voir si personne ne chante, mais rien. 

"Etre sûr de son choix."

La voix parle de cette phrase comme d'un poème. Je vois un livre, dans le jardin, je le ramasse, un mot est écrit dessus.

"Tu seras loin de la précision, mais le bonheur... reste plat."


RaisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant