Toutes les émotions de Lucas et les miennes se mélangent.
C'est trop, un vertige vient me secouer, ma vue noircie et devient floue. Mes jambes ne tiennent plus, et je me sens tomber.
----J'ouvre les yeux, je suis dans les bras de mon frère. Je regarde autour de moi, Aiden n'est plus là.
Il me manque.
Je me fais secouer dans tout les sens.Lucas : Comment peut-il te manquer ? Un gars comme lui.
Je me relève doucement.
Moi :- Mais comment tu...Lucas :- Il y a bien des choses que tu ne sais pas toi.
Je le regarde d'un air interrogateur.
Lucas :- Bon écoute, comment te dire ça sans te brusquer.
Bon voilà, en gros la raison pour laquelle papa et moi sommes partis c'est à cause de ça. Je pouvais ressentir tout ce que tu ressentais. J'arrivais plus à le supporter. C'était trop fatiguant mentalement. Depuis qu'on est nés, toi et moi sommes non seulement liés par notre lien fraternel, mais par une sorte de malédiction qui touche les jumeaux de notre famille depuis des générations.
Je le regarde étonnée, et ne sachant pas si je dois y croire ou pas.
Cela avait forcément une part de vérité, étant donné que je viens d'être submergée d'émotions.
J'ai l'impression que mon cerveau peine à assimiler toutes ces informations en même temps.
Je me redresse, et reste assise parterre dans ses bras.
Je suis encore perdue, et le fait qu'Aiden soit parti m'énerve.
Je sens un petit coup sur ma joue.
Moi :- Aieuh !
Mon frère vient de me donner une pichenette.
Lucas :- N'oublies pas que je ressens ce que tu ressens idiote !
Je sens quelque chose de léger et chaud me chatouiller la joue. Je mets ma main, c'est une larme ?
Je me tourne vers Lucas, il pleure.
Sans vraiment comprendre pourquoi, je le serre dans mes bras.
Moi :- Je suis désolée Lucas. Désolée que ça se passe comme ça. Désolée de ne pas avoir essayé de te contacter tu m'as tellement manqué 12 ans sans toi c'était tellement dur.
(Celui qui a osé pensé à "comme ma **** il se fera taper aujourd'hui)
Lucas :- Ma soeur.
Il ne dit rien de plus, et se contente de me serrer fort dans ses bras.
Nous pleurons comme deux cons dans un endroit paumé du lycée.
Mais, ce moment est interrompu, lorsque nous sommes oppressés par un regard. Impossible de voir de qui il s'agit, tout ce qu'on sait sur le moment c'est que nous ne sommes pas en sécurité.-----
Désolée pour le retard j'avais pas trop le temps et pas d'inspiration.
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L'orage amoureux
RomanceJe m'appelle Jenn, j'ai 16 ans je suis petite, 1m50, fine, j'ai les cheveux blonds et mi longs, de grands yeux bleus pétillants et un visage plutôt fin. J'avais une vie normale, a un endroit où la pluie est cheffe. Mais ma vie s'apprête à prendre un...