✍🏾PARTIE 37

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Bonne Lecture 📖


[...]


Moi : T'es étrange tu sais ?

Renoi : Je sais.

Il sort du salon et je rentre dans la chambre à Israa. Je prie et je regarde par le balcon lorsqu'on me tire par la gorge tout en pointant une arme sous ma tempe.

Elle : Alors comme ça tu appelle mon fils ?

Moi : Non Israa ! Argh lâche moi j'ai absolument rien fais

Elle : En plus tu me ment ? Très bien crois moi aujourd'hui tu va mourir ici

Moi : En... enlève ça de ma tête

Elle : Ferme là ! Tu va te lever tranquillement sans faire de geste brusque, sinon tu je n'hésiterais pas une seule seconde à tirer ! CROIS MOI QUE JE ME FICHE QUE TU MEURS MAINTENANT OU PAS

Je me lève sans faire de geste et je la suis. Arrivée au salon tout le monde nous regardent bizarrement.

Elle : AVANCE, dit-elle en me donnant un coup dans mon mollet

Moi : AÏE *au bord des larmes*

Naïm : Patronne je me charge d'elle

Elle : Non je préfère la tuer moi même

Renoi : arrivant de nul part, Lâche là.

Elle : À qui tu parle toi ?

Renoi : À toi. Dépêche toi.

Elle : Jamais tu ouvre ta bouche ici, maintenant que t'a vue cette pouffiasse tu l'ouvre à chaque fois ! Dis le moi si tu veux mourir que je te facilite la tâche.

Renoi : Tu va tuer personne et crois moi que tu va pas la toucher.

Farid : Moha arrête à quoi tu joue ?

Lui : Israa par Allah que si t'es une femme touche là devant moi et je parle de vous tous compris

Israa : rire nerveux, Karim va ouvrir la porte.

Renoi : Fais le seulement.

Karim : Moha arrête de te zehef, j'y suis pour rien moi j'exécute seulement qu'est-ce tu nous fais là.

Le Karim part ouvrir la porte lorsqu'il se reçois une énorme coup de poing à la figure par « Moha ».

Karim : touchant son nez, Argh t'es sah là ?

Renoi : Qui veut être le prochain ?

Naïm : Patronne donnez la moi je m'en occupe

Renoi : Mdrrrr

Naïm : Ferme ta gueule toi par contre espèce de sale con va tu crois faire peur à qui hein ? Eh vas-y viens là toi dit-il en me tirant par le bras

Moi : NON LÂCHE MOI !!

Et là il me plante une seringue dans le bras. Je commence à me calmer et à me sentir littéralement faible et excité.

Nafyssa : Le poids de leurs erreurs ont fait celle que je suis. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant