-Quoi comment ça... mais de quel légende parle tu?
-Vient vite nous devons rejoindre les Omaticas au plus vite! Aller dépêche toi !!!
-Mais que se passe-t-il, tu me fais peur
-Je t'expliquerais en route mais pour le moment il faut vraiment que tu te dépêche
Il n'a rien voulu me dire, nous sommes donc partie de notre campement a une vitesse fulgurante, et nous avons couru en direction des falaises aux pic rocheux sinueux et dangereux, que j'avais vue au loin en arrivant dans ce monde. Quand après 3 heures de marche intensive nous sommes enfin arrivé au sommet, il n'y avait la rien d'autres qu'un arbre et le vide a perte de vue.
Il était à peine plus grand qu'un homme, son tronc se torsadait sur lui même pour ensuite se séparer en deux grosses branches principales, qui laissait accueillir des centaines de petite feuilles vertes qui avait la forme de gouttes d'eau. Ses racines se propageait sur la roche avant de s'enfouir dans la terre qu'elle renferme. J'avais l'impression que rien ne pourrait déraciner cette arbre. Il était probablement fixer ici depuis des centaines d'années, et pourtant il se développait dans les conditions les plus dur qu'il soit donner à un arbre : au sommet du pic le plus dangereux des alentours, au bords d'un vide mortel, en altitude donc avec très peu d'oxygène, et loins de toute source d'eau pour se revigorer. Et malgré tout sa il avait trouver sa place dans cet écosystème si particulier.
Mais plus je le regardais et plus quelque chose d'étrange me survint à l'esprit, Frank m'avait que le lieu où vivaient les Omaticas se nommais le cerveau, et plus je regardait cette arbre et plus je voyait apparaître les hémisphères droite et gauche du cerveaux, les branches auraient pu faire office de neurones et nerfs qui reliait le centre de contrôle au reste du corps.
Mon oncle s'en est approché et a commencer a marmonner quelque chose d'inaudible, je pense que c'étais dans une autre lange, une lange que l'on ne nous apprend pas à l'école, une lange mystérieuse et harmonieuse, j'avais même l'impression à un moment que mon oncle chantais une berceuses à cette arbre. Au fils de ses paroles je me sentais engourdis, je me sentait dans la même situation que la veille avec les flammes, mais cette fois qui ne se mit à danser ou chanter, je ne pouvais plus tenir sur mes jambes, elle cédèrent sous mon poids. Je me suis donc retrouvé au sol, mes paupière devenait de plus en plus lourdes et un mal de tête vint s'ajouter à tout ce mal être intérieur, je me débattais contre moi même pour ne pas m'évanouir, je voulais voir se que mon oncle faisait à cette arbre, qui avait clairement des répercutions sur moi. Puis je sombris dans l'inconscience, la seul chose que je me souvient avoir vu avant de tombé, c'est de l'arbre qui s'ouvre en deux pour crée un passage au cœur même de son tronc avec une lumière blanche émanant de celui-ci.
Quand je suis enfin revenu a moi, je fue surprise de me réveiller non pas au sol sur de la pierre au sommet d'une montagne, mais dans une sorte de hamac. C'était en fait une feuille géante lié à deux branche, de l'intérieur je pouvais voir comme un réseau de vaisseau sanguin bleu, avec des veines plus ou moins grosses dans lequel un liquide aux mêmes propriétés visuelles que le sang transitait, d'après les connaissances que j'avais sur la biodiversité de la terre je dirais que c'est de la sève, mais est-ce la même chose dans cet endroit ; je voyait les cellules bouger et même respirer, j'avais l'impression qu'elle vivait au même rythme que moi, qu'elle se régulais aux rythme des battements de mon cœur.
