Mes parents on fuit la France en 1790. La révolution battait à son plein depuis un an. Ils ont trouvé plus sage pour des courtisans du roi de s'éloigner de la capitale, puis du pays . C'est ainsi qu'ils s'installèrent en Italie. Mais à cause de la révolution, le climat était tendu alors, ils décidèrent de s'éloigner encore un peu vers l'Est . Ils traversèrent l'Europe, parfois par la terre, parfois par les mer. Voilà comment, au bout de quelques années, ils s’installèrent dans une maisonnette de pêcheur dans la ville de Yanaon en Inde. On était en novembre 1794. Les tensions politique de la France étaient en déclin, le peuple venais de subir la Terreur mais malgré la mort de Robespierre qui signait la fin de celle ci, la France vivait dans le chaos sans dirigeants. C'est pour cela que mes parents on préféré ne pas quitter les Indes, pour rester éloigné du danger. En janvier 1795, mon père trouva un travail de vendeurs dans un marché. Grâce à ses talents de négociateur qu’il s'était découvert depuis qu’il travaillait, il a gravit les échelons jusqu'à devenir patron d'une entreprise dans le textile. Tout les revenus bancaire, il les a consigné dans son journal. Mes parents acquérir un fabuleux petit palais avec plusieurs hectares de jardins, une cour intérieure, une vingtaine de chambres, autant de salles d'eau, deux salles de réception, une salle de spectacle, plusieurs salons, une immense salle à manger, un bureau, des cuisines et des appartements privé pour recevoir des invités de haute qualité. Autant dire que quiconque se perdait dans cette maison, ne retrouvait pas son chemin avant plusieurs heures.
Je suis née le 20 septembre 1799 dans le port de Yanaon alors que ma mère débarquait d'un voyage sur les côtes Indienne. Le voyage avait durée cinq mois, sans accroc. Personne, à part quelques domestiques chargé de la toilette de ma mère n'était au courant de la grossesse. Ma mère l'avais cachée par crainte de ne pouvoir faire ce voyage qu'elle attendait avec impatience. Une fois à terre, elle fut prise de maux de tête et de douleurs au bas ventre. Les domestiques les plus vielle ont tous de suite compris et l'on emmener tant bien que mal dans une maison médicale. La personne qui a pris en charge ma mère n'avais point l'habitude des accouchement et elle n'a put aidée ma mère à cause d'un léger "malaise". Celle-ci a du mettre bas avec la seule aide de ses servantes. Mon père est arrivé trois heures avant ma naissance, il a quitté son travail dès qu'il a été mis au courant pour moi. Il est venu accompagné d'un médecin généraliste hindou. Le 20 septembre 1799 à 15 heure 34, ma mère poussait sont dernier soupire en me mettant au monde. Maman avait été affaibli par le voyage et par la grossesse. Elle est morte en me donnant sa vie, et grâce à elle, je profite de chaque instant qui passe au côté de celui que j'aime.
Anil frappe à ma porte.
"Entre", dis-je d'une voix mielleuse.
Il obéit et entre dans ma chambre. Il est grand, il a les yeux d'un noir profond, une petite barbe qu'il porte très bien et un sourire, un sourire à faire fondre le coeur de toute les femmes du monde. Il porte sont turban, un foulard traditionnelle Indien qui recouvre la tête et une belle tunique, celle des beaux jours. Il dépose un plateau d'argent sur le secrétaire puis il vient s'assoir près de moi, très près de moi. Je lui sourit,il me sourit à sont tour et on commence à se dévoré des yeux. On s'approche l'un de l'autre jusqu'à ce que nos lèvres se touchent, s'entrouvre et se redécouvre une fois encore. Puis celles ci se sépare pour se retrouver à nouveau quelques secondes plus tard. Rien ne presse. Anil me caresse la joue, le cou, la poitrine. Avant de descendre aussi vite à ce niveau ou son souffle me réchauffe et que ses lèvres effleurent mes seins, mes tout petits seins.
D'un seul coup, il s'arrête. Il se lève et me regarde, il me fixe comme une panthère qui observe sa proie. La poitrine nue, je suis à sa mercis et pourtant, cela me plaît. Je prend tout de même le temps de regarder l'horloge et de verrouiller la porte. Rien ne presse. Mon père est parti dans une ville voisine pour la nuit. Il est l'heure de retourner s'assoir sur le lit.
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Annie (PAUSE)
Historical FictionAu début du 19 éme siècle, Annie, 16 ans, est amoureuse. Mais pas de n'importe qui et n'importe où puisque c'est de l'un des serviteurs de son père, grand entrepreneur dans le marché du tissu. Et que depuis ça plus tendre enfance,elle n'a jamais qui...