D'après tout tes mensonges :
N'aies pas peur de fermer les yeux, de courir, de sauter ;
Avec un peu de chance l'homme réussira peut être un jour à s'envoler.
Perdus au milieu d'une foule sans visage,
Tu continueras à marcher à travers les âges.
L'horloge continuera à courir le temps,
Son pas résonnant non loin du firmament.
Flottant parmi les décombres environnants,
Persistent quelques vieux rires d'enfants.
Debout aux côtés de ta tombe,
Tu ne crois en ta propre colombe.
Les yeux griffés les bras creuvés,
Tu te refuses à dire que tout est terminés.
Et au milieu de toutes ces contrefaçons,
L'âme n'est plus qu'un son.
Nous passons notre vie seul, avec pour seul but de nous convaincre que nous ne le sommes pas.
VOUS LISEZ
1 + 1 = 0
PoetryDebout sur cette scène vide encore chaude, je regarde les sièges se vider. J'essaye de me réconforter, je me dis qu'il n'existe pas de monde parfait. Je fais semblant de ne pas m'en soucier, ce n'est pas la première fois que je fais semblant après t...
