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Tout n'est fait que de malice à commencé par moi.

Il est vrai que j'ai dis ces mots ou du moins je les aient pensé mais cela ainsinu que mon père aussi sais user de tours ingénieux. C'est ce qu'il m'a démontrer à son retour.

"- Ma fille, dit-il sur un ton enjouée, j'ai une grande nouvelle pour toi!

- Ah bon? Et quoi donc père ? Demandais je d'un faux air intéressé.

- Je t'ai trouver un nouveau prétendants durant mon voyage.

- Très bien alors allons le tester à table. Dis je d'un air sûr de moi.

- Quel bonne idée, répondit mon père plus heureux que jamais, dans se cas préparons nous pour le souper, rendez-vous dix-neuf heure dans la salle à manger."

C'est ainsi que je montai dans ma chambre et que j'appellai mes domestiques . Elles vinrent une part une et commencèrent par faire couler de l'eau dans une bassine en argent. Elles me dévêtir puis elle firent ma toilette pour ensuite m'habiller. Je fus vêtue d'une robe jaune pâle qui mélange dentelle et tissus léger. Mes domestiques me coiffèrent ensuite d'un chignon et d'une couronne d'hibiscus. Je ne fus point maquiller sous mes ordre mais j'acceptai que l'on me mettent du parfum en petite quantité. Quand mes femmes de chambre eurent quitter la pièce, je voulus faire venir Anil pour revoir le plan d'action mais celui-ci avait à peine pu se libérer, trop occuper à servir mon père. Notre réussite ne reposait plus que sur mes épaules.

A l'heure dite, je me rendis dans la salle à manger ou m'attendais mon père.

"- L'homme que vous voulez me présenter est en retard. Dis-je sur un ton agacé

- C'est que nous sommes en avance.

- Dix-neuf heures n'était point l'heure du dîner de ce soir ?

- Oh, le dîner, je l'ai décalé à vingt heures. Je souhaitais vous parler.

- Alors je vous écoute. "

Il s'assoit et m'invite à faire de même. La cheminée est allumé de sorte que ce soit la seule source de lumière dans la pièce. Je ne peux m'empêcher d'être impatience d'entendre son récit mais je dois rester sur la défensive. Anil n'a pas encore reçu mes instructions et il ne risque pas de les avoir si mon père rôde comme il le fait.

"- Écoute Annie, dit-il sur un ton qui pourrait calmer quiconque l'entendrai parler, je suis triste tout les jours que ta mère soit monter au ciel et, je sens que moi aussi je vais la rejoindre dans quelques années.

- Ne parlez pas de malheur, je vous en prie, déclarais-je légèrement affolée, vous avez encore au moins vingt ans devant vous !

- Je ne pense point, je ressens la fatigue continuelle des vieux hommes sage d'Inde. Je sens qu'il est temps de former mon successeur.

- De qui parlez-vous ?

- Tu devrais savoir Annie qu'une femme ne peut en nul points me remplacer, or ta mère n'a eu qu'une fille. Il faut bien que tu serve à quelque chose et pour que mon héritage soit bien transmis à mon successeur, il faut qu'un mariage soit célébrer.

- Vous voulez dire que je dois me marier contre mon gré avec un homme qui vous remplacera dans tout vos fait et gestes.

- Contre ton gré? Crois tu seulement qu'il y a de la place pour l'amour dans un mariage arranger ? Crois tu vraiment que l'on s'aimaient ta mère et moi?"

Je baisse les yeux. Les paroles de mon père me font l'effet d'une douche froide. Est-il possible que mes parents, mon père ne m'aime point? Devrais-je vraiment suivre un chemin tracé comme au Moyen Âge ? Toutes ces questions que je ne m'étais jamais posé, s'impose à moi comme une évidence. Papa ne m'a jamais dit ce qu'il a ressenti à la mort de mère, car au même instant, je naissait. Il devait certainement être on ne peut plus déçue d'avoir reçu une fille inutile par le ciel et non un garçon qui aurait fait une meilleure affaire. Il devait l'être encore plus lorsqu'il sût que mère décéda en couche donc ne lui donnerait aucun héritiers. Je pensais que papa aimait maman et que a la mort de celle-ci, il promis de n'avoir aucune autres relation que feu son épouse. Je vois maintenant que c'est par racisme envers toutes ces femmes indienne et les filles des colons anglais qu'il ne sais jamais remarié. Papa ne la jamais avouer franchement mais il déteste les étrangers. Pourtant il vit en Inde depuis bien longtemps. Maintenant qu'il me fait réfléchir, je me rend compte qu'il n'a jamais aimé ce pays non plus. Ce fût par contrainte qu'il a dû rester ici. D'une part, la France n'était plus du tout stable financièrement et socialement et d'autres part, papa avait trouvé un travail et il lui était impossible, même après le décès de mère, de me rapatrié en France car je serai morte en mer par n'importe quel raisons. Les rats peut être, ou l'on m'aurait tout simplement manger puis jeté à la mer à la première occasion. Ma tête commence à tourner. Je me rend compte de tellement de choses que je me me sens pas assez bien pour continuer la conversation. Je m'excuse à mon père puis j'appelle une domestiques pour qu'elle me raccompagne dans ma chambre. Je me repose en attendant le dîner.

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 23, 2018 ⏰

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Annie (PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant