Tome 1 :
Bad Boy - Tu vas regretté d'être venu ici connasse ! {Une vie qui n'est rythmé que par la vengeance, l'amour très peu pour lui cherchant à tout pris celui qui lui à enlevé un être chère à ces yeux.}
Bad Girl - TU vas regretté d'être ici con...
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Un regard vert intense.
Tout ce qu'il y a de plus banale mais ces yeux me font presque bandé, elle me regarde comme si elle voulait qu'on baise là maintenant.
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_ Quel fleur bleue t'es en vrai, j'arrive pas y croire, j'te croyais pas comme sa à vrai dire !
_ Et tu me croyais comment ! Hein ?
_ Je te croyais plus ouverte... Si tu vois ce que je veux dire.
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Je compte la rappeler, mais me stoppe en voyant son numéro de téléphone chiffonner dans un papier qu'elle a laissé sur le banc.
𝐵𝒶𝒹 𝒬𝓊𝑒𝑒𝓃.
Prenant le sac que me tend mon frère, je monte dans sa Harley-Davidson tout en m'accrochant de toute mes forces à lui, parce-que ce con de faux jumeau ne m'a pas attendu que je sois confortablement installé qu'il roule déjà sans attendre taré qu'il est que je ne m'étonne même pas qu'une voiture de police nous emmène au poste.
De toute façon c'est de famille, malgré que moi j'utilise chaque fois, voire tous le temps une voiture, vous me verrez rarement conduire une moto, déjà que je ne respecte même pas les codes de la route hein...
Je ne suis pas complètement suicidaire.
Arrivé devant ma villa, enfin notre villa puisque malheureusement mon frère à décidé s'en prendre en considération ma volonté de s'installer chez moi, idem pour mon père même si je sais qu'il a un appartement quelque part dans la ville.
Franchement je ne sais même pas pourquoi je me plains alors qu'il ne demande jamais hein, c'est à peine si j'ai le droit de prononcer le mot "non", pour eux sa veut quand même dire oui.
Je descend sans un regard pour lui et monte dans ma chambre sans prendre la peine d'aller faire un bisous à mon papounet qui est devant la télé en train de regardé un match de Baseball Dodgers contre les Yankees, de toute façon ces priorités sont la famille, l'entreprise et le Baseball puisque c'est un ancien lanceur de balle.
Claque la porte de ma chambre tout en enlevant mes chaussures et mon élastique qui tenait mes cheveux quand David à pris le volant, je ne voulait pas avoir les cheveux devant mes yeux puisqu'il ne traîne pas de casque avec lui, un tarée je vous dis...
Enlève ma salopette, sou-tif et chaussette pour mettre mon pyjama qui se compose juste d'un short en coton et un haut a bretelle.
Simple et confortable.
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Puisqu'il est encore 15 heure et que j'ai déjà mangé au Burger King avec mon frère, je prend mon smartphone et mes écouteurs collé à mes oreilles, descend les escaliers pieds nue ce qui me fait frissonner quand mes pieds entre en collision avec le carrelage froid.
Mais une discutions intéressante me stoppe dans ma marche.
_ Papa... Tu devais arrêter toute cette acharnement, c'est vraiment injuste tu sais, de lui cacher cette vérité alors que nous savons tous les deux que sa va lui faire du mal. Dit mon frère d'un ton nerveux.
Mes sourcils se fronce directement à la mention de cette phrase, tellement de suspense et de question se pose dans ma tête, curieuse d'en savoir plus, je me cache derrière le mur de l'escalier et écoute.
_ Je ne sais pas fiston ! J'ai tout essayer pour qu'elle la rencontre mais en vain, Patricia ne veut même pas la voir, c'est à peine si on prononce son prénom... Répond mon père.
Je ne sais même pas ce que je fait là, à attendre, d'habitude je m'en foutrais et aurai débarquer dans le salon à l'improviste comme si de rien était mais là je n'arrive pas, une sorte de fil invisible me dit de rester là et d'attendre la suite, c'est peut-être mon petit côté diablotin qui me le souffle.
Après de longue minute à attendre, j'entend le bruit du frigo s'ouvrir et je comprend que la discussion est close, et que c'est le moment de faire mon entré, alors je descend les quelques escaliers qui me reste et m'allonge de tout mon long sur mon papounet, ma tête sur le rebord du canapé en angle rectangulaire, et mes jambes repose sur ces cuisses.
_ Pourquoi je n'ai pas eu droit à un bisous de ta part Mélanie Marie Queen.
Je souffle la conversation qu'ils ont eu n'arrive pas à s'effacer de mon esprit, que s'en est vraiment écœurant, j'ai comme l'impression que cette Patricia n'est pas n'importe qui.
_ Parce-que.
Voilà le mot qui fâche, mais il n'a pas eu le temps de me gronder que la porte s'ouvre à la volé pour laisser entrer un gars aux allures de gangster avec les tatoo piercing et tout, se présente à nous en fin là il est en face de nous, entrain de lorgner sur ma poitrine opulente.
_ Bobby, qu'est-ce que tu as ? On ne t'as jamais appris à frapper ? Et d'abord affronte mon regard au lieu de regarder la poitrine de ma fille connard. Dit mon père en me couvrant d'un plaid sur le haut du buste.
Et moi je me demande encore, comment à t-il fait pour entrer hein...
_ S'cuse Chef, votre père m'a envoyé vous informer que demain soir aura lieu les récompense pour les trois gagnants.
_ D'accord. David si tu pourrais raccompagner notre visiteur à la porte. Répond mon père avec un sous-entendu bizarre dans sa voix.
_ Avec plaisir. Rétorque t-il un sourire de psychopathe au lèvre.
Ainsi dit ainsi fait, que qu'on mon frère revient vers nous, ces mains ne sont plus ce qu'ils étaient il y a 5min, maintenant ils sont couvert de sang qui dégouline le long du parquet.
_ T'es vraiment un sauvage à tuer quelle qu'un qui ne t'a rien fait.
_ Il t'a manqué de respect, ma puce. Répond mon père à la place de mon frère, qui lui monte les escaliers en haussant les épaules.
