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Le docteur venait de sortir et de nous dire que son état était stable même si au début il ne voulait pas car il disait que nous n'étions pas de sa famille mais après avoir discutér avec Alassane il accepta enfin

-docteur pourrais je l'a voir s'il vous plaît ?

-oui mais appelez sa famille car elle a perdu le bébé

J'hochais la tête et dit à Alassane de s'occuper de contacter sa famille et je me dirigeais donc dans sa chambre...

Je regardais Sokhna depuis quelques minutes déjà les larmes aux yeux en me souvenant qu'il y'a à peine une heure qu'elle est venue toquer à ma porte avec le visage remplit de sang, la joue gonflée et une bosse au niveau de sa main j'en ai même des frissons en y repensant

Maintenant il fallait que je sache ce qui se passaer mais d'abord qu'elle se réveille et plus je patientais plus je stressais, Alassane est venu derrière m'enlacer et murmurer un "ça va aller" il ne connaissait pas Sokhna car je n'avais jamais eu le temps de les présenter mais il dût savoir que c'était quelqu'un d'important pour moi avec la tête que j'avais c'était sans doute évident

On entendit quelques reniflements et c'était Sokhna elle était réveiller

-hey ça va aller ne pleure pas

-A....Aïda je...je l'ai perdu j'ai perdu mo...mon...bébé

Elle était vraiment mal au point et parler difficilement et après quelques minutes qui me parurent interminables elle pût se calmer enfin à mon plus grand bonheur

-sa mère arrive avec son père..... dit Alassane en raccrochant le combinet

Sokhna a paru choqué ce qui signifiait qu'elle n'avait rien dit à ses parents à propos de la grossesse

-ne me dit pas que...

Elle ne m'a pas laisser terminer ma phrase

-non Aïda je n'ai rien dit à mes parents comprend moi je n'avais pas le courage aussi

Je gardais le silence et je me suis dit qu'elle n'allait pas garder le silence pour longtemps et dans son état cela va être encore plus difficile...

Sa mère arriva avec son père toujours le visage fermé HOHO ça sent l'enfer ici et mon œil je n'ai pas envie d'être bastonné surtout avec ses yeux plus rouges que la couleure même chiiii....

La mère de Sokhna vint vers nous tandis-que son père était en plein discution avec mon mari je sais que Alassane ne va rien lui dire, la mère de Sokhna demandait de mes nouvelles et ainsi comment se passait mon ménage je répondais toujours avec cette boule au ventre car j'avais vraiment peur pour ma meilleure amie qui semblait dans ses pensées jusque la tout se passait bien jusqu'à ce que le médecin entre dans la chambre

-étes vous bien monsieur Ndoye.... s'exclama le médecin en regardant le père de Sokhna et ce dernier lui répondis que oui

-pouvez vous me suivre dans mon bureau s'il vous plaît

Ils sortirent ensemble en ce moment je regardais Sokhna qui était tellement paniquée qu'elle ne remarquait même pas qu'elle tremblais je serrais alors sa main pour lui montrer qu'elle pouvait compter sur moi elle ne fit aucun geste tellement abritée par la peur.....

La porte fut ouverte brusquement et violemment qui nous fit sursauter tous Pa Ndoye avait le visage grave et regarder Sokhna qui avait protéger son visage avec ses mains

-toi la si je te tue pas je m'appelle pas Ablaye Ndoye..... en s'adressant à Sokhna

Il voulait venir quand Alassane  l'attrapa avec l'aide du docteur qui le suivait sûrement parce qu'il était irrité Pa Ndoye se débattait comme un fou malade prêt à tuer sa fille mais finit par renoncer car il n'était pas si jeune que ça hein il parti en claquant la porte

Aïda, Parcours D'une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant