Victoria s'est levée du lit et sortit de sa chambre. Elle descendit les vieux escaliers en tenait fermement les balustrades pour ne pas tomber, car elle avait une forte impression qu'elle vas s'écroulait bientôt.
Dans la cuisine, sa mère lava la vaisselle avec les yeux pleins de larmes et son père était assis autour de la table en listant le journal. Victoria se figea sur place, mais en se rappelant qu'elle était en retard pour l'école, elle glissa discrètement dans la toilette. Victoria se lava, s'habilla et partit en courant.Elle fit seulement un pas à l'intérieur de la haute clôture qui entourait l'école, quand tout le monde commencèrent de se moquer d'elle. Laura Blackstone lui jeta des commentaires mesquins dans son dos et ses deux amies, Yulia et Sylvie riaient sans gêne.
Laura Blackstone était une fille avec de longs cheveux bruns doux comme la fourrure d'un chaton et des yeux bleus qui scintillaient à la lumière du soleil. Elle avait l'air d'une déesse descendu du ciel, en tout cas, c'est comme ça que les garçons l'appelaient. Yulia et Sylvie, tandis qu'à elles, avaient des cheveux noirs courts et des yeux félins. Ce qui étaient drôles, c'est qu'elle avaient l'air de deux jumelles, mais elles ne l'étaient pas.
De nulle part, arriva Max. C'était le garçon le plus populaire et le plus beau à l'école. Toutes les filles tournaient autour de lui tout comme les abeilles voltigent autour d'une fleur avec des pétales de couleur foudroyantes.
Victoria passait près de lui tout en essayant de ne pas tomber à terre à cause de toutes les filles qui marchèrent autour de Max. Tandis que Laura essayait de l'impressionner, celui-ci passa proche d'elle en l'accordant aucune importance.
-Personne fait ça à Laura Blackstone! siffla-t-elle.
Les deux autres filles hochèrent leur tête. L'adolescente leva sa main, claqua des doigts et désigna la porte d'entrée de l'école. Elles se tournèrent vers celle-ci et partirent en sa direction. Victoria accéléra son pas pour ne pas les rencontrés.Le derniers cours que Victoria avait été l'éducation physique. Elle rentra dans la vestiaire essoufflée et en sueur après une longue course. Laura et ses complices se refaisaient leur maquillage près du miroir. Victoria ouvrit son casier, pris ses habits et se dirigea vers la douche. Elle n'en pouvait plus de cette sueur et cette saleté sur elle.
Elle tourna la poignée et un jet d'eau chaude surgit. Elle s'accota au mur en levant sa tête vers celui-ci en se sentant plus forte que tout à l'heure. Elle sentit son sang s'écoulait dans ses veines. Elle entendit son cœur battre. Elle sentit chaque partie de son corps se réchauffer sous les gouttes chaudes. Elle se sentit vivante.
En terminant de se laver, elle sortit de la cabine enroulée seulement dans une serviette couleur du soleil. Elle se retrouva seul dans la vestiaire. Ceci ne la fit pas peur, au contraire, un sourire apparue sur son visage. Elle s'avança d'un pas ferme vers son casier portant le numéro chanceux: treize. En l'ouvrant, elle y trouva des vêtements déchirés en petits morceaux. Son sourire étincelant partit de son visage. Ses yeux remplies de larmes et son cœur accéléra. Elle fixa pour un instant les bouts de tissus qui tout à l'heure pouvaient être porter et ferma les casiers. «Mes habits d'éducation physique!» se rappela-t-elle.
Elle parti en courant vers sa cabine de douche et ouvrit la porte d'un fort «clac». Elle inspecta chaque coin de la douche, mais ne y trouva rien. «Elles me l'ont volé sous mon nez et je n'est rien remarquait!». Elle enfonça ses doigts dans ses longs cheveux blonds et tomba sur ses genoux en pleurant tout les larmes qu'elle cacha à l'intérieur d'elle depuis si longtemps. Le plancher était extrêmement froid, mais ceci ne dérangeait pas Victoria.
Soudain, la porte de la vestiaire s'ouvrit. Elle sauta sur ses pieds en tenant ferment sa serviette. Max se tenait à la porte.
-T'as tu... besoin d'aide? demanda-t-il.
La jeune fille hocha sa tête. Il rentra dans la salle, déposa son sac sportif sur le banc et y sortit des vêtements féminins, un beau chandail bleu ciel avec un col en V et une paire de jeans noire. Victoria fut surprise. «Pourquoi est ce qu'il a des vêtements pour filles dans son sac?» pensa-t-elle. En voyant, son regard Max l'expliqua: «C'est les vêtements de ma soeur. On partage le même sac, puis des fois elle oublie de sortir ses habits.».
Victoria les pris son rien dire et partit se changer. Elle ressortie habillée.
-Ça te vas bien! s'exclama-t-il.
Elle sourit, gênée.
-Ok, je t'ai aidé, maintenant je suis calme.
Il attrapa son sac et s'enfuit. Elle ne bougea pas d'un pouce, encore surprise de ce qui s'est passé. Enfin, elle pris les bouts de tissus et partit.
***
Victoria était assise sur une chaise en bois placée au milieu d'une chambre complètement blanche avec une porte en face d'elle. Il n'y avait aucun bruit autour. Au début, elle fut extrêmement contente et en profita de ce silence, mais peu après, il la fatigua en pesant sur elle. Victoria était prête à se lever et de taper sur les murs et le plancher pour qu'il parte, mais soudainement la porte s'ouvrit.
Max rentra dans la salle en traînant, dans la main gauche, derrière lui une fille. Elle avait les cheveux noirs tout mêlés entre eux et sur son corps se trouvaient une immense quantité de bleus. Dans la main droite, il serra un couteau.
Il jeta la fille, comme une poupée, au pied de Victoria. Maxime sauta sur elle en enfonçant le couteau dans son ventre. Il continua de la couper. Elle hurla de tout ses poumons. Les murs qui auparavant étaient aussi blancs que la neige en hiver étaient maintenant rouges cerises. Le niveau de sang dans la chambre monta jusqu'à ses chevilles.
Victoria voulait crier, mais elle se retenue. Elle couvrit sa bouche avec ses mains en espérant que de cette façon, aucun bruit pourrait échapper sa bouche. Mais tout à coup, elle gémit. Le garçon leva sa tête de la victime qui ne ressemblait plus à une fille.
Ses yeux. Ses beaux yeux verts n'étaient plus les mêmes. Son regard ne put appartenir à un humain. Son propriétaire devait être un bête féroce, qui ne connaissait pas la charité. Ses yeux appartenaient à un prédateur aggressive, sanglant.
Il sauta sur Victoria et celle-ci s'éveilla.
Elle poussa un cri et bondit de son pupitre. Tout les élèves, même Maxime, l'observèrent surpris.
-Victoria, est ce que ça vas? demanda le prof, inquiet.
Son cœur était prêt de lui sortir de la poitrine. Elle respira souvent et quelques gouttelettes de sueur brillaient sur son front. Elle aspira de l'air, hocha sa tête et s'assis sur son siège, mais elle ne pouvait pas se calmer. Son rêve se répéta dans sa tête sans arrêt. Les yeux de Max, la grimace figée sur le visage de la fille avant d'être coupée en morceaux. Ce massacre et ces rivières de sang était à jamais coincés dans sa tête.
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Le jour où nos regards se croisèrent
Ficção AdolescenteSuit Victoria, une fille insultée par tout le monde, dans son histoire amoureuse avec des éléments d'horreur...