Son bonheur avant tout.

Le 20 octobre

20 octobre, 4h55.

BOUM BOUM BOUM

oh non ça recommence, s'il vous plaît Dieu faites que ça ne sois pas eux.

BOUM BOUM BOUM

Je me lève en courant

-C'est qui ?

-Ouvre c'est moi.

-Qui toi

-Leandro idiota

je lui ouvre et souffle de soulagement. Je le vois rentrée avec un sac de sport.

-Ca va pas de frapper comme ça ? Tu m'as fais peur !

-T'en fais pas je suis la maintenant. Il m'embrasse le front, on va s'assoire dans le salon, j'appelle la réception pour qu'elle nous monte le déjeuner.

-Alors ou est mon neveu chéri ?

-Il dort encore, même le bruit que tu as fais ne l'as pas réveiller haha. Alors qu'es tu venue faire à Montréal fratello ?

-J'ai pas le droit de venir voir ma petite sœur maintenant ? Je lève le sourcils

-Il y a toujours une raison avec toi.

-Et bien pas du tout. Il s'entête à me mentir en plus.

-Et bien tu dormiras dehors et j'avais prévue de faire un gâteau aux chocolat, tu n'en auras rien.

-Mais t'es sérieuse ou quoi ?

-Alors ? Je veux une réponse petit frère. Ou sinon tu sors. Je lui montre la porte de la suite.

-C'est bon, c'est papa qui m'a envoyer pour resté avec Enzo et toi.

-Et pourquoi ? J'en ai pas besoins de garde du corps, tu peux rentrée maintenant.

-Tu ne me feras pas bouger de la, cherche pas, je bougerais pas, je ne veux pas qu'ils vous arrivent quelques choses. Il fronce les sourcils. Je vous aimes, Enzo est comme mon fils, je peux pas les laisser le découvrir, je veux pas qu'ils vous arrivent malheur mia sorella.

Je le regarde et lui sourie, je lui caresse la joue, il a l'air tellement fatigué.

-Ne t'en fais pas, ils ne nous arrivera rien, en attendant tu devrais aller te coucher, tu as fais un long vole.

-Ouais. Il me répond froidement, je lui montre ma chambre et celle d'Enzo, il choisit d'aller dormir avec Enzo.

J'entends des voix et Enzo qui crie. Je cours dans sa chambre et ouvre la porte a voler. Je vois Leandro sur Enzo.

-Enzo qu'est ce qui se passe ?

-C'est rien mama, c'est tonton qui... arrête pas de me chatouiller. Il a du mal à finir sa phrase et Leandro qui continue a le chatouiller, je sourie en les voyant.

-Aller il est tard, on va aller déjeuner dehors, habillés vous bien les enfants. Leandro fronce les sourcils, il fait souvent ça en ce moment.

-Je suis pas ton fils Luisa.

-Oui mais tu es toujours mon petit frère.

-J'ai 23 ans, je suis plus un bébé c'est quand que tu vas le comprendre putain ?

-Mais ça va pas ou quoi ? Enzo est à côté de toi, tu vas surveillé ton langage.

Il se lève me regarde de haut en bas.

-Je vais aller déjeuner tout seul. On se voit ce soir.

-Non tonton, je veux aller avec toi ! Il lui saute dans les bras et lui sourie.

-Il faut que tu demandes a mama si tu veux venir bonhomme. Enzo me regard et me fais sa petite tête qui me fait tout le temps craquer.

-C'est bon vasy, tu peux y aller, mais tu t'habilles bien, tu mets ton écharpe et ton bonnet d'accord mon bébé ? Il lève les yeux et me fais un bisous sur la joue.

-Oui mama

-On y va mama, à toute ! Il me fait un signe de mains et sors avec son oncle.

PDV OMNISCIENT QUELQUE JOURS AVANT.

-Tu as 34ans, il est temps que tu te mari mon fils, et pas avec ta puta qui me fais honte bien sûr.

-Mais papa, ce que tu me demandes est alors impossible c'est elle que j'aime.

-Pardon ? Tu viens de me dire non ?

-C'est elle ou rien papa.

-Et bien dis au revoir à ton héritage.

-Tu n'as pas le droit ! Je suis le seul héritier, j'ai travaillé dur pour pouvoir être ton successeur.

-Je sais mon fils et c'est pour ça que je refuse que tu te mari avec cette pouffiasse, elle n'est pas digne de toi et elle te tromperas dès qu'il t'arriver quelques choses, ce n'est pas une femme qui t'épaulera quand tu en auras besoins, qui prendra soins de toi, non. Ce ne seras pas elle et je ne veux pas d'elle, capito ?

-Si, capito, tu me fais du chantages la.

-Oui.

-Alors avec qui veux tu que je me mari papa ?

-Avec la fille de mon ancien ami.

-Qui ça ?

-Anconetti bien sûr, qui d'autres ?

-Sa fille est morte padre.

-Bien sur que non, tu sais il y a quelques jours, j'ai envoyé Tony le voir et il m'a ramaner une photo qui était ans le bureau de Lucio et elle était très récente, j'en suis sur. Il dépose la photo devant son fils.

-Non, ce n'est pas possible, je l'avais chercher partout, aucune trace d'elle et Anconetti ne voulais pas dire ce qu'il lui est arrivé. Tu le sais très bien, elle est morte !

-Tu le vois non ? C'est elle Riccardo, c'est elle.

-Retrouve la, vas t 'en, cherche là, menace Anconetti, tue le, fais ce que tu veux, mais je veux elle. C'est la seule qui te tirera vers le haut.

-Si.

-Tu sais que je veux seulement ton bien n'est ce pas ? Il lui tient le menton et le regarde dans les yeux.

-Si, parrain.

-Et n'oublie pas, un homme qui ne se consacre pas à sa famille, ne sera jamais un homme. Parole de Corleone.

Il le regarde et sors, un gros travailles l'attends. 

Il repense à cette jolie femme qu'il avait connu jadis.

"Si elle est vraiment vivante, on a des choses à réglé nous deux."

Heyyy ! Re voila un nouveau chapitre, il est long.

Bonne lecture. Bisous.