Jeu d'enfant {Jikook} (Terminé)

○36○

Perso, j'suis pas en vacances..
Et c'est fou comment j'ai envie d'écrire..
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Lorsque Jungkook rentra dans sa maison, précédé par Hoseok, il compris qu'elle n'était pas habité.
Une odeur de renfermé mélangée a celle des souvenir enfouis.
L'odeur de la pluie et des saisons qui avaient défilées trop vite.
Une photo en noir et blanc laisse enfouis et oublié.
Rien n'avait changé, tout avec était mis sur pause.
Personne n'était là, tout le monde avait disparu.
Tout était éteins, la lumière était ailleurs.

Et au milieu de ce bazar de souvenir; Jungkook, rangé a sa place.
Silencieux, interdit.

Hoseok quand à lui, l'observait sans rien dire.
Étudiant son visage, ses expressions, et se questionnant; que faisait-il ici ? Et qu'avait-il fait tout ce temps ?

Essayant de garder son calme, il attendait que Jungkook s'explique.
A vrai dire,
Il détestait Jungkook.
Il le détestait car tout ceci était sa faute. Cette maison vide, c'est pour tachés de pleurs, mais surtout ce goût amère dans l'air.
Cette souffrance, c'était sa faute.
Cette tristesse, c'était sa faute.
Il avait emporté avec lui 5 ans auparavant, tout leur rêves d'enfants, les abandonnant sans aucun regret.
Emportant, leur adolescence, leur amours, leur rire, et le coeur de Jimin.
L'image de Jimin sauta au visage de Hoseok.
Sa mine fatiguée, sa voix tremblante, et ses yeux vide d'émotions qui en disait long sur sa tristesse.
C'est pour ça qu'il le détestait.

Il reprit soudain ses esprits,
Et plus de Jungkook.
Avait-il tout rêvé ?
Impossible

Ses pieds l'avaient guidés deux même vers les escaliers, vers le deuxième étage, vers sa chambre.
La porte fermée dont le relief des lettres de son prénom avait presque totalement disparu, remplacé par une couche de poussière. Entre oubli et obscurité, faisant abstraction de tout, il ouvra la porte.

Projeté 5 ans en arrière il se retrouvait là devant l'oubliable.
Spectateur d'un destin fourbe et amère. Dieu semblait avoir craché sur son malheureux destin, et froisser sa carte.
Son parchemin taché, l'empêchait d'ouvrir les yeux; il avait fait le mal autour de lui.
Faible il était devenu lâcheté,
Honteux il était devenu péché,

Amoureux il était devenu stupide.

Pourtant, lorsque sa main tremblante frolla la surface de sa commode salut par le temps, il ne pensa pas à ses parents.
Ses yeux fixait les photos souvenirs sans jamais les regarder.
Sur ses photos ce n'était pas lui, c'était un autre.
Une autre vient d'autres mensonges.
Quoi qu'il regarde, quoi qu'il touche, rien en lui ne semblait pensé a ses parents.
Il ne se souvenait pas des ses bêtises enfantines, de ses discussions d'adolescent de ses embrassades et accolade absente.
Non, il ne s'en souvenait pas.
Car jamais se parents n'avaient été là.
Comme un nourrisons lâché en pleine nature, ils n'avaient jamais été là.
Ils ne faisaient pas parti de ses souvenir, et n'y étaient pas conviés.
Non, dans sa mémoire poussiéreuse, il n'y avait que Jimin.
Sa tête en était pleines.
Si bien qu'il balancasans gêne toute ses photos abstraites, toutes ses décorations sentimentales.
Il ouvra le tiroir de sa commode, et vida tous, ce déchaînant, criant dans sa tête des insultes fastidieuse, des injures cruelles, envers lui-même et envers d'autres.
Ou étaient-elles ?
Il était horrible.

Ses cheveux retombaient en bataille sur son front fatigué.
Ses bras sortaient encore tous pleins objets de ce tiroir sans fin.
Il n'en avait plus conscience, il ne pensait qu'au vidage dance de Jimin.

Il avait été cruel

Une frange d'incertitude à la Guibert, ses cheveux d'un brun amère n'était plus comme avant. Un aura tput autre planait au dessus de lui, il avait grandi, mûri et vieillit.
Toutes ces photos écrasé aux sol comme des pierres tombales n'avaient plus d'importance.

Sa main toucha quelque chose.
Elle n'attrapa jamais la main de Jimin.
Ou l'espoir d'un passe retracé.
Un sourire se forma sur ses lèvres abîmées.
Son regard vide avait laissé place à un doux regard perçant.
Beauté et cruauté il balanca le tiroir dans la pièce pour ne garder que ce qui l'intéressait.

C'était étrange, agréable et délicat au doux parfum de souvenir. Et une odeur si singulière avait envahie la lugubre pièce.
Il s'avança vers le milieu de la pièce.
Prêt du lit où il ne se souvenait pas avoir dormis, où il ne se souvenait pas avoir pleuré, avoir rit et avoir rêvé.
Rêver
Depuis qu'il avait déserté, les rêves eux aussi avait quitté son être, laissant place à la misère et à la désolation.
A présent collé contre son coeur, le contenu du mystérieux commis qu'il avait tant cherché permis le débris de son tiroir, fut déversé sur son lit. Le sable du temps fut versé sur son tombeau et les papiers volèrent.
Au milieu du lit; une lueur d'espoir.
Une calligraphie parfaite, une goutte de remord amère secrasa sur le sol, suivit de pleins d'autre

Hoseok ouvra la porte, et ne dit rien.
Le tableau parlait de lui même; une chambre en désordre affectif avec pour seul lumière Jungkook, effondré, les yeux rivés sur des papiers froissés.
Il s'approcha et puis admiré le lugubre destin

Jimin
et toi ?

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J'ai été longue, et c'est de la merde..
Désolée