Bon j'avais bien repris mes esprit et identifié l'endroit où je me situait, mais cette feuilles était replier sur elle même me renfermant à l'intérieur, je me demandais donc comment marchais cette feuille, fallait-il lui parler, ou toucher un endroit particulier, je m'apprêtais à me retourner pour trouver le moyen de sortir quand je te dit une voie ; la voie d'une femme qui était plutôt rassurante, et elle s'adressait à moi.
-Je voie que tu t'es enfin réveiller, cela fais 10 heures que tu dormais ! Je me doutais que le passage serait dure, mais je ne pensais pas que se serait si dure pour toi ; tu verra avec le temps tu t'y ferra. Oh j'oubliais, tu doit te demander comment sortir de cette feuille, il te suffit de toucher du bout du doigt la fermeture qui se situe sur ta droite, elle va reconnaître ton empreinte digitale et s'ouvrir ; n'est pas peur essaye ...
Je ne savait pas quoi répondre à mon interlocutrice, alors je fit ce qu'elle m'avait décrit pour que je puise ouvrir la feuille qui me gardait encore dans un monde d'incompréhension, de doute, et d'appréhension ; que m'attendais-t-il une fois que je serrais sorti de cette endroit ? Quel prophétie devrais-je accomplir ? Vais-je tout simplement rester en vie ?
-Bienvenu parmi nous, Luna !
-Euh... bonjours ... désoler je suis un peu perdu, ou sommes nous exactement, je ne reconnais pas du tout l'endroit ? Et mon oncle ou est Frank ? Laisser moi partir je doit le retrouver
-Et calme toi, il est partie recharger ses batteries aux branche des âmes, il ne devait pas tarder je l'ai prévenu de ton réveil.
-Oh je suis désoler, pardonnez moi, mais je ne voudrais pas le perdre une deuxième fois.
-Ne t'inquiète pas je comprends, et pour répondre à ta question, nous sommes au coeur du cerveau, je suppose que ton oncle t'en à déjà parler.
-Oui c'est exact il me l'a déjà évoquer
-Bien ! Ma belle il va falloir que tu te remette en forme au plus vite car la situation devient de plus en plus critique et le chef du clan Maroutco voudrais s'entretenir en privé avec toi. Tu t'en sentirais prête pour ça ?
-Je vous avoue que je ne sais pas, j'ai cru comprendre que c'était important mais, je ne sais pas encore à quoi m'attendre, donc je vais voir, mais je serait prête à tout.
-De toute façon tu n'a pas trop le choix, mais tu a l'aire motivé donc je ne me fais pas vraiment de souci pour toi, tout va bien se passer ne t'inquiète pas. Aller vient vite on t'attend en haut, estime toi heureuse très peu de gens on accès à l'endroit ou tu ira. Moi même je n'y suis jamais rentré.
-Excusez moi mais je ne vous ai même pas demander votre nom, alors que vous avez été si gentille avec moi
-Je me nome Maya et je suis la guérisseuse du clan des Omaticas
-Alors merci Maya, d'avoir pris soin de moi, je ne vous révérais peut être pas, mais je vous serais toujours reconnaissante.
Au moment où je descendais de cette majestueuse feuille mon oncle entra dans la pièce, me sourit et me pris dans ses bras, puis il me guida jusqu'en haut du cerveau ; qui se trouvais en fet être un arbre, je pense d'une centaines d'années au vu de la taille qu'il offrais en son cœur ; ou l'on avait une vue insaisissable sur un paysage d'une rare beauté. Puis nous sommes arrivé devant un rideau de soi et de coton d'où sorti l'homme que j'avais vue dans mon rêve.
- Ne t'inquiète pas je te ferais aucun mal, me dit-il. Suis moi, vient entre
-Euh .... oui d'accord
Avant de passer les rideaux j'ai tourné la tête pour regarder mon oncle qui je le pense, comptais sur moi pour accomplir une chose dont j'ignorais encore l'existence. Je pense que pour cela que l'on ma convoquer aujourd'hui et a cette endroit. Mais de quoi pouvais-il bien s'agir ?...
